Depuis un certain temps, beaucoup de fils du terroir manifestent leurs intentions de prendre en main les destinées de la commune. Tels des lutteurs en phase de "face to face", chacun d’eux loue ses propres qualités et tance directement ou indirectement les autres. C’est en tous cas les signes d’une campagne électorale qui s’annonce rude.
Le constat général est que la commune, depuis sa création, a toujours été gérée par des non résidants. Se sont certes des fils du terroir mais qui pour une raison ou une autre résident à des centaines de kilomètres du Djolof. Confiant ainsi la gestion à une personne de son choix, cette dernière aura de facto la procuration qui lui permettra de concocter tous les plans dont il rêvait. Cette forme de gestion n’a pas manqué d’activer l’ire d’une certaine frange de la localité qui, il y a quelque temps, était montée au créneau pour non seulement dénoncer cette forme de gestion mais aussi pour faire part de leur intention de voir leur commune gérée par des "résidents". Ce groupe de jeunes qui, à tort ou à raison, veulent un changement dans la gestion de leur commune n’ont pas encore dit leur dernier mot. Mais, il est aussi à noter que leur œuvre s’annonce difficile dans la mesure où les prétendants qui rivalisent pour prendre la main de cette ravissante demoiselle sont non seulement pleins aux as mais aussi ils sont prêts à tout pour s’octroyer la confiance des populations.
De toutes les façons, même si les prétendants comptent sur la force des billets de banque pour convaincre, les Djolof-Djolof sont suffisamment mûrs et suffisamment dignes pour être corrompus. Nous prions pour que le bon Dieu choisissent pour toutes les localités du Djolof les dirigeants à même de redorer le blason de la contrée. Vive un Djolof qui gagne !
MALICK SAKHO (BERGAMO,Italie).
Le constat général est que la commune, depuis sa création, a toujours été gérée par des non résidants. Se sont certes des fils du terroir mais qui pour une raison ou une autre résident à des centaines de kilomètres du Djolof. Confiant ainsi la gestion à une personne de son choix, cette dernière aura de facto la procuration qui lui permettra de concocter tous les plans dont il rêvait. Cette forme de gestion n’a pas manqué d’activer l’ire d’une certaine frange de la localité qui, il y a quelque temps, était montée au créneau pour non seulement dénoncer cette forme de gestion mais aussi pour faire part de leur intention de voir leur commune gérée par des "résidents". Ce groupe de jeunes qui, à tort ou à raison, veulent un changement dans la gestion de leur commune n’ont pas encore dit leur dernier mot. Mais, il est aussi à noter que leur œuvre s’annonce difficile dans la mesure où les prétendants qui rivalisent pour prendre la main de cette ravissante demoiselle sont non seulement pleins aux as mais aussi ils sont prêts à tout pour s’octroyer la confiance des populations.
De toutes les façons, même si les prétendants comptent sur la force des billets de banque pour convaincre, les Djolof-Djolof sont suffisamment mûrs et suffisamment dignes pour être corrompus. Nous prions pour que le bon Dieu choisissent pour toutes les localités du Djolof les dirigeants à même de redorer le blason de la contrée. Vive un Djolof qui gagne !
MALICK SAKHO (BERGAMO,Italie).