D’après le journal Le Quotidien, les policiers s’interrogent sur la disparition de quatorze voitures du Palais de la République : « Où sont donc passés les 13 véhicules de type Mercedes et 4X4 retirés du Parc automobile du Palais ces derniers temps ? C’est la question que se pose la Police, actionnée par la Présidence de la République, depuis un bon moment, pour retrouver ces véhicules, nos confrères du journal. Alors que le nombre soustrait du parc était de 15, au total, seuls deux véhicules de type Mercedes ont pu être récupérés par les éléments de la police. Pour le reste, c’est encore le mystère », révèle « Le Quotidien ».
Selon le journal, « la Police de la circulation et la Direction de la sécurité publique sont mobilisées à cet effet, mais elles peinent manifestement à retrouver les autres véhicules. Par moments, elles procèdent à des vérifications au niveau des grands axes routiers, mais jusqu’à présent, aucune trace des véhicules. » Ces derniers jours à Dakar, souligne Le Quotidien, surtout pendant les week-ends et tard dans la nuit, il est devenu fréquent de voir plusieurs véhicules de même type que ceux recherchés, immobilisés pour le contrôle des pièces. La Présidence, exaspérée de ne pouvoir mettre la main sur ces véhicules « dérobés », ne s’est pas gênée de hausser le ton, pour mettre la pression sur les policiers, afin qu’ils les retrouvent, au plus vite. Des pressions qui ne sont pas du goût des limiers, qui grognent en désignant les distributeurs automatiques de ces clefs, comme les seuls responsables de la situation.
Thiedo
Selon le journal, « la Police de la circulation et la Direction de la sécurité publique sont mobilisées à cet effet, mais elles peinent manifestement à retrouver les autres véhicules. Par moments, elles procèdent à des vérifications au niveau des grands axes routiers, mais jusqu’à présent, aucune trace des véhicules. » Ces derniers jours à Dakar, souligne Le Quotidien, surtout pendant les week-ends et tard dans la nuit, il est devenu fréquent de voir plusieurs véhicules de même type que ceux recherchés, immobilisés pour le contrôle des pièces. La Présidence, exaspérée de ne pouvoir mettre la main sur ces véhicules « dérobés », ne s’est pas gênée de hausser le ton, pour mettre la pression sur les policiers, afin qu’ils les retrouvent, au plus vite. Des pressions qui ne sont pas du goût des limiers, qui grognent en désignant les distributeurs automatiques de ces clefs, comme les seuls responsables de la situation.
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