Dans un ouvrage intitulé "La Jeunesse prend le pouvoir”, Mame Birame Wathie retrace les enjeux, intrigues et luttes de pouvoir, qui ont redessiné la scène politique nationale. Entre manœuvres stratégiques, coalitions fissurées et jeunesse en quête de changement, le livre du journaliste met en lumière le combat de l’actuel Premier ministre Ousmane Sonko et de sa génération, pour une transformation du pays, rapporte "Seneweb".
"L'énergie consacrée à démolir sa réputation a été quadruplée pour, à défaut de le rendre aussi lisse qu'un miroir, en faire un présidentiable. La CREI qui l'avait jugé, a été décrédibilisée, avant d'être supprimée. Son nom réinscrit sur les listes électorales, Wade- fils allait mettre un terme à son séjour doré qatarien, pour rentrer tranquillement se saisir du pouvoir que Macky Sall lui tendait sur un plateau d'argent. Ce dernier, après avoir annoncé qu'il ne briguerait pas un autre mandat, avait choisi, sans le regarder, Amadou Bå, pour défendre les couleurs de la coalition Benno Bokk Yakaar éclatée en plusieurs morceaux", lit-on en quatrième de couverture.
"Si tout semblait être comme sur des roulettes, c'est que Macky Sall avait fini de poser les derniers actes, menant à la liquidation systématique de la principale force de l'opposition, la seule à même de déchirer sa feuille de route maculée de sang", a ajouté notre confrère.
Mais, d'après M. Wathie, "Ousmane Sonko résista, se montrant plus endurant que persévérant. Ainsi, entraînant toute une jeunesse percevant en lui le symbole de la délivrance, le leader charismatique de PASTEF impulsa la Révolution".
"L'énergie consacrée à démolir sa réputation a été quadruplée pour, à défaut de le rendre aussi lisse qu'un miroir, en faire un présidentiable. La CREI qui l'avait jugé, a été décrédibilisée, avant d'être supprimée. Son nom réinscrit sur les listes électorales, Wade- fils allait mettre un terme à son séjour doré qatarien, pour rentrer tranquillement se saisir du pouvoir que Macky Sall lui tendait sur un plateau d'argent. Ce dernier, après avoir annoncé qu'il ne briguerait pas un autre mandat, avait choisi, sans le regarder, Amadou Bå, pour défendre les couleurs de la coalition Benno Bokk Yakaar éclatée en plusieurs morceaux", lit-on en quatrième de couverture.
"Si tout semblait être comme sur des roulettes, c'est que Macky Sall avait fini de poser les derniers actes, menant à la liquidation systématique de la principale force de l'opposition, la seule à même de déchirer sa feuille de route maculée de sang", a ajouté notre confrère.
Mais, d'après M. Wathie, "Ousmane Sonko résista, se montrant plus endurant que persévérant. Ainsi, entraînant toute une jeunesse percevant en lui le symbole de la délivrance, le leader charismatique de PASTEF impulsa la Révolution".