« La distribution pour les produits alimentaires souffre, depuis longtemps, de la pléthore d’intervenants, qui agissent sur la chaine partant de l’industriel au consommateur », a estimé Lamine Néné Ndiaye, président de l’Union des boutiquiers et détaillants du Sénégal (Ubds. Il s’agit, énumère-t-il, des grossistes, des demi grossistes et des détaillants. Ces derniers, déplore M. Ndiaye, évoluent non seulement dans l’informel, mais aussi, ils ne sont pas « quantifiables ». C’est pourquoi, la Cbao s’est engagée à nous accompagner pour une formalisation du secteur de commerce de détail. C’est un programme ambitieux et bénéfique », s’est réjoui M. Ndiaye. .
Selon ce dernier, ces commerçants occupent une place essentielle dans l’activité économique interne. D’où la mise en place, en 2010, de l’Ubds qui vise à assainir le secteur du commerce de détail. Le président a, toutefois, regretté le manque de soutien des autorités dans leur mission. « Que ce soit le régime sortant ou celui de Macky Sall, aucun d’entre eux n’a apporté un remède aux difficultés rencontrées par notre secteur».
Pour Mouhamadou Guèye, représentant de la Cbeao, une des structures de partenaires de ce programme, l’assainissement du milieu des boutiquiers et détaillants, passe d’abord par une formalisation des acteurs. Il souligne, en outre, que la bancarisation leur permettra de bénéficier des services financiers des banques.
« Dans le schéma de baisse des prix des denrées, nous avons pu remarquer que le secteur du commerce de détail posait beaucoup plus de problèmes, qui se répercutaient sur les mesures », a fait remarquer Abdoulaye Fall, représentant du ministre du Commerce. Ainsi pour remédier à cette situation, il annonce la mise en place d’une politique nationale sur la distribution », a indiqué M. Fall.
« En ayant une maitrise sur ce secteur, nous pensons pouvoir régler un problème très récurrent lié au circuit de distribution », a-t-il ajouté. Pour le représentant du ministre, le lancement de ce programme de formalisation par l’Union des boutiquiers et détaillants du Sénégal (Ubds) permettra de faire face aux soucis relatifs au fisc, à l’identification et à l’inscription des commerçants détaillants sur les registres de commerce.
A . DIAW Senecoplus
Selon ce dernier, ces commerçants occupent une place essentielle dans l’activité économique interne. D’où la mise en place, en 2010, de l’Ubds qui vise à assainir le secteur du commerce de détail. Le président a, toutefois, regretté le manque de soutien des autorités dans leur mission. « Que ce soit le régime sortant ou celui de Macky Sall, aucun d’entre eux n’a apporté un remède aux difficultés rencontrées par notre secteur».
Pour Mouhamadou Guèye, représentant de la Cbeao, une des structures de partenaires de ce programme, l’assainissement du milieu des boutiquiers et détaillants, passe d’abord par une formalisation des acteurs. Il souligne, en outre, que la bancarisation leur permettra de bénéficier des services financiers des banques.
« Dans le schéma de baisse des prix des denrées, nous avons pu remarquer que le secteur du commerce de détail posait beaucoup plus de problèmes, qui se répercutaient sur les mesures », a fait remarquer Abdoulaye Fall, représentant du ministre du Commerce. Ainsi pour remédier à cette situation, il annonce la mise en place d’une politique nationale sur la distribution », a indiqué M. Fall.
« En ayant une maitrise sur ce secteur, nous pensons pouvoir régler un problème très récurrent lié au circuit de distribution », a-t-il ajouté. Pour le représentant du ministre, le lancement de ce programme de formalisation par l’Union des boutiquiers et détaillants du Sénégal (Ubds) permettra de faire face aux soucis relatifs au fisc, à l’identification et à l’inscription des commerçants détaillants sur les registres de commerce.
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