Le budget du Sénégal gravite autour de 1500 milliards, ce qui ne se reflètent pas dans le panier de la ménagère, encore moins dans les activités économiques du pays. Le ministre de l’Économie et des Finances, Abdoulaye Diop, interpellé sur la hausse de celui affecté au président a dit qu’il ne représentait, en fait, que, seulement, 2 % dudit montant ; soient 3o milliards de francs Cfa. Abdoulaye Diop a travesti les faits, pour continuer d’enrichir les Wade et de rester à leur table, car, chiffres pour chiffres, les avions qu’il affrète, à l’occasion de ses déplacements et ceux de son épouse, le président Wade décaisse, par an, plus de 12 milliards de francs Cfa, officiellement. Il est également connu, pour être un distributeur automatique de millions, au palais de la République et lors de ses rencontres avec ses militants. Il aime être au milieu des foules. Un « amour » qui lui coûte 6 000 francs Cfa par personne et 20 000 francs par car loué. Or, Me Wade reçoit chaque semaine à la salle des Banquets de prétendus militants « importés » via les cars Ndiaga-Ndiaye. Quand il se rend à l’extérieur, il double la mise, pour satisfaire sa clientèle politique, ses accompagnants et même les services d’ordre qu’il trouve sur place ; les primes qu’il donne à ces derniers dérangent au plus haut point leurs autorités, parce que n’étant pas dans leur culture.
Abdoulaye Diop a sous-évalué le budget du président Wade, qui passe son temps à entretenir ses cercles de lobbies et à offrir des « cadeaux » aux diplomates et fonctionnaires internationaux, dont le plus célèbre est la rondelette somme de 90 millions de nos francs qu’il avait tentée de fourguer à un cadre du Fonds monétaire international (Fmi). Pour faire d’eux ses complices, afin de le maintenir au pouvoir, il distribue, chaque mois, des enveloppes bourrées aux magistrats, administrateurs, maires, président de collectivités rurales et même aux délégués de quartiers.
Abdoulaye Diop a caché aux autorités américaines, que le président Wade est si budgétivore, qu’il est obligé de racketter les entreprises nationales, comme la Lonase, la Senelec, le Port, les aéroports du Sénégal, etc ; même les multinationales ne sont pas épargnées. On se souvient de la Sgbs et de la Bicis, auxquelles il réclamait 52 milliards, mais qui seront sauvées par la fermeté des autorités françaises. Abdoulaye Wade a toujours besoin d’argent. Car, il lui faut entretenir ses « alliés » de la Cap 21 et de « Sopi pour toujours », dont il paye les locations des permanences de leurs partis, leurs factures d’eau et d’électricité. C’est, également, Wade, qui distribue de l’argent à presque toutes les autorités religieuses du pays, qu’il croit être les « vrais électeurs ». C’est dire que notre président, qui aime inviter et prendre ses hôtes en charge, aller assister, à l’extérieur, à des représentations théâtrales et à des films, dépense, en moyenne, cent millions de nos francs par jour. C’est ce que son ministre Abdoulaye Diop a tenu à cacher à la Maison blanche, tout comme les hauts gradés de l’Armée qu’il soudoie et les transhumants et frondeurs, qu’il « achète ».
La Redaction xibar.net
Abdoulaye Diop a sous-évalué le budget du président Wade, qui passe son temps à entretenir ses cercles de lobbies et à offrir des « cadeaux » aux diplomates et fonctionnaires internationaux, dont le plus célèbre est la rondelette somme de 90 millions de nos francs qu’il avait tentée de fourguer à un cadre du Fonds monétaire international (Fmi). Pour faire d’eux ses complices, afin de le maintenir au pouvoir, il distribue, chaque mois, des enveloppes bourrées aux magistrats, administrateurs, maires, président de collectivités rurales et même aux délégués de quartiers.
Abdoulaye Diop a caché aux autorités américaines, que le président Wade est si budgétivore, qu’il est obligé de racketter les entreprises nationales, comme la Lonase, la Senelec, le Port, les aéroports du Sénégal, etc ; même les multinationales ne sont pas épargnées. On se souvient de la Sgbs et de la Bicis, auxquelles il réclamait 52 milliards, mais qui seront sauvées par la fermeté des autorités françaises. Abdoulaye Wade a toujours besoin d’argent. Car, il lui faut entretenir ses « alliés » de la Cap 21 et de « Sopi pour toujours », dont il paye les locations des permanences de leurs partis, leurs factures d’eau et d’électricité. C’est, également, Wade, qui distribue de l’argent à presque toutes les autorités religieuses du pays, qu’il croit être les « vrais électeurs ». C’est dire que notre président, qui aime inviter et prendre ses hôtes en charge, aller assister, à l’extérieur, à des représentations théâtrales et à des films, dépense, en moyenne, cent millions de nos francs par jour. C’est ce que son ministre Abdoulaye Diop a tenu à cacher à la Maison blanche, tout comme les hauts gradés de l’Armée qu’il soudoie et les transhumants et frondeurs, qu’il « achète ».
La Redaction xibar.net
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
