C'est Le Populaire qui livre l'information. Installée au Sénégal depuis 18 mois environ, une société indienne qui s’active dans le domaine des téléphones portables, est dans la ligne de mire de la Douane. Selon les informations du journal, depuis à peu près 6 mois, elle aurait commencé à faire ce qui est appelé dans le jargon des opérateurs : de l’activation. C'est-à-dire que la société qui importe des téléphones portables pour le marché sénégalais aurait mis en place un centre d’activation de ces appareils.
En fait, si la Douane s’intéresse à ses téléphones, c’est parce qu’il y aurait anguille sous roche dans cette affaire qui porte sur des milliards de francs Cfa. En effet, les portables achetés chez un fabriquant sud coréen sont importés pour être commercialisés sur le marché sénégalais. Mais le hic, constate le quotidien, c’est que dès qu’ils arrivent, ils seraient activés avec des puces des opérateurs téléphoniques locaux. Et une fois que le réseau est détecté par le téléphone, celui-ci serait aussitôt coupé, la puce retirée et l’appareil remis dans son emballage. Et c’est là que commence la deuxième étape du processus. Puisque les téléphones seraient ensuite réexportés vers Dubaï pour y être vendus.
La Douane qui sent quelque chose de pas clair dans ce procédé enquête donc pour savoir de quoi tout ça retourne. Parce que les sommes en jeu sont colossales. Les sources de nos confrères croient savoir que la société importe pour plus de 3,6 milliards de francs Cfa et qu’elle réexporterait après activation pour 3 milliards de francs Cfa. Donc, c’est seulement un peu plus d’un demi-milliard qui serait affecté au marché local. Pour la Douane, tout ça ne peut absolument pas être catholique.
En fait, si la Douane s’intéresse à ses téléphones, c’est parce qu’il y aurait anguille sous roche dans cette affaire qui porte sur des milliards de francs Cfa. En effet, les portables achetés chez un fabriquant sud coréen sont importés pour être commercialisés sur le marché sénégalais. Mais le hic, constate le quotidien, c’est que dès qu’ils arrivent, ils seraient activés avec des puces des opérateurs téléphoniques locaux. Et une fois que le réseau est détecté par le téléphone, celui-ci serait aussitôt coupé, la puce retirée et l’appareil remis dans son emballage. Et c’est là que commence la deuxième étape du processus. Puisque les téléphones seraient ensuite réexportés vers Dubaï pour y être vendus.
La Douane qui sent quelque chose de pas clair dans ce procédé enquête donc pour savoir de quoi tout ça retourne. Parce que les sommes en jeu sont colossales. Les sources de nos confrères croient savoir que la société importe pour plus de 3,6 milliards de francs Cfa et qu’elle réexporterait après activation pour 3 milliards de francs Cfa. Donc, c’est seulement un peu plus d’un demi-milliard qui serait affecté au marché local. Pour la Douane, tout ça ne peut absolument pas être catholique.