Les trente cinq femmes parlementaires veulent-elles juger la sincérité des autorités sur la loi de la parité votée à l’Hémicycle au mois d’avril dernier ? Tout porte à le croire. En effet, convoquées à l’ouverture de la session ordinaire de l’Assemblée nationale, elles ont exigé l’application de la loi sur la parité dans le bureau de ladite institution.
Elles tiennent à ce que les postes soient répartis ainsi qu’il suit : 8 vices présidents (4 vices présidents et 4 vices présidentes), 6 secrétaires élus (3 secrétaires élus et 3 secrétaires élues). Idem pour les questeurs.
C’est pour cette raison que les travaux de l’ouverture de la session ordinaire ont été bloqués pendant plusieurs heures, malgré de nombreuses tractations pour essayer de faire reculer les femmes parlementaires. Finalement, c’est aux environs de 18 heures que la session ordinaire a pu s’ouvrir, soit huit tours d’horloge de blocage.
On a fait comprendre aux 35 femmes parlementaires que bien que la loi sur la parité ait été votée, le président de la République ne l’a pas encore promulguée.
Une occasion d’ailleurs pour des observateurs de dénoncer la démarche « précipitée » du chef de l’Etat en faisant voter cette loi sur la parité. Selon des sources concordantes, certaines formations politiques qui ont essayé d’appliquer la parité lors des élections locales dans leur liste, avant même le vote à l’Assemblée nationale, ont été confrontées à d’énormes problèmes.
Ferloo.com
Elles tiennent à ce que les postes soient répartis ainsi qu’il suit : 8 vices présidents (4 vices présidents et 4 vices présidentes), 6 secrétaires élus (3 secrétaires élus et 3 secrétaires élues). Idem pour les questeurs.
C’est pour cette raison que les travaux de l’ouverture de la session ordinaire ont été bloqués pendant plusieurs heures, malgré de nombreuses tractations pour essayer de faire reculer les femmes parlementaires. Finalement, c’est aux environs de 18 heures que la session ordinaire a pu s’ouvrir, soit huit tours d’horloge de blocage.
On a fait comprendre aux 35 femmes parlementaires que bien que la loi sur la parité ait été votée, le président de la République ne l’a pas encore promulguée.
Une occasion d’ailleurs pour des observateurs de dénoncer la démarche « précipitée » du chef de l’Etat en faisant voter cette loi sur la parité. Selon des sources concordantes, certaines formations politiques qui ont essayé d’appliquer la parité lors des élections locales dans leur liste, avant même le vote à l’Assemblée nationale, ont été confrontées à d’énormes problèmes.
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