Quelles sont les preuves de l’existence des djinns ?
Ce qui est invisible n’est pas forcément inexistant. L'Islam admet l'existence des djinns, esprits invisibles, qui, comme les hommes, ont été créés pour adorer Dieu : " Je n'ai créé les Djinns et les hommes que pour qu'ils m'adorent " (S51, 56). Ils ont des yeux, des oreilles et un cœur ; il est écrit à propos de ceux d'entre eux qui sont maléfiques : Ils ont des cœurs avec lesquels ils ne comprennent rien ; ils ont des yeux avec lesquels ils ne voient pas, ils ont des oreilles avec lesquelles ils n'entendent pas, étant réfractaires à la Parole divine comme les infidèles. Il existe des djinns mâles et des djinns femelles qui procréent par conséquent : "Là, ils rencontreront celles dont les regards sont chastes et que ni homme ni djinn n'a jamais touchées avant eux " (S55, 56).
Bien que certains d’entre eux soient bienveillants à l’égard des hommes, la plupart des djinns sont considérés comme des êtres dotés de pouvoirs maléfiques. Créés à partir du feu, ils sont craints par les hommes, aux yeux desquels ils demeurent le plus souvent invisibles. Ils n’hésitent cependant pas à emprunter une apparence humaine ou animale, couramment celle d’un serpent, pour se manifester au monde terrestre. Les djinns partagent de nombreux points communs avec les hommes : tout comme eux, ils consomment de la nourriture, se reproduisent et meurent. Ils possèdent également la particularité de pouvoir être croyants ou non. On attribue aussi aux djinns une grande force physique et la capacité à se déplacer très rapidement. Il est dit qu’ils peuplent de préférence les endroits isolés et désertés par les hommes. « Iblîs » dont la figure est à rapprocher de celle du diable, fait partie de la communauté des djinns, dont il est le chef.
Dans quelles circonstances le djinn pénètre dans le corps humain ?
Il est reconnu que cela peut se faire dans les quatre situations suivantes : Lors d’une grande surexcitation En cas de forte nervosité Lorsqu’on est en proie à la peur Dans un moment de faiblesse, par exemple lorsqu’on regarde une personne du sexe opposé avec concupiscence En dehors de ces cas là, le djinn n’ose pas tenter une pénétration dans le corps humain. Toutefois s’il a formé le projet de pénétrer dans le corps humain, il peut pister sa proie, surveiller le moindre de ses gestes et guetter le moment opportun pour accomplir son œuvre.
Comment le djinn atteint-il la femme ?
Dans la plupart des cas le djinn s’établit au niveau de l’utérus de la femme pour altérer les ovules et empêcher par conséquent, la fécondation. Parfois aussi, il peut laisser la fécondation se faire mais, après quelques mois de grossesse, il frappe d’un coup de pied une veine utérine, provoquant ainsi une hémorragie conduisant à l’avortement.
Notons que les avortements répétés sont souvent causés par les djinns. Le Prophète (SPL) dit, « Satan est aussi omniprésent pour le fils d’Adam que le sang qui lui coule dans les veines. » (Al-Bukhârî et Muslim).
Dans la plupart de ces cas, la femme qui est atteinte de ce sortilège souffre de douleurs au bas ventre surtout lorsque elle se trouve pendant la période des menstrues et des douleurs au dos .Des fois ces femmes sentent aussi comme une boule qui se déplace dans son appareil génital avec parfois la sortie de petite boule de sang qui n'a aucune relation avec une quelconque maladie connue. En rêve, ces femmes voient un personnage ou une créature en train de lui donner des coups au ventre pour faire sortir le bébé et lorsque elles se réveillent, elles sentent des douleurs aux bas ventres et les premiers symptômes de la fausse-couche commencent à apparaître.
Quels sont les symptômes classiques de ce genre de sortilèges
-Douleurs au bas ventre, et au bas du dos.
-Période des règles perturbées avec des douleurs insupportable.
-Oppression thoracique surtout pendant la nuit (Sensation d'étouffement).
-Sensation d'une fatigue générale au matin en se réveillant avec des courbatures.
-Quelquefois, sensation de dégoût envers l'époux.
-Sensation d'une boule étrange qui se déplace dans le ventre et dont le point de départ est l'appareil génital.
- Un resserrement au niveau du coeur de la tombée de la nuit jusqu'à sa moitié.
