Les nations fortes ont toujours compté sur l’expertise d’une jeunesse responsable parce que bien formée au préalable, à une échelle transversale pour relever les défis qui, à l’origine ont l’air d’obstacles insurmontables. Le Sénégal qui n’est pas une exception à la règle n’a de force que sa jeunesse, fer de lance de la bataille pour le développement au sens le plus large du mot ; devoir aux jeunes d’assurer la relève car il est cas d’un héritage dont le poids repose sur les épaules d’une frange de la population plus prompte à contester qu’à s’assumer.
Aujourd’hui, il est clair que le Sénégal ne se réalisera pas sans sa jeunesse. Cela, le Parti démocratique sénégalais au pouvoir en est d’autant plus conscient que le Chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade, depuis son arrivée à la tête de la magistrature suprême a fait signe de foi en la jeunesse de son pays dont la promotion à des stations de responsabilité est d’une illustration sans commune mesure ailleurs. Preuve que dans une République, le principe de la continuité des institutions recommande à plus d’un impératif que la jeunesse soit associée aux commandes et aux affaires.
Et la génération bleue, cette structure à la naissance de laquelle nous sommes acquis se veut un cadre inter-générationnel de discussion sur l’avenir du libéralisme qui veut que plus d’espace soit accordé aux jeunes qui n’étaient pas là à l’heure de la formations du Pds mais qui jouent aujourd’hui des rôles de responsables. Cela à notre avis est une manière de faire évoluer l’idéologie du Parti démocratique sénégalais qui n’entend pas faillir à son devoir de remettre le flambeau aux jeunes pour être en phase avec les préoccupations du temps. De 1974, l’année de la création du Pds à nos jours, les contextes ont évolué ; autrement dit, les anciens de la formation politique libérale ont naturellement fait leur preuve. Il y a lieu de les remercier pour laisser les choses bouger avec les jeunes. Telle est notre conviction politique. Elle est irréductible car inspirée d’une démarche politique cohérente qui veut que le Sénégal aux destinées duquel Me Wade préside en tant troisième Chef de l’Etat soit une République qui force respect et considération avec une jeunesse à la pointe de toutes les batailles futures.
Me Wade qui reste incontestablement porteur d’espoir est naturellement le candidat idéal de la génération bleue à la présidentielle de 2012. L’homme pour avoir fait confiance à la jeunesse à laquelle il a préparé à l’accomplissement des responsabilités est un acteur de la rupture par rapport aux méthodes classiques. Qui dit génération bleue, renvoie à ce cadre de dialogue qui a déjà étendu ses antennes en France et en Espagne, avec en ligne de mire la mise en place des comités régionaux au Sénégal.
Aujourd’hui, il est clair que le Sénégal ne se réalisera pas sans sa jeunesse. Cela, le Parti démocratique sénégalais au pouvoir en est d’autant plus conscient que le Chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade, depuis son arrivée à la tête de la magistrature suprême a fait signe de foi en la jeunesse de son pays dont la promotion à des stations de responsabilité est d’une illustration sans commune mesure ailleurs. Preuve que dans une République, le principe de la continuité des institutions recommande à plus d’un impératif que la jeunesse soit associée aux commandes et aux affaires.
Et la génération bleue, cette structure à la naissance de laquelle nous sommes acquis se veut un cadre inter-générationnel de discussion sur l’avenir du libéralisme qui veut que plus d’espace soit accordé aux jeunes qui n’étaient pas là à l’heure de la formations du Pds mais qui jouent aujourd’hui des rôles de responsables. Cela à notre avis est une manière de faire évoluer l’idéologie du Parti démocratique sénégalais qui n’entend pas faillir à son devoir de remettre le flambeau aux jeunes pour être en phase avec les préoccupations du temps. De 1974, l’année de la création du Pds à nos jours, les contextes ont évolué ; autrement dit, les anciens de la formation politique libérale ont naturellement fait leur preuve. Il y a lieu de les remercier pour laisser les choses bouger avec les jeunes. Telle est notre conviction politique. Elle est irréductible car inspirée d’une démarche politique cohérente qui veut que le Sénégal aux destinées duquel Me Wade préside en tant troisième Chef de l’Etat soit une République qui force respect et considération avec une jeunesse à la pointe de toutes les batailles futures.
Me Wade qui reste incontestablement porteur d’espoir est naturellement le candidat idéal de la génération bleue à la présidentielle de 2012. L’homme pour avoir fait confiance à la jeunesse à laquelle il a préparé à l’accomplissement des responsabilités est un acteur de la rupture par rapport aux méthodes classiques. Qui dit génération bleue, renvoie à ce cadre de dialogue qui a déjà étendu ses antennes en France et en Espagne, avec en ligne de mire la mise en place des comités régionaux au Sénégal.