
Dans un communiqué rendu public, la cellule de communication de ladite institution a tenté de « rétablir les faits ». Ce document repris par L’Observateur note : « Que le Cese ne serve de tribune de règlement de comptes ou de rampe de lancement aux uns et aux autres pour des raisons purement politiciennes ou corporatistes ». La cellule de communication du conseil rappelle qu’elle est une instance d’analyse, de réflexion et de veille au service d’un gouvernement démocratiquement élu par le peuple souverain. « Toute autre démarche est vaine et vouée à l’échec ».