- Une succession de fausses couches
- Des insomnies récurrentes
- des cauchemars : faire l’amour pendant le sommeil avec une personne proche ou one autre prenant le visage de son mari ; porter souvent des enfants au cours de ce même sommeil ; voir du sang ; voir un fou ; allaiter ; voir des poissons en grand nombre etc.
- Avoir des maux de tête fréquents, que les médicaments ne peuvent faire disparaître.
- Une nervosité qui survient régulièrement
- Une distraction mentale
Comment traiter ce genre de sortilège ?
On commence le traitement en créant tout d’abord unes ambiance favorable : débarrasser le lieu de traitement des images, statues, icônes afin de permettre aux anges d’y pénétrer. Détruire tout objet superstitieux porté par le malade, savoir : amulette, gris-gris, talisman, signe, fétiche, etc, donner au malade un cours sur la foi et lui poser des questions sur la nature de sa maladie ou de ses souffrances. Est-ce qu’il fait des cauchemars ? Quelle est la nature de ces cauchemars ? Est-ce qu’il a des visions ? Des troubles psychiques ? Est-ce qu’il entend des murmures ? A-t-il des difficultés à respirer ? Est-ce qu’elle éprouve une gêne pendant les rapports sexuels ? Combien de jours voit-elle ces règles ? sont-elles régulières où non ? On peut se contenter de la Fatiha dans le traitement, comme on peut se contenter encore des sourates 112, 113 et 114, pour obtenir la guérison. Ce qui est très important c’est que le guérisseur et le malade soient animés d’une foi sincère et de la confiance en Allah et de la conviction qu’Allah, le Transcendant est celui qui gère les affaires et que ce qu’Il veut se réalise quand Il le veut et que ce qu’Il ne veut pas n’arrivera pas.
On peut aussi recommander la récitation du verset du Trône avant de se coucher sept fois, préserve des mauvais rêves. On peut aussi réciter 21 fois la « Basmala ».
Des sourates comme "la voies d’ascension», "les rangées" peuvent aussi être d’une grande utilité si on les lit régulièrement.
Serigne samba Ndiaye : Phytothérapeute : web : www.sambamara.com
Ce qui est invisible n’est pas forcément inexistant. L'Islam admet l'existence des djinns, esprits invisibles, qui, comme les hommes, ont été créés pour adorer Dieu : " Je n'ai créé les Djinns et les hommes que pour qu'ils m'adorent " (S51, 56). Ils ont des yeux, des oreilles et un cœur ; il est écrit à propos de ceux d'entre eux qui sont maléfiques : Ils ont des cœurs avec lesquels ils ne comprennent rien ; ils ont des yeux avec lesquels ils ne voient pas, ils ont des oreilles avec lesquelles ils n'entendent pas, étant réfractaires à la Parole divine comme les infidèles. Il existe des djinns mâles et des djinns femelles qui procréent par conséquent : "Là, ils rencontreront celles dont les regards sont chastes et que ni homme ni djinn n'a jamais touchées avant eux " (S55, 56).
Bien que certains d’entre eux soient bienveillants à l’égard des hommes, la plupart des djinns sont considérés comme des êtres dotés de pouvoirs maléfiques. Créés à partir du feu, ils sont craints par les hommes, aux yeux desquels ils demeurent le plus souvent invisibles. Ils n’hésitent cependant pas à emprunter une apparence humaine ou animale, couramment celle d’un serpent, pour se manifester au monde terrestre. Les djinns partagent de nombreux points communs avec les hommes : tout comme eux, ils consomment de la nourriture, se reproduisent et meurent. Ils possèdent également la particularité de pouvoir être croyants ou non. On attribue aussi aux djinns une grande force physique et la capacité à se déplacer très rapidement. Il est dit qu’ils peuplent de préférence les endroits isolés et désertés par les hommes. « Iblîs » dont la figure est à rapprocher de celle du diable, fait partie de la communauté des djinns, dont il est le chef.
Dans quelles circonstances le djinn pénètre dans le corps humain ?
