Selon une étude de psychologie publiée fin janvier dans la revue International Journal of Eating Disorders, «l'utilisation de Facebook entretient le risque de trouble alimentaire».
Des chercheurs de l’université d’Etat de Floride ont interrogé des jeunes femmes d’un âge moyen de 18 ans. En plaçant une partie du groupe devant Facebook pendant 20 minutes, et le groupe de contrôle devant une page wikipédia et une vidéo d’ocelot –un chat sauvage, pour éviter qu’elles soient exposées à des corps humains– ils sont arrivés à la conclusion qu’il existait une corrélation, «petite mais significative», entre le temps passé sur Facebook et l’importance des troubles alimentaires.
Des chercheurs de l’université d’Etat de Floride ont interrogé des jeunes femmes d’un âge moyen de 18 ans. En plaçant une partie du groupe devant Facebook pendant 20 minutes, et le groupe de contrôle devant une page wikipédia et une vidéo d’ocelot –un chat sauvage, pour éviter qu’elles soient exposées à des corps humains– ils sont arrivés à la conclusion qu’il existait une corrélation, «petite mais significative», entre le temps passé sur Facebook et l’importance des troubles alimentaires.