La seule évocation de ce qui s'appelle "la génération du concret" ou de ce qui semble la composer, c'est accorder de l'importance à quelque chose qui n'en a pas plus que la crotte d'un chien que l'on aurait pas remarqué si elle ne sentait pas si mauvais ou si ce n'était pour éviter de marcher dessus. Qu'est-ce qui caractérise ce machin ?
D'abord le nom choisi, "génération du concret", est tellement stupide et enfantin qu'il ne mérite pas que l'on s'attarde à en chercher une signification ou un contenu. L'auteur, qui ne mérite pas d'être désigné, ne doit pas avoir trouvé ce nom ridicule trop loin d'une cours de récréation des primaires.
Ensuite, qu'est-ce que c'est exactement ? Un parti ? Une association ? Un mouvement ? Une mouvance ? Là aussi, un nom aussi stupide ne peut dénoter que d'un contenu vide et aussi peu réfléchi. Inutile donc de s'y intéresser..
Et qui sont ceux qui se réclament de ce machin dont l'odeur ne saurait mentir ?
D'abord celui qui s'en dit le chef, ou en tout cas qui le fait dire par ses ouailles car il n'ose s'exprimer ouvertement, tellement les choses les plus simples trouvent des obstacles chez lui. Voilà un garçon, oui un garçon même si il n'a jamais démontré qu'il avait quelque chose dans le pantalon, qui n'a jamais versé la moindre sueur dans ou pour ce pays qu'il dit être le sien parce que des fonctionnaires corrompus lui ont délivré à son arrivée, sur invitation à la noce de son papa, une carte d'identité sénégalaise et un passeport qu'il avait honte de porter auparavant. D'ailleurs son papa et sa maman lui avaient fait porter le prénom de "Robert" pour qu'il passât mieux inaperçu sur les listes avec ses camarades occidentaux, et pour qu'il résistât mieux au complexe de ne pas avoir une peau aussi blanche que celle de sa maman.
Le parcours pédagogique de ce garçon semble faire rougir de honte son propre papa qui est obligé de lui inventer un cursus virtuel, et surtout de taire ces multitudes de classes que son gamin a été obligé de refaire à 5 reprises au total, ou encore dissimuler ce mémoire de fin d'études que le pseudo meilleur élève a été obligé d'emprunter à sa petite sœur qui a tout le temps de le rattraper pour qu'ils se partagent le même mémoire.
Après un petit poste occupé dans une banque à Londres, ce garçon a vite fait ses baluchons pour répondre à l'appel à la graille du papa devenu président sans le moindre apport de son fils dans la lutte des sénégalais qui ont rendu l'alternance possible.
A son arrivée au Sénégal en 2002, dès les premiers mois il est surnommé Monsieur 10 %". Mais 10 % c'était juste pour se faire la main avant d'atteindre la vraie vitesse de croisière qui a fini par hypothèquer l'économie sénégalaise. Une fois les leçons de papa bien appréhendées, 10 % n'étaient plus que la part qui retournait aux autres ou au patrimoine sénégalais.
Tout le monde s'est vite rendu compte que ce garçon, en dehors de dérober, n'avait pas appris grand-chose car il échoue partout, même là où l'échec est totalement impossible. L'un des exemples les plus patents, c'est le grand flop de l'organisation d'une simple conférence avec 10 fois plus de moyens qu'il en a fallu aux autres, et avec pratiquement deux fois plus de temps. C'est comme si l'on donnait à quelqu'un 20 tablettes d'œufs pour qu'il parvienne à confectionner un simple œuf sur le plat, et au terme de la vingtième tablette, il n'y est pas parvenu et a dû aller en acheter un au restaurant.
Tout ce à quoi ce garçon a touché s'est transformé en catastrophe, et toujours sur fonds de vol, de détournement, et selon des méthodes stupides et grossières : ICS – Phosphates de Matam – Senelec – Sonacos – Veolia – Fonds politiques – Fonds arabes (dont le trafic de devises pour lequel il s'est fait épinglé stupidement) – Travaux Anoci – Sudatel – Réfection avion présidentiel – et tant d'autres. Son papa, aussi insatiable que lui, se charge de mettre les institutions à ses bottes pendant que le garçon vole pour la famille et leurs générations à venir. Ce garçon et son papa font chaque jour pire que la veille car convaincus que tous les sénégalais ont la mémoire courte et savent se contenter des miettes, ignorant la triste fin qui leur est réservée.
Alors, connaissant le vrai profil et les aptitudes virtuelles d'un tel guignol qui se dit chef d'un tel machin avec un nom aussi stupide, il est aisé d'imaginer à quel point peuvent être minables ceux qui se prosternent, se courbent, s'offrent sans condition, s'aplatissent, s'écrasent, se couchent, devant un tel rigolo.
