Selon les acteurs, les routes sont dégradées à cause de la surcharge des poids lourds. «La dégradation prématurée de nos routes au Sénégal, même si elle est liée en partie à la qualité de sa mise en œuvre, de son assainissement, reste fortement dépendante des effets néfastes de la surcharge des poids lourds qui constituent non seulement une source de détérioration prématurée de nos infrastructures routières mais entraine l’insécurité routière, la pollution atmosphérique, un surcoût de 20% en cas de travaux de renforcement et de reprise de ces routes» a indiqué le Secrétaire général du Ministère de la Coopération, de l’Aménagement du territoire, des Transports Aériens et des Infrastructures (Micatti), El Hadji Malick Niang.
Il a cité comme exemple le cas de la route nationale N°1 qui est une route internationale qui permet d’assurer la liaison entre le Sénégal et le Mali. Cette dernière, dit-il, est pratiquement reprise tous les 5 ans et la raison majeure de cela c’est la charge à l’essieu. Monsieur Niang a expliqué que «nous sommes, sur cet axe, avec des partenaires notamment ceux du Mali, qui, par une politique d’acquisition de camions lourds, a eu à faciliter l’acquisition de poids lourds, de tonnage extrêmement important et qui ont participé à la dégradation de cet axe qui est le corridor international Dakar-Bamako».
De son avis, il s’agit d’un problème dont la résolution serait le bénéfice de tous les acteurs que ça soit les usagers, les transporteurs au premier chef et surtout l’Etat du Sénégal.
Des études montrent que la durée de service de la chaussée serait divisé par deux (2) c’est-à-dire sept ans et demi au lieu de quinze ans, si tous les poids lourds étaient surchargés seulement de plus de 4 tonnes par rapport à la règlementation actuelle.
Le secrétaire général du MICATTI de confier que «l’UEMOA en particulier le Sénégal a pris l‘engagement de s’investir dans le respect du règlement N° 14/2005 UEMOA relatif à l’harmonisation des normes et des procédures de contrôle du gabarit, du poids et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans les Etats membres de l’UEMOA».
pressafrik.com
Il a cité comme exemple le cas de la route nationale N°1 qui est une route internationale qui permet d’assurer la liaison entre le Sénégal et le Mali. Cette dernière, dit-il, est pratiquement reprise tous les 5 ans et la raison majeure de cela c’est la charge à l’essieu. Monsieur Niang a expliqué que «nous sommes, sur cet axe, avec des partenaires notamment ceux du Mali, qui, par une politique d’acquisition de camions lourds, a eu à faciliter l’acquisition de poids lourds, de tonnage extrêmement important et qui ont participé à la dégradation de cet axe qui est le corridor international Dakar-Bamako».
De son avis, il s’agit d’un problème dont la résolution serait le bénéfice de tous les acteurs que ça soit les usagers, les transporteurs au premier chef et surtout l’Etat du Sénégal.
Des études montrent que la durée de service de la chaussée serait divisé par deux (2) c’est-à-dire sept ans et demi au lieu de quinze ans, si tous les poids lourds étaient surchargés seulement de plus de 4 tonnes par rapport à la règlementation actuelle.
Le secrétaire général du MICATTI de confier que «l’UEMOA en particulier le Sénégal a pris l‘engagement de s’investir dans le respect du règlement N° 14/2005 UEMOA relatif à l’harmonisation des normes et des procédures de contrôle du gabarit, du poids et de la charge à l’essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans les Etats membres de l’UEMOA».
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