Ce week-end, une enquête diffusée dans le journal Business Insider enfonce le clou à quelques semaines de la reprise du jugement. Le journal indique que Zuckerberg serait un voleur, saboteur, pirate et traître ! Des affirmations à la suite de la lecture et l'analyse des courriels et de messages instantanés envoyés par Mark Zuckerberg.
Le journal économique explique, par exemple, comment Mark Zuckerberg à saboté le projet de ses anciens partenaires. Un portail baptisé ConnectU. Mark Zuckerberg était codeur pour cette plateforme. En 2004, M.Z. aurait piraté le site ConnectU pour, tout simplement, le ralentir, le rendre moins attractif et surtout, empêcher les utilisateurs de s'y retrouver.
"Mark Zuckerberg aurait utilisé des données confidentielles glanées via Facebook pour s'inbtroduire dans les webmails privés d'utilisateurs, indique Business Insider, Mark Zuckerberg aurait récolté les mots de passe erronés introduits par ces personnes pour se connecter à leur compte Facebook. Il aurait ensuite utilisé ces mots de passe -qui ne correspondaient donc pas à des profils Facebook- pour rentrer dans les boîtes de courriel de ces personnes, partant du principe que si ces mots de passe n'étaient pas ceux du compte Facebook mais qu'ils avaient tout de même été encodés, ils devaient bien donner accès à quelque chose..."
Pour répondre à cette enquête, le service presse de Facebook indique, ne pas vouloir "débattre sur des accusations venant de mécontents et de sources anonymes qui cherchent à réécrire l'histoire de Facebook et gêner Mark Zuckerberg avec de vieilles allégations. Depuis qu'il a quitté Harvard pour la Silicon Valley il y a près de six ans, Mark a mené Facebook du rang de site d'université à un service global qui joue un rôle important dans la vie de 400 millions de personnes".
Le journal économique explique, par exemple, comment Mark Zuckerberg à saboté le projet de ses anciens partenaires. Un portail baptisé ConnectU. Mark Zuckerberg était codeur pour cette plateforme. En 2004, M.Z. aurait piraté le site ConnectU pour, tout simplement, le ralentir, le rendre moins attractif et surtout, empêcher les utilisateurs de s'y retrouver.
"Mark Zuckerberg aurait utilisé des données confidentielles glanées via Facebook pour s'inbtroduire dans les webmails privés d'utilisateurs, indique Business Insider, Mark Zuckerberg aurait récolté les mots de passe erronés introduits par ces personnes pour se connecter à leur compte Facebook. Il aurait ensuite utilisé ces mots de passe -qui ne correspondaient donc pas à des profils Facebook- pour rentrer dans les boîtes de courriel de ces personnes, partant du principe que si ces mots de passe n'étaient pas ceux du compte Facebook mais qu'ils avaient tout de même été encodés, ils devaient bien donner accès à quelque chose..."
Pour répondre à cette enquête, le service presse de Facebook indique, ne pas vouloir "débattre sur des accusations venant de mécontents et de sources anonymes qui cherchent à réécrire l'histoire de Facebook et gêner Mark Zuckerberg avec de vieilles allégations. Depuis qu'il a quitté Harvard pour la Silicon Valley il y a près de six ans, Mark a mené Facebook du rang de site d'université à un service global qui joue un rôle important dans la vie de 400 millions de personnes".