En fait lorsque l'on voit le genre de personnes qui s'en réclament, ce qui s'appelle "génération du concret" est la poubelle des poubelles. Cela s'explique aisément car ce sont les pires déchets du PDS et des micro-partis souteneurs qui s'y retrouvent. Outre les politiciens de caniveau, ce sont les loosers se sachant incapables de se forger une carrière sur base de leurs compétences supposées qui choisissent alors la facilité, la voie de la larbinerie, de la courtisanerie. Ce machin est également le parfait abris des pillards, des fripouilles, des brigands, des barboteurs, de tous les rebus du PDS et ses alliés à la recherche d'une nouvelle caverne d'Ali Baba. "Le poulailler est un palais doré pour le coq malgré la puanteur des lieux"
Tous ces bandits et opportunistes de la pire espère ont vu le sort que l'on réserve à ceux qui osent demander des comptes à ce garçon, chef de ce machin, qui a pourtant fait disparaître des centaines de milliards, entre le foncier, les dons, les prêts, les financements, etc….., juste pour l'embellissement d'une Corniche et d'une VDN. Alors quel meilleur abri ou vache à lait qu'une telle organisation, une telle agence, ou une telle quoi que ce soit d'autre dirigée par un tel intouchable dont la cupidité n'aurait pas son égale si il n'avait pas un bon maître.
Avec un tel degré de nuisance sur toute une économie, avec un tel pouvoir de corruption, avec une telle machine à propagande et à mensonge face à l'imposture et l'incompétence de ses dirigeants ou fondateurs, avec une telle caution et protection que celle de la triste première institution du pays, l'on peut comprendre de voir ce machin souvent cité dans des propos ou dans des unes de quotidiens, mais pour en dire quoi ? Rien qui ne puisse apporter quelque chose à la société sinon de détruire ses fondements et ses valeurs.
Ce machin appelé "génération du concret" doit donc sa réputation qu'à des anti-valeurs et à son odeur qui n'attire que les charognes, les croque-morts, les perdants. C'est ce qui fait son insignifiance, insignifiant voulant dire ici : qui manque de valeur ou d'intérêt. L'on parle de ce machin uniquement parce que son odeur fétide laisse peu indifférent ou passe difficilement inaperçu.
CONTRIBUTION PAR:
MARVEL
marvel@hotmail.fr
D'abord le nom choisi, "génération du concret", est tellement stupide et enfantin qu'il ne mérite pas que l'on s'attarde à en chercher une signification ou un contenu. L'auteur, qui ne mérite pas d'être désigné, ne doit pas avoir trouvé ce nom ridicule trop loin d'une cours de récréation des primaires.
Ensuite, qu'est-ce que c'est exactement ? Un parti ? Une association ? Un mouvement ? Une mouvance ? Là aussi, un nom aussi stupide ne peut dénoter que d'un contenu vide et aussi peu réfléchi. Inutile donc de s'y intéresser..
Et qui sont ceux qui se réclament de ce machin dont l'odeur ne saurait mentir ?
D'abord celui qui s'en dit le chef, ou en tout cas qui le fait dire par ses ouailles car il n'ose s'exprimer ouvertement, tellement les choses les plus simples trouvent des obstacles chez lui. Voilà un garçon, oui un garçon même si il n'a jamais démontré qu'il avait quelque chose dans le pantalon, qui n'a jamais versé la moindre sueur dans ou pour ce pays qu'il dit être le sien parce que des fonctionnaires corrompus lui ont délivré à son arrivée, sur invitation à la noce de son papa, une carte d'identité sénégalaise et un passeport qu'il avait honte de porter auparavant. D'ailleurs son papa et sa maman lui avaient fait porter le prénom de "Robert" pour qu'il passât mieux inaperçu sur les listes avec ses camarades occidentaux, et pour qu'il résistât mieux au complexe de ne pas avoir une peau aussi blanche que celle de sa maman.
Le parcours pédagogique de ce garçon semble faire rougir de honte son propre papa qui est obligé de lui inventer un cursus virtuel, et surtout de taire ces multitudes de classes que son gamin a été obligé de refaire à 5 reprises au total, ou encore dissimuler ce mémoire de fin d'études que le pseudo meilleur élève a été obligé d'emprunter à sa petite sœur qui a tout le temps de le rattraper pour qu'ils se partagent le même mémoire.
