C'est une étincelle sur un sujet brûlant. En annonçant en début de semaine qu'il comptait réaliser 10.000 embauches en cinq ans en Europe, Facebook a fait frémir les recruteurs européens du secteur de la tech qui sont déjà en pleine guerre des talents.
« Ce n'est pas comme ça qu'on va aider les start-up françaises, c'est même suicidaire », s'indigne Michel Artières, le PDG et cofondateur d'Ateme, une société française. De fait, les plans de Facebook viendront puiser dans un vivier déjà limité sur lequel se disputent déjà start-up, géants mondiaux, grands groupes, éditeurs de logiciels et entreprises de services numériques.
« Ce n'est pas comme ça qu'on va aider les start-up françaises, c'est même suicidaire », s'indigne Michel Artières, le PDG et cofondateur d'Ateme, une société française. De fait, les plans de Facebook viendront puiser dans un vivier déjà limité sur lequel se disputent déjà start-up, géants mondiaux, grands groupes, éditeurs de logiciels et entreprises de services numériques.