Seulement, il n’est pas évident que la fête de Tabaski soit célébrée le 9 décembre par toute la communauté musulmane du Sénégal. Une communauté habituée à célébrer les fêtes religieuses en rangs dispersés. Même si toutes les grandes familles religieuses du Sénégal sont représentées dans cette commission qui se réunit régulièrement au siège de la Télévision nationale du Sénégal et qui rassemble différentes informations venant de l’intérieur du pays. Des infos sur la lune qui viennent généralement des imams et autres dignitaires religieux.
Cette année, la Tabaski intervient dans un contexte particulièrement difficile pour les Sénégalais, à cause notamment de la crise économique qui rejaillit sur la cherté des prix des denrées. Et Malgré toutes les mesures prises par le gouvernement, le prix du mouton n’est pas encore descendu à un prix abordable. Pourtant, l’Etat a accordé plusieurs facilités pour permettre aux Sénégalais d’avoir des moutons pour la Tabaski. Il s’agit notamment de la suspension des taxes, de la facilitation de la circulation des animaux aux frontières, le long des axes de convoyage et au niveau des zones d’attente. Il s’y ajoute l’aménagement de points de vente normalisés dans les grands centres de consommation.
Justement, l’aménagement de ces points de vente commence à poser problème, notamment à Dakar où les téfanké (vendeurs de moutons) se sont vus interdire des zones comme Patte d’Oie, Hlm Grand Médine, Hlm Grand Yoff…
Cette année, la Tabaski intervient dans un contexte particulièrement difficile pour les Sénégalais, à cause notamment de la crise économique qui rejaillit sur la cherté des prix des denrées. Et Malgré toutes les mesures prises par le gouvernement, le prix du mouton n’est pas encore descendu à un prix abordable. Pourtant, l’Etat a accordé plusieurs facilités pour permettre aux Sénégalais d’avoir des moutons pour la Tabaski. Il s’agit notamment de la suspension des taxes, de la facilitation de la circulation des animaux aux frontières, le long des axes de convoyage et au niveau des zones d’attente. Il s’y ajoute l’aménagement de points de vente normalisés dans les grands centres de consommation.
Justement, l’aménagement de ces points de vente commence à poser problème, notamment à Dakar où les téfanké (vendeurs de moutons) se sont vus interdire des zones comme Patte d’Oie, Hlm Grand Médine, Hlm Grand Yoff…