Pour les camarades du Pr Abdoulaye Bathily ces « événements qui sont en réalité une mascarade politique destinée à redorer le blason terni du régime, ont occasionné un gaspillage impressionnant d’argent au moment où la situation économique, sociale et financière du pays est devenue réellement préoccupante ». Et d’ajouter : « Cette folie dépensière est inadmissible dans un contexte de raréfaction des ressources où l’Etat est parfois amené à intervenir sur le marché financier pour faire face à la dépense publique ».
Les « Jallarbistes » de soutenir que le « train de vie dispendieux de l’Etat avec ses dépenses somptuaires, la récurrence des scandales de corruption et la mal gouvernance généralisée n’ont pas échappé à la vigilance de nos partenaires au développement comme en témoigne la sévérité de leur appréciation à l’occasion de la dernière revue du cadre macro-économique. Un document récent publié par l’USAID insiste sur l’importance de la corruption au Sénégal ».
Agriculture : l’improvisation
La Ld d’aborder la question de l’agriculture en soutenant que « l’improvisation en lieu et place d’une véritable politique agricole, a conduit encore cette année à l’échec de la campagne de commercialisation de l’arachide ». « Sur une production évaluée à plus d’un million deux cent mille tonnes, la SUNEOR en a acheté moins de deux cent mille, laissant les paysans dans le désarroi et dans une situation d’extrême pauvreté. Il en est de même de la commercialisation du riz de la vallée du fleuve Sénégal », relève la source.
Le pouvoir d’achat se détériore
Les camarades du Pr Abdoulaye Bathily constatent que « les populations des villes voient leur pouvoir d’achat se détériorer de jour en jour avec la cherté des prix des denrées de première nécessité (sucre, huile etc) ». Ils ajoutent que « le secteur de la santé se caractérise par un dénuement total en médicaments, l’inaccessibilité des soins et des hôpitaux qui croulent sous le poids de la dette de l’Etat ». A cela s’ajoute le « secteur industriel ne se comporte guère mieux avec les difficultés de la SAR et des huileries au moment où la fourniture d’électricité connaît des perturbations quotidiennes dans tout le pays, en dépit des milliards prétendument engloutis dans la Sénélec (quelques 500 milliards) » Sans compter « la situation du chômage est catastrophique avec plus de 130 mille demandeurs d’emplois chaque année ».
Détérioration du cadre macroéconomique
Les « Jallarbistes » parlent aussi de la « détérioration du cadre macroéconomique avec la chute du taux de croissance du PIB passant de 6,3% en 2005 à moins de 2% en 2009 et l’essoufflement budgétaire illustré par une réduction de 130 milliards des prévisions de la loi de finance initiale de 2009, les tensions actuelles de trésorerie et le creusement progressif du déficit public indiquent clairement que les OMD ne seront sans doute pas atteints et renseignent sur le caractère illusoire des stratégies de développement échafaudées par le régime ».
Face à cette situation catastrophique, dit la Ld, « une seule alternative : en finir avec le régime de Wade par la consolidation de l’unité au sein de Bennoo Siggil Senegaal et l’appropriation des conclusions pertinentes des Assisses Nationales pour ouvrir une nouvelle ère de gouvernance économique, sociale et financière ».
Par ailleurs, les « Jallarbistes » dénoncent « la création unilatérale et partisane du conseil supérieur des Sénégalais de l’extérieur et le choix autoritaire de tous ses responsables par le Président de la République ».
Sud Quotidien
Les « Jallarbistes » de soutenir que le « train de vie dispendieux de l’Etat avec ses dépenses somptuaires, la récurrence des scandales de corruption et la mal gouvernance généralisée n’ont pas échappé à la vigilance de nos partenaires au développement comme en témoigne la sévérité de leur appréciation à l’occasion de la dernière revue du cadre macro-économique. Un document récent publié par l’USAID insiste sur l’importance de la corruption au Sénégal ».
Agriculture : l’improvisation
La Ld d’aborder la question de l’agriculture en soutenant que « l’improvisation en lieu et place d’une véritable politique agricole, a conduit encore cette année à l’échec de la campagne de commercialisation de l’arachide ». « Sur une production évaluée à plus d’un million deux cent mille tonnes, la SUNEOR en a acheté moins de deux cent mille, laissant les paysans dans le désarroi et dans une situation d’extrême pauvreté. Il en est de même de la commercialisation du riz de la vallée du fleuve Sénégal », relève la source.
Le pouvoir d’achat se détériore
Les camarades du Pr Abdoulaye Bathily constatent que « les populations des villes voient leur pouvoir d’achat se détériorer de jour en jour avec la cherté des prix des denrées de première nécessité (sucre, huile etc) ». Ils ajoutent que « le secteur de la santé se caractérise par un dénuement total en médicaments, l’inaccessibilité des soins et des hôpitaux qui croulent sous le poids de la dette de l’Etat ». A cela s’ajoute le « secteur industriel ne se comporte guère mieux avec les difficultés de la SAR et des huileries au moment où la fourniture d’électricité connaît des perturbations quotidiennes dans tout le pays, en dépit des milliards prétendument engloutis dans la Sénélec (quelques 500 milliards) » Sans compter « la situation du chômage est catastrophique avec plus de 130 mille demandeurs d’emplois chaque année ».
Détérioration du cadre macroéconomique
Les « Jallarbistes » parlent aussi de la « détérioration du cadre macroéconomique avec la chute du taux de croissance du PIB passant de 6,3% en 2005 à moins de 2% en 2009 et l’essoufflement budgétaire illustré par une réduction de 130 milliards des prévisions de la loi de finance initiale de 2009, les tensions actuelles de trésorerie et le creusement progressif du déficit public indiquent clairement que les OMD ne seront sans doute pas atteints et renseignent sur le caractère illusoire des stratégies de développement échafaudées par le régime ».
Face à cette situation catastrophique, dit la Ld, « une seule alternative : en finir avec le régime de Wade par la consolidation de l’unité au sein de Bennoo Siggil Senegaal et l’appropriation des conclusions pertinentes des Assisses Nationales pour ouvrir une nouvelle ère de gouvernance économique, sociale et financière ».
Par ailleurs, les « Jallarbistes » dénoncent « la création unilatérale et partisane du conseil supérieur des Sénégalais de l’extérieur et le choix autoritaire de tous ses responsables par le Président de la République ».
Sud Quotidien