Après un petit poste occupé dans une banque à Londres, ce garçon a vite fait ses baluchons pour répondre à l'appel à la graille du papa devenu président sans le moindre apport de son fils dans la lutte des sénégalais qui ont rendu l'alternance possible.
A son arrivée au Sénégal en 2002, dès les premiers mois il est surnommé Monsieur 10 %". Mais 10 % c'était juste pour se faire la main avant d'atteindre la vraie vitesse de croisière qui a fini par hypothèquer l'économie sénégalaise. Une fois les leçons de papa bien appréhendées, 10 % n'étaient plus que la part qui retournait aux autres ou au patrimoine sénégalais.
Tout le monde s'est vite rendu compte que ce garçon, en dehors de dérober, n'avait pas appris grand-chose car il échoue partout, même là où l'échec est totalement impossible. L'un des exemples les plus patents, c'est le grand flop de l'organisation d'une simple conférence avec 10 fois plus de moyens qu'il en a fallu aux autres, et avec pratiquement deux fois plus de temps. C'est comme si l'on donnait à quelqu'un 20 tablettes d'œufs pour qu'il parvienne à confectionner un simple œuf sur le plat, et au terme de la vingtième tablette, il n'y est pas parvenu et a dû aller en acheter un au restaurant.
Tout ce à quoi ce garçon a touché s'est transformé en catastrophe, et toujours sur fonds de vol, de détournement, et selon des méthodes stupides et grossières : ICS – Phosphates de Matam – Senelec – Sonacos – Veolia – Fonds politiques – Fonds arabes (dont le trafic de devises pour lequel il s'est fait épinglé stupidement) – Travaux Anoci – Sudatel – Réfection avion présidentiel – et tant d'autres. Son papa, aussi insatiable que lui, se charge de mettre les institutions à ses bottes pendant que le garçon vole pour la famille et leurs générations à venir. Ce garçon et son papa font chaque jour pire que la veille car convaincus que tous les sénégalais ont la mémoire courte et savent se contenter des miettes, ignorant la triste fin qui leur est réservée.
Alors, connaissant le vrai profil et les aptitudes virtuelles d'un tel guignol qui se dit chef d'un tel machin avec un nom aussi stupide, il est aisé d'imaginer à quel point peuvent être minables ceux qui se prosternent, se courbent, s'offrent sans condition, s'aplatissent, s'écrasent, se couchent, devant un tel rigolo.
En fait lorsque l'on voit le genre de personnes qui s'en réclament, ce qui s'appelle "génération du concret" est la poubelle des poubelles. Cela s'explique aisément car ce sont les pires déchets du PDS et des micro-partis souteneurs qui s'y retrouvent. Outre les politiciens de caniveau, ce sont les loosers se sachant incapables de se forger une carrière sur base de leurs compétences supposées qui choisissent alors la facilité, la voie de la larbinerie, de la courtisanerie. Ce machin est également le parfait abris des pillards, des fripouilles, des brigands, des barboteurs, de tous les rebus du PDS et ses alliés à la recherche d'une nouvelle caverne d'Ali Baba. "Le poulailler est un palais doré pour le coq malgré la puanteur des lieux"
Tous ces bandits et opportunistes de la pire espère ont vu le sort que l'on réserve à ceux qui osent demander des comptes à ce garçon, chef de ce machin, qui a pourtant fait disparaître des centaines de milliards, entre le foncier, les dons, les prêts, les financements, etc….., juste pour l'embellissement d'une Corniche et d'une VDN. Alors quel meilleur abri ou vache à lait qu'une telle organisation, une telle agence, ou une telle quoi que ce soit d'autre dirigée par un tel intouchable dont la cupidité n'aurait pas son égale si il n'avait pas un bon maître.
Avec un tel degré de nuisance sur toute une économie, avec un tel pouvoir de corruption, avec une telle machine à propagande et à mensonge face à l'imposture et l'incompétence de ses dirigeants ou fondateurs, avec une telle caution et protection que celle de la triste première institution du pays, l'on peut comprendre de voir ce machin souvent cité dans des propos ou dans des unes de quotidiens, mais pour en dire quoi ? Rien qui ne puisse apporter quelque chose à la société sinon de détruire ses fondements et ses valeurs.
Ce machin appelé "génération du concret" doit donc sa réputation qu'à des anti-valeurs et à son odeur qui n'attire que les charognes, les croque-morts, les perdants. C'est ce qui fait son insignifiance, insignifiant voulant dire ici : qui manque de valeur ou d'intérêt. L'on parle de ce machin uniquement parce que son odeur fétide laisse peu indifférent ou passe difficilement inaperçu.
CONTRIBUTION PAR:
MARVEL
marvel@hotmail.fr