L'Acte IV du feuilleton tragi-comique que le Benno avait choisi de nous infliger, a commencé.
Force était de reconnaitre que les résultats que cet attelage, certes hétéroclite, avait obtenus aux élections présidentielles et législatives de 2012, pouvaient justifier l’euphorie de ces rivaux et ennemis de naguère qui ont pu naïvement penser que s’accorder sur l’adversaire commun suffisait à souder une union pour gouverner le Sénégal.
Humblement mais froidement nous avions analysé, à l’époque, que les égos surdimensionnés des membres de cette alliance ainsi que leurs ambitions personnelles démesurées relégueraient très certainement les intérêts cruciaux du Sénégal et des sénégalais au second plan.
Aujourd’hui il semble presque pédagogique de livrer à nouveau, pour la seule vertu de la répétition, notre réflexion sur l’inéluctable scénario du Benno Seddo Rerro Tassaro
Sans surprise aucune, La montagne Benno (Siggil, Yakkar , Tass-Yakkar ) a accouché du Tassaro acte IV
Comme beaucoup d'observateurs avisés, nous avions pronostiqué que cette jamboree (Macky Sall, Idrissa Seck, Tanor Dieng, Moustapha Niasse, Youssou Ndour, Gadio, Moubarack Lo, M23, Y en a marre, Mansour Sy Jamil, etc....) contrairement aux rencontres de scouts, se terminerait dans la confusion, la désunion et le divorce.
Pour résumer nous avions prévu que l'attelage hétéroclite du Benno rimerait avec la désillusion du Rerro, Tassaro au moment fatidique du Seddo.
Après l'entente cordiale pour "marcher ensemble, frapper ensemble, gouverner ensemble", la fraternité en chantant pour organiser les assises "nationales" et la concorde absolue pour tailler, "au profit des sénégalais " et dans le granit, une nouvelle Constitution, la meilleure qui soit, voilà qu'arrive l'heure des sacrifices et du don de soi pour le peuple, loin des salons feutrés de l'opposition d'hier, en somme l'heure de vérité.
Et aujourd'hui comme hier et encore plus sûrement demain, les ego surdimensionnés, les querelles de chapelles, et la soif inextinguible de pouvoir ont eu raison des proclamations d'intention et révélé au grand jour la foire des dupes des dirigeants de Benno.
Il est évident qu'il ne suffisait pas de trouver un slogan ronflant et pompeux et de s'accorder sur l'adversaire commun pour espérer former la cohésion et la solidarité qui fondent l'esprit d'équipe sans laquelle il n'y a pas d'équipe, pour gouverner le Senegal qui était sur la voie de l'émergence.
Cette cohésion requérait beaucoup plus qu’un simple consentement mutuel qui, certes scelle les mariages mais ne protégeait pas du divorce pour incompatibilité d’ambitions.
Ceux parmi eux qui étaient candidats aux dernières élections présidentielles ont discouru, beaucoup, sur les mérites de leur programme-miracle pour un Sénégal émergent, qui a fini par un Benno Yokkute.
Avaient-ils seulement jamais eu de programme, derrière les grandes professions de foi ?
Il est permis d’en douter aujourd'hui parce que la marche du pays est en déclin avec Benno Tass-Yakkar
Il arrive dans la vie de chaque nation, une heure, grave et capitale entre toutes, qui écrit l’histoire de son peuple et trace sa destinée.
Mais les masques sont tombés après 21 mois de Benno, et ceux qui ne pensaient qu’élection et pouvoir hier, ont dévoilé finalement leur jeu aujourd'hui , mais surtout montrer à la face du monde leur incompétence à maintenir le cap de l'émergence vers lequel se dirigeait le Senegal d'abdoulaye WADE, injustement décrié par ce même Benno.
Aujourd’hui, une nouvelle page doit être écrite et elle doit décrire la capacité de notre peuple, debout comme un seul homme, à affronter les défis de préservation de notre démocratie et de la crise économique mondiale accentuée par l'incompétence de Benno mognou sof.
Cette page sera, heureusement, vierge de toute politique politicienne et de leurs adeptes de Benno.
Elle s’écrira avec le peuple sénégalais et sans les Benno Tass-Yakkar .........
