"Sur la croissance, le président Obama a pu marquer une convergence" de vues avec la France, a déclaré M. Hollande à l'issue de son premier entretien à la Maison Blanche avec M. Obama, dès son arrivée sur le sol américain vendredi.
Barack Obama a assuré de son côté à son hôte que le sommet du G8, qui s'ouvre dans la soirée dans sa résidence de campagne de Camp David, évoquerait "des mesures énergiques pour la croissance" afin de compenser l'impact de l'austérité imposée pour redresser les comptes publics. Au moment où le blocage politique en Grèce fait craindre un retour de la Grèce à la drachme, les deux présidents ont affiché "la même conviction que la Grèce doit rester dans la zone euro".
Le président français et le nouveau chef du gouvernement italien Mario Monti, qui sera lui aussi présent lors de ce sommet des huit pays les plus industrialisés, souhaitent orienter la politique économique de leur pays vers davantage de croissance, à rebours de la rigueur professée par la chancelière allemande Angela Merkel. Washington, tout en se défendant d'interventionnisme, a multiplié ces derniers jours les déclarations favorables vis-à-vis de "l'évolution des discussions et du débat en Europe sur l'impératif de l'emploi et de la croissance".
SOURCE:7sur7.be
Barack Obama a assuré de son côté à son hôte que le sommet du G8, qui s'ouvre dans la soirée dans sa résidence de campagne de Camp David, évoquerait "des mesures énergiques pour la croissance" afin de compenser l'impact de l'austérité imposée pour redresser les comptes publics. Au moment où le blocage politique en Grèce fait craindre un retour de la Grèce à la drachme, les deux présidents ont affiché "la même conviction que la Grèce doit rester dans la zone euro".
Le président français et le nouveau chef du gouvernement italien Mario Monti, qui sera lui aussi présent lors de ce sommet des huit pays les plus industrialisés, souhaitent orienter la politique économique de leur pays vers davantage de croissance, à rebours de la rigueur professée par la chancelière allemande Angela Merkel. Washington, tout en se défendant d'interventionnisme, a multiplié ces derniers jours les déclarations favorables vis-à-vis de "l'évolution des discussions et du débat en Europe sur l'impératif de l'emploi et de la croissance".
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