Il est reconnu que cela peut se faire dans les quatre situations suivantes : Lors d’une grande surexcitation En cas de forte nervosité Lorsqu’on est en proie à la peur Dans un moment de faiblesse, par exemple lorsqu’on regarde une personne du sexe opposé avec concupiscence En dehors de ces cas là, le djinn n’ose pas tenter une pénétration dans le corps humain. Toutefois s’il a formé le projet de pénétrer dans le corps humain, il peut pister sa proie, surveiller le moindre de ses gestes et guetter le moment opportun pour accomplir son œuvre.
Comment le djinn atteint-il la femme ?
Dans la plupart des cas le djinn s’établit au niveau de l’utérus de la femme pour altérer les ovules et empêcher par conséquent, la fécondation. Parfois aussi, il peut laisser la fécondation se faire mais, après quelques mois de grossesse, il frappe d’un coup de pied une veine utérine, provoquant ainsi une hémorragie conduisant à l’avortement.
Notons que les avortements répétés sont souvent causés par les djinns. Le Prophète (SPL) dit, « Satan est aussi omniprésent pour le fils d’Adam que le sang qui lui coule dans les veines. » (Al-Bukhârî et Muslim).
Dans la plupart de ces cas, la femme qui est atteinte de ce sortilège souffre de douleurs au bas ventre surtout lorsque elle se trouve pendant la période des menstrues et des douleurs au dos .Des fois ces femmes sentent aussi comme une boule qui se déplace dans son appareil génital avec parfois la sortie de petite boule de sang qui n'a aucune relation avec une quelconque maladie connue. En rêve, ces femmes voient un personnage ou une créature en train de lui donner des coups au ventre pour faire sortir le bébé et lorsque elles se réveillent, elles sentent des douleurs aux bas ventres et les premiers symptômes de la fausse-couche commencent à apparaître.
Quels sont les symptômes classiques de ce genre de sortilèges
-Douleurs au bas ventre, et au bas du dos.
-Période des règles perturbées avec des douleurs insupportable.
-Oppression thoracique surtout pendant la nuit (Sensation d'étouffement).
-Sensation d'une fatigue générale au matin en se réveillant avec des courbatures.
-Quelquefois, sensation de dégoût envers l'époux.
-Sensation d'une boule étrange qui se déplace dans le ventre et dont le point de départ est l'appareil génital.
- Un resserrement au niveau du coeur de la tombée de la nuit jusqu'à sa moitié.
- Une succession de fausses couches
- Des insomnies récurrentes
- des cauchemars : faire l’amour pendant le sommeil avec une personne proche ou one autre prenant le visage de son mari ; porter souvent des enfants au cours de ce même sommeil ; voir du sang ; voir un fou ; allaiter ; voir des poissons en grand nombre etc.
- Avoir des maux de tête fréquents, que les médicaments ne peuvent faire disparaître.
- Une nervosité qui survient régulièrement
- Une distraction mentale
Comment traiter ce genre de sortilège ?
On commence le traitement en créant tout d’abord unes ambiance favorable : débarrasser le lieu de traitement des images, statues, icônes afin de permettre aux anges d’y pénétrer. Détruire tout objet superstitieux porté par le malade, savoir : amulette, gris-gris, talisman, signe, fétiche, etc, donner au malade un cours sur la foi et lui poser des questions sur la nature de sa maladie ou de ses souffrances. Est-ce qu’il fait des cauchemars ? Quelle est la nature de ces cauchemars ? Est-ce qu’il a des visions ? Des troubles psychiques ? Est-ce qu’il entend des murmures ? A-t-il des difficultés à respirer ? Est-ce qu’elle éprouve une gêne pendant les rapports sexuels ? Combien de jours voit-elle ces règles ? sont-elles régulières où non ? On peut se contenter de la Fatiha dans le traitement, comme on peut se contenter encore des sourates 112, 113 et 114, pour obtenir la guérison. Ce qui est très important c’est que le guérisseur et le malade soient animés d’une foi sincère et de la confiance en Allah et de la conviction qu’Allah, le Transcendant est celui qui gère les affaires et que ce qu’Il veut se réalise quand Il le veut et que ce qu’Il ne veut pas n’arrivera pas.
On peut aussi recommander la récitation du verset du Trône avant de se coucher sept fois, préserve des mauvais rêves. On peut aussi réciter 21 fois la « Basmala ».
Des sourates comme "la voies d’ascension», "les rangées" peuvent aussi être d’une grande utilité si on les lit régulièrement.
Serigne samba Ndiaye : Phytothérapeute : web : www.sambamara.com