Le président Wade a été obligé de laisser son ministre des Affaires étrangères, Me Madické Niang, en rade aux Etats-Unis d’Amérique, où il s’était récemment rendu avec lui, pour assister à un film dans lequel il tentait de se mettre en valeur, au nom du Sénégal. Selon nos sources, le département d’État américain est très remonté contre cette « irresponsabilité » du président sénégalais.
Les autorités américaines se demandent si le président Wade a vraiment la tête sur les épaules, pour s’être déplacé avec une cinquantaine de personnes, affrétant un avion spécial, rien que pour assister à un film. Ce qui a nécessité des dépenses avoisinant cinq cents millions de francs Cfa, en deux jours seulement. Cette « folie » financière montre aux Américains que les 270 milliards de francs Cfa, qu’ils étaient disposés à remettre au Sénégal, dans le cadre du Millenium challenge account ne seront pas entre de bonnes mains. Il s’y ajoute que son fils, Karim, a osé réclamer à une multinationale de téléphonie mobile de leur pays, Millicom, de débourser 100 milliards de francs Cfa pour continuer d’exercer au Sénégal. Très regardants, les Américains ont constatés qu’il n’en avait même pas le droit et n’était pas habilité à le faire. C’est pour justifier les « fautes » du président Wade que Me Madické Niang était resté à Washington.
Pour ne pas perdre les fonds du Mca, Me Madické a tenter de se justifier devant la secrétaire d’État américaine, Mme Hillary Clinton. Karim Wade ayant renoncé à sa vaniteuse plainte contre le journal en ligne Businesse insider, qui avait révélé sa tentative d’extorquer des fonds à Millicom, c’est Me Madické Niang qui a été envoyé aux charbons : le 1er avril, à trois jours de la célébration du cinquantième anniversaire de l’indépendance du Sénégal, il sera devant le centre arbitral de la Banque mondiale pour tenter de disculper Karim Wade. Outre cette institution, le Fonds monétaire international (Fmi) est également très remonté contre le président Wade. Elle s’apprête, selon nos indiscrétions, à prendre « toutes les mesures nécessaires », pour que le président Wade « cesse de confondre sa famille avec l’État ». Sa mission qui a récemment séjourné au Sénégal, avait constaté que le président Wade faisait signer des accords financiers par son fils, au nom du Sénégal. Ce que seul le ministre de l’Économie et des Finances est habilité à faire, à leurs yeux.
Une nouvelle donne qui met le président Wade dans tous ses états : désormais, il est devant ses tablettes, pour chercher à savoir s’il doit maintenir son fils à son actuel et démesuré poste, le nommer ministre de L’Économie et des Finances ou, simplement, en faire son Premier ministre. Pour l’heure, le président est dans le dilemme.
Les autorités américaines se demandent si le président Wade a vraiment la tête sur les épaules, pour s’être déplacé avec une cinquantaine de personnes, affrétant un avion spécial, rien que pour assister à un film. Ce qui a nécessité des dépenses avoisinant cinq cents millions de francs Cfa, en deux jours seulement. Cette « folie » financière montre aux Américains que les 270 milliards de francs Cfa, qu’ils étaient disposés à remettre au Sénégal, dans le cadre du Millenium challenge account ne seront pas entre de bonnes mains. Il s’y ajoute que son fils, Karim, a osé réclamer à une multinationale de téléphonie mobile de leur pays, Millicom, de débourser 100 milliards de francs Cfa pour continuer d’exercer au Sénégal. Très regardants, les Américains ont constatés qu’il n’en avait même pas le droit et n’était pas habilité à le faire. C’est pour justifier les « fautes » du président Wade que Me Madické Niang était resté à Washington.
Pour ne pas perdre les fonds du Mca, Me Madické a tenter de se justifier devant la secrétaire d’État américaine, Mme Hillary Clinton. Karim Wade ayant renoncé à sa vaniteuse plainte contre le journal en ligne Businesse insider, qui avait révélé sa tentative d’extorquer des fonds à Millicom, c’est Me Madické Niang qui a été envoyé aux charbons : le 1er avril, à trois jours de la célébration du cinquantième anniversaire de l’indépendance du Sénégal, il sera devant le centre arbitral de la Banque mondiale pour tenter de disculper Karim Wade. Outre cette institution, le Fonds monétaire international (Fmi) est également très remonté contre le président Wade. Elle s’apprête, selon nos indiscrétions, à prendre « toutes les mesures nécessaires », pour que le président Wade « cesse de confondre sa famille avec l’État ». Sa mission qui a récemment séjourné au Sénégal, avait constaté que le président Wade faisait signer des accords financiers par son fils, au nom du Sénégal. Ce que seul le ministre de l’Économie et des Finances est habilité à faire, à leurs yeux.
Une nouvelle donne qui met le président Wade dans tous ses états : désormais, il est devant ses tablettes, pour chercher à savoir s’il doit maintenir son fils à son actuel et démesuré poste, le nommer ministre de L’Économie et des Finances ou, simplement, en faire son Premier ministre. Pour l’heure, le président est dans le dilemme.