C’est ce que révèle La Presse de Tunisie, qui s’interroge sur les raisons qui entraînent la fuite des cerveaux tunisiens.
Selon le site Internet, la situation tend à devenir problématique, puisque ces «cerveaux» en fuite sont pourtant ceux pour lesquels la communauté nationale investit le plus.
Les études à l’étranger coûtent en moyenne 40 fois plus cher qu’en Tunisie.
La Presse de Tunisie rappelle que tout ingénieur ayant obtenu une certification de type Java, Microsoft, Linux ou Oracle dispose de fait d’un passeport pour l’émigration vers le Canada, les Etats-Unis ou l’Europe, où l’on cherche à attirer les ingénieurs certifiés en TIC (technologies de l’information et de la communication).
D’après le site d’information, la fuite des cerveaux se serait aggravée dans le milieu des années 90. Jusque-là, les étudiants formés à l’étranger qui revenaient au pays pouvaient généralement intégrer la direction des grands ministères ou entreprises.
Mais la dévalorisation des élites, au profit de la structure familiale très cloisonnée de diverses grandes entreprises a progressivement entravé leur liberté d’action et de décision. Ainsi préfèrent-ils ne pas rentrer.
Environ 15.000 Tunisiens étudieraient en France, faisant de l’Hexagone la destination préférée des jeunes pour se former, devant l’Allemagne et la Roumanie, indique encore La Presse de Tunisie.
Lu sur La presse de Tunisie
Selon le site Internet, la situation tend à devenir problématique, puisque ces «cerveaux» en fuite sont pourtant ceux pour lesquels la communauté nationale investit le plus.
Les études à l’étranger coûtent en moyenne 40 fois plus cher qu’en Tunisie.
La Presse de Tunisie rappelle que tout ingénieur ayant obtenu une certification de type Java, Microsoft, Linux ou Oracle dispose de fait d’un passeport pour l’émigration vers le Canada, les Etats-Unis ou l’Europe, où l’on cherche à attirer les ingénieurs certifiés en TIC (technologies de l’information et de la communication).
D’après le site d’information, la fuite des cerveaux se serait aggravée dans le milieu des années 90. Jusque-là, les étudiants formés à l’étranger qui revenaient au pays pouvaient généralement intégrer la direction des grands ministères ou entreprises.
Mais la dévalorisation des élites, au profit de la structure familiale très cloisonnée de diverses grandes entreprises a progressivement entravé leur liberté d’action et de décision. Ainsi préfèrent-ils ne pas rentrer.
Environ 15.000 Tunisiens étudieraient en France, faisant de l’Hexagone la destination préférée des jeunes pour se former, devant l’Allemagne et la Roumanie, indique encore La Presse de Tunisie.
Lu sur La presse de Tunisie