Samuel A. Sarr
Ancien Ministre d'Etat
Wadiste éternel
Almadies, Dakar
Force était de reconnaitre que les résultats que cet attelage, certes hétéroclite, avait obtenus aux élections présidentielles et législatives de 2012, pouvaient justifier l’euphorie de ces rivaux et ennemis de naguère qui ont pu naïvement penser que s’accorder sur l’adversaire commun suffisait à souder une union pour gouverner le Sénégal.
Humblement mais froidement nous avions analysé, à l’époque, que les égos surdimensionnés des membres de cette alliance ainsi que leurs ambitions personnelles démesurées relégueraient très certainement les intérêts cruciaux du Sénégal et des sénégalais au second plan.
Aujourd’hui il semble presque pédagogique de livrer à nouveau, pour la seule vertu de la répétition, notre réflexion sur l’inéluctable scénario du Benno Seddo Rerro Tassaro
Sans surprise aucune, La montagne Benno (Siggil, Yakkar , Tass-Yakkar ) a accouché du Tassaro acte IV
Comme beaucoup d'observateurs avisés, nous avions pronostiqué que cette jamboree (Macky Sall, Idrissa Seck, Tanor Dieng, Moustapha Niasse, Youssou Ndour, Gadio, Moubarack Lo, M23, Y en a marre, Mansour Sy Jamil, etc....) contrairement aux rencontres de scouts, se terminerait dans la confusion, la désunion et le divorce.
Pour résumer nous avions prévu que l'attelage hétéroclite du Benno rimerait avec la désillusion du Rerro, Tassaro au moment fatidique du Seddo.
Après l'entente cordiale pour "marcher ensemble, frapper ensemble, gouverner ensemble", la fraternité en chantant pour organiser les assises "nationales" et la concorde absolue pour tailler, "au profit des sénégalais " et dans le granit, une nouvelle Constitution, la meilleure qui soit, voilà qu'arrive l'heure des sacrifices et du don de soi pour le peuple, loin des salons feutrés de l'opposition d'hier, en somme l'heure de vérité.
Et aujourd'hui comme hier et encore plus sûrement demain, les ego surdimensionnés, les querelles de chapelles, et la soif inextinguible de pouvoir ont eu raison des proclamations d'intention et révélé au grand jour la foire des dupes des dirigeants de Benno.
Il est évident qu'il ne suffisait pas de trouver un slogan ronflant et pompeux et de s'accorder sur l'adversaire commun pour espérer former la cohésion et la solidarité qui fondent l'esprit d'équipe sans laquelle il n'y a pas d'équipe, pour gouverner le Senegal qui était sur la voie de l'émergence.
Cette cohésion requérait beaucoup plus qu’un simple consentement mutuel qui, certes scelle les mariages mais ne protégeait pas du divorce pour incompatibilité d’ambitions.
Ceux parmi eux qui étaient candidats aux dernières élections présidentielles ont discouru, beaucoup, sur les mérites de leur programme-miracle pour un Sénégal émergent, qui a fini par un Benno Yokkute.
Avaient-ils seulement jamais eu de programme, derrière les grandes professions de foi ?
Il est permis d’en douter aujourd'hui parce que la marche du pays est en déclin avec Benno Tass-Yakkar
Il arrive dans la vie de chaque nation, une heure, grave et capitale entre toutes, qui écrit l’histoire de son peuple et trace sa destinée.
Mais les masques sont tombés après 21 mois de Benno, et ceux qui ne pensaient qu’élection et pouvoir hier, ont dévoilé finalement leur jeu aujourd'hui , mais surtout montrer à la face du monde leur incompétence à maintenir le cap de l'émergence vers lequel se dirigeait le Senegal d'abdoulaye WADE, injustement décrié par ce même Benno.
Aujourd’hui, une nouvelle page doit être écrite et elle doit décrire la capacité de notre peuple, debout comme un seul homme, à affronter les défis de préservation de notre démocratie et de la crise économique mondiale accentuée par l'incompétence de Benno mognou sof.
Cette page sera, heureusement, vierge de toute politique politicienne et de leurs adeptes de Benno.
Elle s’écrira avec le peuple sénégalais et sans les Benno Tass-Yakkar .........
Samuel A. Sarr
Ancien Ministre d'Etat
Wadiste éternel
Almadies, Dakar