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« La gestion d’une entreprise suppose que l’on ait un but et une volonté de dévouement qui implique même un engagement émotionnel. »


Rédigé par leral.net le Mardi 23 Octobre 2012 à 08:24 | | 4 commentaire(s)|

« La gestion d’une entreprise suppose que l’on ait un but et une volonté de dévouement qui implique même un engagement émotionnel. »
Des individus se réclamant des thiantacounes ont proféré des menaces de mort contre des journalistes du Groupe Futurs Médias. Vendredi dernier, Mamadou Amar NDIONE, journaliste à la RFM, a échappé de justesse à la vindicte d’individus armés et surexcités, alors qu’il était en reportage.
La Direction générale du Groupe tient à préciser que les journalistes ne font qu’exercer leur métier quelles que soient les circonstances.
Elle tient à rappeler que le Groupe ne faillira pas à sa mission d’informer juste et vrai et qu’il ne reculera devant une quelconque menace.
Mieux, le Groupe interpelle les autorités étatiques afin que la sécurité de ses employés et de ses biens soit assurée.
Le Groupe Futurs Médias a d’ores et déjà décidé de déposer une plainte contre X pour menace de mort.
Le Groupe Futurs Médias



1.Posté par mourite le 23/10/2012 09:07 | Alerter
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URGENT !!!!! Les NON MOURITE sont entrene de combattre le MOURIDISME et contre le SEUL et UNIQUE CHEIKH du SAINT HOMME SERIGNE SALIOU MBACKE ( ils sait pourquoi il lui a fait un cheikh)

Si vous les Mourites vous pensez que quand ils parlent de NON DIGAAL et de CITOYEN SIMPLE c'est pour CHEIKH BETHIO ????????

Apres ça ils vont lutté contre le DIEUBEULOU pour dire que c'est pas musulman CES pauvre et leur MARABOU pauvre disaient qu'ils ne croient pas en dieu raison pour la quelle le BLANC les aient donné la LIBERTE PROVISOIRE contrairement a SERIGNE TOUBA SERIGNE SALIOU


Aujourd hui on Comprend Pourquoi SERIGNE SALIOU a fait tout pour que TOUBA aie son TITRE FONCIER et QU'IL NE FAIT PAS PARTI DU SENEGAL côté papier et ISLAM ( les JALOUX VONT MOURIRE)

2.Posté par FocusActu le 23/10/2012 09:17 | Alerter
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Bonjour à tous! Votre nouveau site d'information est désormais en ligne: focusactu.com. Bienvenue à tous!

3.Posté par deug le 23/10/2012 09:27 | Alerter
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mais serigne saliou n'a pas dit a personne de tuer et d'enterrer des gens comment peut on accepter un soit disant marabout enterrer une personne vivante d’après ce k'on a vu hier ce n'est ni des actes de vandalisme ou autres choses mais c'est de la pure méchanceté et ce la n'existe pas dans le mouridisme par conséquent bethio n'a pas de talibé mais des bandits on la toujours dit et il a toujours nié mais voila la preuve est la manifeste legui nak l'etat doit prendre ses responsabilités et l'amener au kedougou c'est tout

4.Posté par Agir le 23/10/2012 11:07 | Alerter
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Sauvons nos universités publiques du naufrage.

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques!) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.

En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.

A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.

Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je propose des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.

Il n’est jamais trop tard pour bien faire un devoir citoyen.

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