‘'La journée presse morte a été tout à fait réussie. C'est un réel motif de satisfaction pour nous'', a-t-il déclaré au cours d'une réunion d'évaluation tenue lundi après-midi à Dakar. Les sites d'informations présents sur le net ainsi que les distributeurs de journaux ont aussi suivi le mot d'ordre, a souligné M. Mbaye. ‘'Les distributeurs de journaux sont restés intransigeants aux tentatives de certains réfractaires'' qui voulaient leur faire vendre ‘'les rares quotidiens parus'', a indiqué le porte-parole du Comité pour la protection et la défense des journalistes.
Evoquant le cas des télévisions qui ont fonctionné, il a dit que ‘'tous les organes de presse qui jouissent d'une relative autonomie ont observé le mot d'ordre. Si les télés n'ont pas suivi, c'est parce qu'elles ne voulaient pas‘'.
De même, ‘'les quelques radios à avoir émis ont eu un faible écho'', comme en atteste ‘'le faible taux d'appels'' notés lors des émissions interactives, a estimé Yakham Mbaye selon qui cela veut dire que les Sénégalais ‘'ont collé au mot d'ordre''.
Il a par ailleurs assuré que si ‘'les réfractaires'' à la ‘'journée sans presse'' venaient à être agressés un jour, le Comité pour la protection et la défense des journalistes se chargerait de les défendre ‘'sans réserve'' parce que le ‘'combat'' mené par cette structure mise sur pied au lendemain de l'agression perpétrée contre deux reporters sportifs à la fin du match-Sénégal-Liberia du 21 juin dernier est ‘'un combat de restitution de la dignité du journaliste et au-delà de celle de la personne humaine''.
M. Mbaye a en outre fait savoir que ‘'la lutte'' n'est pas terminée pour le Comité pour la protection et la défense des journalistes, qui entend aller ‘'jusqu'au bout'' de cette affaire liée à l'agression des deux journalistes cités. Un plan d'action, dont il n'a pas précisé les termes, a été selon lui élaboré et n'exclut pas une autre journée presse morte. ‘'Tant qu'il n'y a pas d'acte significatif venant des gouvernants, nous poursuivrons la lutte‘', a-t-il dit.
Source: APS
Evoquant le cas des télévisions qui ont fonctionné, il a dit que ‘'tous les organes de presse qui jouissent d'une relative autonomie ont observé le mot d'ordre. Si les télés n'ont pas suivi, c'est parce qu'elles ne voulaient pas‘'.
De même, ‘'les quelques radios à avoir émis ont eu un faible écho'', comme en atteste ‘'le faible taux d'appels'' notés lors des émissions interactives, a estimé Yakham Mbaye selon qui cela veut dire que les Sénégalais ‘'ont collé au mot d'ordre''.
Il a par ailleurs assuré que si ‘'les réfractaires'' à la ‘'journée sans presse'' venaient à être agressés un jour, le Comité pour la protection et la défense des journalistes se chargerait de les défendre ‘'sans réserve'' parce que le ‘'combat'' mené par cette structure mise sur pied au lendemain de l'agression perpétrée contre deux reporters sportifs à la fin du match-Sénégal-Liberia du 21 juin dernier est ‘'un combat de restitution de la dignité du journaliste et au-delà de celle de la personne humaine''.
M. Mbaye a en outre fait savoir que ‘'la lutte'' n'est pas terminée pour le Comité pour la protection et la défense des journalistes, qui entend aller ‘'jusqu'au bout'' de cette affaire liée à l'agression des deux journalistes cités. Un plan d'action, dont il n'a pas précisé les termes, a été selon lui élaboré et n'exclut pas une autre journée presse morte. ‘'Tant qu'il n'y a pas d'acte significatif venant des gouvernants, nous poursuivrons la lutte‘', a-t-il dit.
Source: APS