a coépouse du ministre, Mme Aïda Mbodj, a été jugée hier en compagnie de son vigile pour Cbv réciproques. Ils ont écopé de 2 mois assortis de sursis.
C’est à croire que le sort s’acharne sur la dame Fatou Bintou Ngom. Traduite au cours du mois de décembre 2007 à la barre par son époux Cheikh Modou Gueye pour injures, la voilà de nouveau à la barre, pour Coups et blessures volontaires (Cbv) réciproques à l’encontre de son vigile. A la fois prévenue et partie civile dans cette affaire qui l’a opposée au sieur Mactar Mbaye, lequel a été pendant 13 ans, au service de son époux. A la barre, l’un comme l’autre se sont renvoyé la balle. Entendu tour à tour, M. Mbaye, a déclaré que c’est son refus d’aller faire les courses de madame au marché qui est à l’origine de leur différend. Un refus qui est resté à travers la gorge de sa patronne. Cette derniére dira-t-il, qui voulait coûte que coûte lui trouver un motif, pour lui faire payer cher son geste, s’est jetée sur lui, avec une lame pour lui lacérer le visage. Un acte qui lui a valu une Incapacité temporaire de travail (Itt) de 15 jours. Il faut dire que ce récit a été battu en brèche, par la dame qui soutient avoir été attaquée par le vigile. Elle a, en effet, indiqué que c’est le fait qu’elle ait dit au mis en cause de ne plus laisser le matériel électroménager allumé en son absence qui a mis celui-ci dans une colère noire. C’est ainsi que, enfermé dans sa chambre, il en est
ressorti pour s’attaquer à elle. Dans leur échange, le vigile plus fort qu’elle a appuyé son genou au niveau de son bas ventre. Selon elle, c’est plus tard à la gendarmerie qu’elle a vu les blessures que lui avaient infligées son adversaire avec ses ongles. Après les mains, la coépouse du maire de Bambey est allée se doter d’un certificat médical faisant état de dermatoses et de douleurs à l’abdomen, surtout au niveau du bas ventre avec une Itt de 18 jours. Le parquet, dans son réquisitoire, a tranché la poire en deux. Il a ainsi requis 2 mois assortis de sursis pour les deux parties. L’avocat du vigile, convaincu que la dame en voulait à son client qui avait fait un témoignage favorable à l’époux dans le procès qui l’opposait à celle-ci, a plaidé la bonne foi de M. Mbaye. Soutenant mordicus que les exulcérations commises sur le visage sont le fait d’une lame, il a réclamé pour son client 250 000 francs Cfa pour son dédommagement. F. B. Ngom, mère de 4 enfants, séparée d’avec son époux depuis 4 ans, n’en est pas restée là. Son avocat la qualifiant comme la seule victime dans cette affaire qui s’est passée aux Almadies, a demandé 1 000 000 francs Cfa pour dédommager son client. A la suite des demandes des deux parties, aussi bien leur sollicitation que le réquisitoire ont été suivis.
Le Populaire
C’est à croire que le sort s’acharne sur la dame Fatou Bintou Ngom. Traduite au cours du mois de décembre 2007 à la barre par son époux Cheikh Modou Gueye pour injures, la voilà de nouveau à la barre, pour Coups et blessures volontaires (Cbv) réciproques à l’encontre de son vigile. A la fois prévenue et partie civile dans cette affaire qui l’a opposée au sieur Mactar Mbaye, lequel a été pendant 13 ans, au service de son époux. A la barre, l’un comme l’autre se sont renvoyé la balle. Entendu tour à tour, M. Mbaye, a déclaré que c’est son refus d’aller faire les courses de madame au marché qui est à l’origine de leur différend. Un refus qui est resté à travers la gorge de sa patronne. Cette derniére dira-t-il, qui voulait coûte que coûte lui trouver un motif, pour lui faire payer cher son geste, s’est jetée sur lui, avec une lame pour lui lacérer le visage. Un acte qui lui a valu une Incapacité temporaire de travail (Itt) de 15 jours. Il faut dire que ce récit a été battu en brèche, par la dame qui soutient avoir été attaquée par le vigile. Elle a, en effet, indiqué que c’est le fait qu’elle ait dit au mis en cause de ne plus laisser le matériel électroménager allumé en son absence qui a mis celui-ci dans une colère noire. C’est ainsi que, enfermé dans sa chambre, il en est
ressorti pour s’attaquer à elle. Dans leur échange, le vigile plus fort qu’elle a appuyé son genou au niveau de son bas ventre. Selon elle, c’est plus tard à la gendarmerie qu’elle a vu les blessures que lui avaient infligées son adversaire avec ses ongles. Après les mains, la coépouse du maire de Bambey est allée se doter d’un certificat médical faisant état de dermatoses et de douleurs à l’abdomen, surtout au niveau du bas ventre avec une Itt de 18 jours. Le parquet, dans son réquisitoire, a tranché la poire en deux. Il a ainsi requis 2 mois assortis de sursis pour les deux parties. L’avocat du vigile, convaincu que la dame en voulait à son client qui avait fait un témoignage favorable à l’époux dans le procès qui l’opposait à celle-ci, a plaidé la bonne foi de M. Mbaye. Soutenant mordicus que les exulcérations commises sur le visage sont le fait d’une lame, il a réclamé pour son client 250 000 francs Cfa pour son dédommagement. F. B. Ngom, mère de 4 enfants, séparée d’avec son époux depuis 4 ans, n’en est pas restée là. Son avocat la qualifiant comme la seule victime dans cette affaire qui s’est passée aux Almadies, a demandé 1 000 000 francs Cfa pour dédommager son client. A la suite des demandes des deux parties, aussi bien leur sollicitation que le réquisitoire ont été suivis.
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