En décidant d’accompagner l’Institut Africain de la Finance Islamique (AIIF) qui, s’apprête à organiser la 3éme édition du forum international sur la Finance Islamique à Dakar les 4 et 5 mars, sous la présidence effective du Premier Ministre Monsieur Abdoul Mbaye. L’autorité exécutive, dans un contexte socio-économique spécifique, semble vouloir créer des conditions optimales pour contribuer aux efforts de vulgarisation de l’Institut, par des initiatives politiques et institutionnelles volontaristes notamment : La finalisation du cadre légal et réglementaire pour la promotion de la Finance Islamique confiée à la Direction de la Monnaie et du Crédit. L’éventuelle émission d’un « SUKKUK » sur le marché des emprunts souverain, et l’encouragement de dispositions communautaires sous l’impulsion de la BCEAO pour un régime préférentiel de contrôle et de réglementation spécifique à la Finance Islamique.
Le ton était déjà donné lors de la Déclaration de la Politique Générale (DPG) du gouvernement durant laquelle, Monsieur le Premier Ministre déclinait sa volonté d’explorer tout le potentiel de cette Finance innovante pour un éventuel financement des secteurs de l’Agriculture, des Infrastructures et de la Micro-finance. Ce qui laisse supposer que, le brassage qu’avaient suscité Les deux précédentes éditions du Forum Internationale, entre des sommités de la Finance Islamique de la région du Golfe et d’ailleurs et les organisations publiques et privées de l’espace communautaire, avaient convaincu investisseurs et décideurs de l’existence de larges segments partenariaux qui peuvent concilier la quête de la découvert et de la connaissance de la Finance Islamique à l’immédiate appropriation de ses produits et services alternatives qui peuvent impacter substantiellement les besoins de croissance de nos économies nationales et régionales.
En suggérant que ces deux jours de rencontre puissent permettre d’abréger tout atermoiement, pour que les légitimes attentes puissent trouver des réponses efficientes, l’autorité publique invite à davantage de pragmatisme. Invite que partage amplement L’Institut de la Finance Islamique (AIIF) en trillant sur le volet les investisseurs conviés à cette 3éme édition du Forum International et en concoctant des panels au contenu exhaustif qui restituent les impératifs du moment. La palette des projets et des programmes d’envergures des pouvoirs publics ainsi celle d’organisation privées économiques locales et sous régionales restent un indicateur assez éloquent des attentes conférée à cette 3éme rencontre du 4 et 5 mars.
MOUSTAPHA DIOP (A.I.I.F)
Communication & Marketing.
Le ton était déjà donné lors de la Déclaration de la Politique Générale (DPG) du gouvernement durant laquelle, Monsieur le Premier Ministre déclinait sa volonté d’explorer tout le potentiel de cette Finance innovante pour un éventuel financement des secteurs de l’Agriculture, des Infrastructures et de la Micro-finance. Ce qui laisse supposer que, le brassage qu’avaient suscité Les deux précédentes éditions du Forum Internationale, entre des sommités de la Finance Islamique de la région du Golfe et d’ailleurs et les organisations publiques et privées de l’espace communautaire, avaient convaincu investisseurs et décideurs de l’existence de larges segments partenariaux qui peuvent concilier la quête de la découvert et de la connaissance de la Finance Islamique à l’immédiate appropriation de ses produits et services alternatives qui peuvent impacter substantiellement les besoins de croissance de nos économies nationales et régionales.
En suggérant que ces deux jours de rencontre puissent permettre d’abréger tout atermoiement, pour que les légitimes attentes puissent trouver des réponses efficientes, l’autorité publique invite à davantage de pragmatisme. Invite que partage amplement L’Institut de la Finance Islamique (AIIF) en trillant sur le volet les investisseurs conviés à cette 3éme édition du Forum International et en concoctant des panels au contenu exhaustif qui restituent les impératifs du moment. La palette des projets et des programmes d’envergures des pouvoirs publics ainsi celle d’organisation privées économiques locales et sous régionales restent un indicateur assez éloquent des attentes conférée à cette 3éme rencontre du 4 et 5 mars.
MOUSTAPHA DIOP (A.I.I.F)
Communication & Marketing.