Né le 10 juin 1949, Il appartient à la troisième génération de cinéastes sénégalais, nous dit africultures.com.
Formé sur le tas, il a commencé par être assistant d’autres metteurs en scène sénégalais comme Mahama Traoré, ou Ababacar Samb. En 1974, il entre à la télévision sénégalaise comme réalisateur, et dans le même temps, met en scène deux courts-métrages : "Tableau Ferraille" et "Arrêt Car".
Le premier s’intéresse aux « déguerpis », ces habitants des quartiers misérables de Dakar, qu’on ne cesse de repousser au fur et à mesure que la ville grandit.
Le second, de même, est un film à base sociologique, malheureusement non terminé, faute de moyens.
Avec d’autres cinéastes, Cheikh a créé un foyer de recherches dans lequel, ensemble, ils s’attachent à réfléchir à l’expression cinématographique, à une écriture spécifique.
Entre 1972-1976, il était réalisateur-producteur à l’ORTS (Office de Radio Télévision du Sénégal), l’ancêtre de l’actuelle RTS (Radio Télévision Sénégalaise).
Il a été aussi le président de l’association CINESEAS (Cinéastes Sénégalais Associés) depuis 2007. Il est producteur avec Les films Fawurë.
Paix à son âme, par la Grâce de DIEU, que le Paradis soit sa nouvelle demeure pour l’éternité !
Formé sur le tas, il a commencé par être assistant d’autres metteurs en scène sénégalais comme Mahama Traoré, ou Ababacar Samb. En 1974, il entre à la télévision sénégalaise comme réalisateur, et dans le même temps, met en scène deux courts-métrages : "Tableau Ferraille" et "Arrêt Car".
Le premier s’intéresse aux « déguerpis », ces habitants des quartiers misérables de Dakar, qu’on ne cesse de repousser au fur et à mesure que la ville grandit.
Le second, de même, est un film à base sociologique, malheureusement non terminé, faute de moyens.
Avec d’autres cinéastes, Cheikh a créé un foyer de recherches dans lequel, ensemble, ils s’attachent à réfléchir à l’expression cinématographique, à une écriture spécifique.
Entre 1972-1976, il était réalisateur-producteur à l’ORTS (Office de Radio Télévision du Sénégal), l’ancêtre de l’actuelle RTS (Radio Télévision Sénégalaise).
Il a été aussi le président de l’association CINESEAS (Cinéastes Sénégalais Associés) depuis 2007. Il est producteur avec Les films Fawurë.
Paix à son âme, par la Grâce de DIEU, que le Paradis soit sa nouvelle demeure pour l’éternité !