Ces organisations de la société civile ont motivé leur sortie par le "climat délétère, accentué par une sorte de radicalisation sur des positions entre la mouvance présidentielle et les partis de l’opposition" sur les questions relatives à une éventuelle modification du Code électoral.
Analysant toute la situation et les conséquences qui pourraient en découler pour la cohésion sociale et la paix civile, le collectif des organisations de la société civile considère qu’"il est urgent de décrisper le climat et d’aller vers un dialogue sincère sur la situation nationale pour ainsi donner place à la discussion", a indiqué Mamadou Mignane Diouf.
M. Diouf qui a lu à la presse la déclaration signée par une vingtaine d’organisations de la société civile, a également noté "qu’à 11 mois environ de la prochaine élection présidentielle, la société civile par son rôle d’interface entre pouvoir et opposition, est disposée à proposer sa médiation afin de rapprocher les positions pour l’intérêt général du pays".
Pour sa part, Me Amadou Aly Kane de la RADDHO a estimé que "le climat est aujourd’hui porteur de dangers, du fait de divergences profondes entre les acteurs politiques sur des questions vitales".
Il a fait remarquer que "pour rien au monde, il ne doit y avoir au Sénégal un remake du 23 juin 2011".
Analysant toute la situation et les conséquences qui pourraient en découler pour la cohésion sociale et la paix civile, le collectif des organisations de la société civile considère qu’"il est urgent de décrisper le climat et d’aller vers un dialogue sincère sur la situation nationale pour ainsi donner place à la discussion", a indiqué Mamadou Mignane Diouf.
M. Diouf qui a lu à la presse la déclaration signée par une vingtaine d’organisations de la société civile, a également noté "qu’à 11 mois environ de la prochaine élection présidentielle, la société civile par son rôle d’interface entre pouvoir et opposition, est disposée à proposer sa médiation afin de rapprocher les positions pour l’intérêt général du pays".
Pour sa part, Me Amadou Aly Kane de la RADDHO a estimé que "le climat est aujourd’hui porteur de dangers, du fait de divergences profondes entre les acteurs politiques sur des questions vitales".
Il a fait remarquer que "pour rien au monde, il ne doit y avoir au Sénégal un remake du 23 juin 2011".
SMD/PON