Après le mini sommet des Chefs d’Etats sur la situation de la sous région, qui s’était tenu à Dakar au mois de mai dernier où des sanctions avaient été prises à l’encontre des juntes Bissau guinéenne et malienne, les dirigeants ouest africains vont se retrouver aujourd’hui à Yamoussoukro à l’occasion du 41ème sommet de la Cedeao. Selon des sources concordantes, le même sujet sera évoqué de nouveau au cours des travaux.
Ces deux crises préoccupent au plus haut point la sous région suite à la détérioration des conditions humanitaires dans le nord du Mali qui est sous contrôle des rebelles et des islamistes du groupe Ansar Eddine depuis la fin du mois de mars dernier. Une situation très critique qui a été aggravée par de nombreux pillages et tueries commis sur les populations. En plus des pénuries d’eau, de nourriture et d’électricité poussant les populations à se déplacer dans tous les sens et en direction des pays frontaliers avec le Mali.
Récemment des chefs d’états majors de la Cedeao avaient décidé de l’envoie de près de 3300 hommes au Mali pour déloger les rebelles Touareg et les islamistes d’Ansar Dine. Mais le contingent tarde à être déployé par l’instance de la Cedeoa qui attend toujours une résolution du Conseil de sécurité.
Selon des mêmes sources proches de la même instance, les chefs d'Etat seront informés sur l'état actuel de la médiation menée sur la crise par le président Blaise Compaoré du Burkina Faso. Ce dernier a été désigné par les dirigeants de la sous région après le coup d'Etat du 22 mars qui a renversé le président Amadou Toumani Touré.
Ils seront également informés par le président du Groupe de contact régional sur les derniers développements en Guinée Bissau, où les soldats ont tronqué le processus démocratique en avril.
Ces deux crises préoccupent au plus haut point la sous région suite à la détérioration des conditions humanitaires dans le nord du Mali qui est sous contrôle des rebelles et des islamistes du groupe Ansar Eddine depuis la fin du mois de mars dernier. Une situation très critique qui a été aggravée par de nombreux pillages et tueries commis sur les populations. En plus des pénuries d’eau, de nourriture et d’électricité poussant les populations à se déplacer dans tous les sens et en direction des pays frontaliers avec le Mali.
Récemment des chefs d’états majors de la Cedeao avaient décidé de l’envoie de près de 3300 hommes au Mali pour déloger les rebelles Touareg et les islamistes d’Ansar Dine. Mais le contingent tarde à être déployé par l’instance de la Cedeoa qui attend toujours une résolution du Conseil de sécurité.
Selon des mêmes sources proches de la même instance, les chefs d'Etat seront informés sur l'état actuel de la médiation menée sur la crise par le président Blaise Compaoré du Burkina Faso. Ce dernier a été désigné par les dirigeants de la sous région après le coup d'Etat du 22 mars qui a renversé le président Amadou Toumani Touré.
Ils seront également informés par le président du Groupe de contact régional sur les derniers développements en Guinée Bissau, où les soldats ont tronqué le processus démocratique en avril.