L'agence russe de protection des consommateurs Rospotrebnadzor indique dans un communiqué placé sur son site cette semaine que "l'importation et la commercialisation en Russie du maïs OGM NK603 (de Monsanto, ndlr) est temporairement suspendue", le temps que des chercheurs russes examinent l'étude et que l'UE fasse part de sa position sur la question.
L'équipe de Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'Université de Caen (France), a réalisé une étude alarmante qui recense des pathologies lourdes, notamment des tumeurs, chez des rats nourris avec du maïs génétiquement modifié commercialisé par Monsanto.
Un porte-parole de Monsanto, cité par le Wall Street Journal, a minimisé l'importance de la décision de la Russie pour son entreprise.
"La Russie est un exportateur net de céréales, donc l'impact de leur suspension temporaire devrait être minime", a-t-il déclaré.
L'équipe de Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'Université de Caen (France), a réalisé une étude alarmante qui recense des pathologies lourdes, notamment des tumeurs, chez des rats nourris avec du maïs génétiquement modifié commercialisé par Monsanto.
Un porte-parole de Monsanto, cité par le Wall Street Journal, a minimisé l'importance de la décision de la Russie pour son entreprise.
"La Russie est un exportateur net de céréales, donc l'impact de leur suspension temporaire devrait être minime", a-t-il déclaré.