Nirvana, Duplex, Vip, CASINO et je ne sais quelle autre nid d’amour. Ces endroits paradisiaques qui entretiennent la fièvre nocturne sur la principale avenue des Almadies, gardent secrets le vagabondage qui y règne quand tous les chats sont gris. Dans la loterie des profils qui émergent des cadres attractifs, les mêmes combinaisons entre mannequins et fils à papa, célébrités des affaires et beauté de diable, sportif professionnel aux as et stylistes du Dimanche. Si le Nirvana est la chute incontournable pour vedettes et stars en vagabondage dans les parages, c’est au Duplex, avec un bon carnet d’adresses, qu’un noctambule croise une perle rare ou qu’un béni des étoiles tombe sur un portefeuille garni.
Chaque cadre traine une réputation qui en fait le charme et la publicité. Si simplement, vous trainez la réputation d’un coureur de jupons ou adepte des relations sans lendemains, un crochet au VIP vous donnera un aperçu des tendances en cours, comme une virée au Casino s’impose pour se rincer les yeux ou se faire embarquer dans le triangle des sensations. Pour ce qui est du vagabondage et des bons coups qui font l’actualité, une simple disponibilité financière ne suffit plus pour payer la note. En plus de la lourdeur du portefeuille et du style branché en fonction des tendances, le profil social augmente l’attrait et l’intérêt autour des proies féminines. Et les fils à papa trainent la fâcheuse réputation de tirer sur tout ce qui bouge, et dans la place, les mannequins frivoles ont fini de faire la preuve de leur aptitude à sauter de caleçon en caleçon, les plus connues d’entre-elles, complices et actrices dans des affaires sombres qui continuent d’entretenir leurs secrets. Pour s’imposer dans ces cadres et jouer le bon rôle, le motus operandi des nouvelles icones du Dakar By Night tourne autour du trafic d’influence et de l’escroquerie sentimentale.
D’abord, il leur faut, de facto, intégrer un cercle d’entremetteurs ou gagner la confiance de la gérance. Ce premier pas souvent facilité par le profil social permet au fils à papa d’avoir un pied dans le cercle des clients, avant que les liaisons opportunistes, s’il le faut avec les homosexuels, ne l’introduit dans le saint de la nuit, avec souvent l’offre de la plus belle fille de Dakar. Dans ce jeu pernicieux et dangereux où certains clients se perdent dans la faune nocturne, les rapports tissés dans la fièvre de l’alcool ne tiennent souvent pas la route. Et c’est en fonction des saisons, des clients et des endroits que les liaisons se nouent et se dénouent, toujours à la baguette de belles nanas ravalées des planches sous les bras de jeunots gâtés en quête de notoriété.
Lesenegalais.net
Chaque cadre traine une réputation qui en fait le charme et la publicité. Si simplement, vous trainez la réputation d’un coureur de jupons ou adepte des relations sans lendemains, un crochet au VIP vous donnera un aperçu des tendances en cours, comme une virée au Casino s’impose pour se rincer les yeux ou se faire embarquer dans le triangle des sensations. Pour ce qui est du vagabondage et des bons coups qui font l’actualité, une simple disponibilité financière ne suffit plus pour payer la note. En plus de la lourdeur du portefeuille et du style branché en fonction des tendances, le profil social augmente l’attrait et l’intérêt autour des proies féminines. Et les fils à papa trainent la fâcheuse réputation de tirer sur tout ce qui bouge, et dans la place, les mannequins frivoles ont fini de faire la preuve de leur aptitude à sauter de caleçon en caleçon, les plus connues d’entre-elles, complices et actrices dans des affaires sombres qui continuent d’entretenir leurs secrets. Pour s’imposer dans ces cadres et jouer le bon rôle, le motus operandi des nouvelles icones du Dakar By Night tourne autour du trafic d’influence et de l’escroquerie sentimentale.
D’abord, il leur faut, de facto, intégrer un cercle d’entremetteurs ou gagner la confiance de la gérance. Ce premier pas souvent facilité par le profil social permet au fils à papa d’avoir un pied dans le cercle des clients, avant que les liaisons opportunistes, s’il le faut avec les homosexuels, ne l’introduit dans le saint de la nuit, avec souvent l’offre de la plus belle fille de Dakar. Dans ce jeu pernicieux et dangereux où certains clients se perdent dans la faune nocturne, les rapports tissés dans la fièvre de l’alcool ne tiennent souvent pas la route. Et c’est en fonction des saisons, des clients et des endroits que les liaisons se nouent et se dénouent, toujours à la baguette de belles nanas ravalées des planches sous les bras de jeunots gâtés en quête de notoriété.
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