J'aurais bien aimé que des études soient faites afin d'estimer les retombées économiques, sociales pour cette population.
Si la population de "Ndengleer" cultive à peu près 8 ha d’arachide et supposons que chaque hectare produit entre 2 à 3 tonnes avec un prix de vente de 300 FCfa le kg, donc le chiffre d’affaires tournerait autour de 900.00 cfa/ ha.
Partant de là, on peut facilement connaître le profit annuel provenant de cette exploitation (à noter que ce sont des valeurs approximatives). Maintenant, faites le calcul sur une période mensuelle et par nombre d’habitants et vous apercevrez le niveau de précarité dans laquelle vit la population de Ndengleer.
Ça reste toujours une approximation mais c’est sûr qu'avec des études beaucoup plus approfondies, on serait plus éclairé sur la situation.
Donc avant de se pencher sur les intérêts de Sedima qui n’a plus rien à prouver, examinons d'abord les potentiels avantages que peut en tirer cette population.
Je suis d'avis pour que les entrepreneurs qui ont les moyens, investissent les terres, accompagnent les populations locales et que ça soit un tremplin pour atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Par Beugue Saliou Khelcom
Si la population de "Ndengleer" cultive à peu près 8 ha d’arachide et supposons que chaque hectare produit entre 2 à 3 tonnes avec un prix de vente de 300 FCfa le kg, donc le chiffre d’affaires tournerait autour de 900.00 cfa/ ha.
Partant de là, on peut facilement connaître le profit annuel provenant de cette exploitation (à noter que ce sont des valeurs approximatives). Maintenant, faites le calcul sur une période mensuelle et par nombre d’habitants et vous apercevrez le niveau de précarité dans laquelle vit la population de Ndengleer.
Ça reste toujours une approximation mais c’est sûr qu'avec des études beaucoup plus approfondies, on serait plus éclairé sur la situation.
Donc avant de se pencher sur les intérêts de Sedima qui n’a plus rien à prouver, examinons d'abord les potentiels avantages que peut en tirer cette population.
Je suis d'avis pour que les entrepreneurs qui ont les moyens, investissent les terres, accompagnent les populations locales et que ça soit un tremplin pour atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Par Beugue Saliou Khelcom