Quand Aïda Mbodji bande les muscles, c’est pour !@#$%^&*éner ses vérités. Chat échaudé craignant l’eau froide, Aïda Mbodji est hantée par le syndrome de la délégation spéciale. Du coup, pour sa première sortie hier depuis la défaite du 25 mars dernier, la mairesse de Bambey menace et avertit. «Quiconque tentera de m’enlever de la tête de la mairie de Bambey, fera trembler toute la République», a lancé Aïda Mbodji à ses partisans. Celle-ci de poursuivre, «dans la vie, il est très important de bien connaître à qui on a affaire». Car pour elle, la différence de taille entre elle et son prédécesseur à la mairie, Pape Diouf, c’est que celui-ci «devenu opposant avait perdu la mairie qui avait été placée sous délégation spéciale» Ironique, Aïda Mbodji raille son ancien frère de parti, passé à Rewmi : «Il avait pris la poudre d’escampette quand il a été battu». Or, elle ne quittera la mairie qu’en 2014 et là encore, il faut qu’elle soit battue aux locales de cette année.
Revigorée par l’attention de son public, Aïda Mbodji convie les partis vainqueurs de la présidentielle au troisième tour de la présidentielle. Selon elle, ces derniers devraient aller se compter aux législatives et éviter de faire du «yobalema». L’Assemblée nationale étant «le meilleur baromètre pour connaître le poids de chacun». Aussi, Aïda Mbodji ne manque pas de saluer le courage du PDS qui a décidé de «se départir de ses alliés».
Revigorée par l’attention de son public, Aïda Mbodji convie les partis vainqueurs de la présidentielle au troisième tour de la présidentielle. Selon elle, ces derniers devraient aller se compter aux législatives et éviter de faire du «yobalema». L’Assemblée nationale étant «le meilleur baromètre pour connaître le poids de chacun». Aussi, Aïda Mbodji ne manque pas de saluer le courage du PDS qui a décidé de «se départir de ses alliés».