
À l’occasion du forum national ayant pour thème : « Rôles et responsabilités des enseignant(e)s de la FNEL pour une reconquête du pouvoir par le PDS avec le Président Karim Wade, seule alternative crédible », organisé ce samedi 15 mars, la Fédération Nationale des Enseignants Libéraux (FNEL) s’est également exprimée sur la situation politique et économique du Sénégal.
Un régime qui ne convainc toujours pas
Selon la fédération, le pays traverse une période de « souffrance généralisée des Sénégalais dans tous les secteurs », marquée par « l’aggravation du chômage, consécutive aux licenciements massifs et sans précédent, notamment dans les entreprises et services de l’État (Port Autonome, AIBD, etc.), ainsi que par la hausse vertigineuse du coût de la vie, avec la flambée des prix du riz, de l’huile et d’autres produits de base ».
La FNEL estime que la levée annoncée des subventions sur l’électricité et les produits hydrocarbures risque d’accentuer davantage les difficultés des citoyens, déjà étouffés par la cherté de la vie. Elle dénonce également « un recul de la liberté d’expression, avec des arrestations arbitraires d’hommes politiques, de journalistes et de chroniqueurs pour leurs opinions, ce qui constitue un mauvais signal pour un régime qui prétend impulser le changement ».
La fédération regrette par ailleurs « une mainmise de l’exécutif sur la justice, avec une reddition des comptes à deux vitesses qui ne dit pas son nom ». Elle souligne que « les revendications des syndicats de l’éducation, de l’enseignement supérieur, des collectivités territoriales et de la santé restent insatisfaites, tout comme le non-respect des accords et engagements signés par l’État et les organisations syndicales après de longues négociations ».
La FNEL exige du régime Diomaye-Sonko « de respecter ses engagements en faveur de l’amélioration des conditions de vie des Sénégalais, de mettre un terme aux licenciements massifs et arbitraires dans les entreprises et services de l’État, et de rétablir les droits de tous les travailleurs conformément aux dispositions du Code du travail ». Elle réclame également « la baisse des prix du riz, de l’huile, des loyers, de l’eau, de l’électricité et des produits hydrocarbures, ainsi que le renforcement du secteur privé national, principal pourvoyeur d’emplois, et l’encouragement des investisseurs sénégalais afin d’amorcer une véritable industrialisation du pays, réduisant ainsi le chômage et la précarité ».
Un appel pour l’organisation d’assises sur la relance de l’économie
La Fédération Nationale des Enseignants Libéraux (FNEL) s’engage à inscrire son action dans l’unité du parti, à approfondir la réflexion sur toutes les questions relatives à la vie socio-économique, et à contribuer à la consolidation d’une véritable culture de parti d’opposition. Elle entend également renforcer les capacités de ses membres pour leur permettre de jouer pleinement leur rôle dans les différentes étapes du processus politique.
La FNEL appelle le gouvernement à organiser des assises nationales sur la relance économique, afin d’établir un diagnostic clair et de placer les personnes compétentes aux postes stratégiques.
Parallèlement, les enseignants de la FNEL exhortent à faire de la communication la clé de voûte de leur action politique pour la reconquête du pouvoir par le PDS avec le Président Karim Wade, qui, selon eux, reste « la seule alternative crédible pour la restauration des équilibres, des valeurs démocratiques, de l’État de droit et du progrès économique et social ».
Un régime qui ne convainc toujours pas
Selon la fédération, le pays traverse une période de « souffrance généralisée des Sénégalais dans tous les secteurs », marquée par « l’aggravation du chômage, consécutive aux licenciements massifs et sans précédent, notamment dans les entreprises et services de l’État (Port Autonome, AIBD, etc.), ainsi que par la hausse vertigineuse du coût de la vie, avec la flambée des prix du riz, de l’huile et d’autres produits de base ».
La FNEL estime que la levée annoncée des subventions sur l’électricité et les produits hydrocarbures risque d’accentuer davantage les difficultés des citoyens, déjà étouffés par la cherté de la vie. Elle dénonce également « un recul de la liberté d’expression, avec des arrestations arbitraires d’hommes politiques, de journalistes et de chroniqueurs pour leurs opinions, ce qui constitue un mauvais signal pour un régime qui prétend impulser le changement ».
La fédération regrette par ailleurs « une mainmise de l’exécutif sur la justice, avec une reddition des comptes à deux vitesses qui ne dit pas son nom ». Elle souligne que « les revendications des syndicats de l’éducation, de l’enseignement supérieur, des collectivités territoriales et de la santé restent insatisfaites, tout comme le non-respect des accords et engagements signés par l’État et les organisations syndicales après de longues négociations ».
La FNEL exige du régime Diomaye-Sonko « de respecter ses engagements en faveur de l’amélioration des conditions de vie des Sénégalais, de mettre un terme aux licenciements massifs et arbitraires dans les entreprises et services de l’État, et de rétablir les droits de tous les travailleurs conformément aux dispositions du Code du travail ». Elle réclame également « la baisse des prix du riz, de l’huile, des loyers, de l’eau, de l’électricité et des produits hydrocarbures, ainsi que le renforcement du secteur privé national, principal pourvoyeur d’emplois, et l’encouragement des investisseurs sénégalais afin d’amorcer une véritable industrialisation du pays, réduisant ainsi le chômage et la précarité ».
Un appel pour l’organisation d’assises sur la relance de l’économie
La Fédération Nationale des Enseignants Libéraux (FNEL) s’engage à inscrire son action dans l’unité du parti, à approfondir la réflexion sur toutes les questions relatives à la vie socio-économique, et à contribuer à la consolidation d’une véritable culture de parti d’opposition. Elle entend également renforcer les capacités de ses membres pour leur permettre de jouer pleinement leur rôle dans les différentes étapes du processus politique.
La FNEL appelle le gouvernement à organiser des assises nationales sur la relance économique, afin d’établir un diagnostic clair et de placer les personnes compétentes aux postes stratégiques.
Parallèlement, les enseignants de la FNEL exhortent à faire de la communication la clé de voûte de leur action politique pour la reconquête du pouvoir par le PDS avec le Président Karim Wade, qui, selon eux, reste « la seule alternative crédible pour la restauration des équilibres, des valeurs démocratiques, de l’État de droit et du progrès économique et social ».
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Source : https://www.dakaractu.com/La-FNEL-critique-severem...