La lutte est devenu un phénomène incontournable au fil des années, avec des cachets de centaines de millions. Ce n'est pas donc pour rien que la construction d'une arène nationale occupe le centre des débats depuis quelques temps. De la même manière que la bande à El Hadji Diouf et Kalidou Fadiga a fait rêver en 2002, aujourd'hui, Balla Gaye 2, Yékini, Modou Lo et Cie incarnent des modèles de réussite pour de nombreux jeunes sénégalais.
Mais à la différence du Football, la lutte est vue par certains comme une pratique non compatible avec l'Islam. "La lutte telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui est bannie par l'Islam", affirmait l'Imam Cheikh Fall, de la grande mosquée du quartier de Ndiang Fall, dans la commune de Louga. Le religieux fondait surtout sa critique sur le fait que la lutte "perturbe l'éducation des enfants et les décourage à travailler", estimant qu'elle "encourage tout ce que le profite avait interdit, notamment la croyance en des statues et au fétichisme". Un avis partagé plus ou moins par un membre de la fille Niassène. "Si vous constatez bien, tous ceux Baye Niass a éduqué ne sont pas intéressés par la lutte, dit-il. Tous ses écrits et son enseignement incitent à suivre les recommandation du prophète ( PSL) et à éviter tout ce qui n'est pas conforme à l'Islam." Selon l'imam Lamine Diop: " Le prophète l'a classé parmi les 7 péchés".
Birahim Ndiaye, ancien lutteur et manager soutient :" la lutte ne pourra jamais être compatible avec l'Islam. Rien que le fait de manquer les heures de prières lors des combats, suffit pour le dire . Il y a plus de méfaits que de bienfaits dans la lutte, c'est certains.
Mais à la différence du Football, la lutte est vue par certains comme une pratique non compatible avec l'Islam. "La lutte telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui est bannie par l'Islam", affirmait l'Imam Cheikh Fall, de la grande mosquée du quartier de Ndiang Fall, dans la commune de Louga. Le religieux fondait surtout sa critique sur le fait que la lutte "perturbe l'éducation des enfants et les décourage à travailler", estimant qu'elle "encourage tout ce que le profite avait interdit, notamment la croyance en des statues et au fétichisme". Un avis partagé plus ou moins par un membre de la fille Niassène. "Si vous constatez bien, tous ceux Baye Niass a éduqué ne sont pas intéressés par la lutte, dit-il. Tous ses écrits et son enseignement incitent à suivre les recommandation du prophète ( PSL) et à éviter tout ce qui n'est pas conforme à l'Islam." Selon l'imam Lamine Diop: " Le prophète l'a classé parmi les 7 péchés".
Birahim Ndiaye, ancien lutteur et manager soutient :" la lutte ne pourra jamais être compatible avec l'Islam. Rien que le fait de manquer les heures de prières lors des combats, suffit pour le dire . Il y a plus de méfaits que de bienfaits dans la lutte, c'est certains.