Elle confie à l’Observateur lu par LERAL.NET qu’elle a été victime d’un coup monté. Rétablissant les faits tels qu’ils se sont déroulés, Ndèye Diagne Guèye dit : « j’ai remis à un boutiquier arabe des bijoux pour qu’il me les lave. Mais j’ai longtemps attendu afin qu’il me rende mes bijoux nettoyés. Fâchée à force d’attendre, je lui ai alors demandé de me rendre mes bijoux, car je compte rentrer à la Mecque. Parce qu’il faisait nuit. Il a encore trainé les pieds pour me rendre les bijoux. C’est alors que je l’ai empoigné pour lui intimer l’ordre de me rendre mes bijoux ».
À l’en croire, tout son tort a été de malmener le boutiquier arabe qui est allé chercher des policiers pour leur dire qu’il a été dévalisé par la sénégalaise. Qui ajoute que le coup monté par son « bourreau » a été facilité par le fait qu’elle ne détenait pas par devers elle son passeport.
Pour ce qui est de la peine appliquée aux voleurs, Ndèye Diagne Guèye jure n’y avoir jamais pensé parce que « je n’ai rien fait pour qu’on m’applique une telle loi », se défend-elle.
Ses dires sont corroborés par le Consul général du Sénégal à Djeddah qui dans les colonnes de l’Observateur vues par LERALNET soutient qu’il n’a jamais été question qu’on lui coupe la main. Pour Cheikh Guèye, Ndèye Guèye n’a pas l’étoffe d’une voleuse. « La femme que j’ai vue n’a aucun intérêt à prendre les choses d’autrui. Financièrement, elle est bien assise, elle n’est pas dans le besoin, parce que c’est une femme d’affaires (elle est propriétaire du magasin Madiyana sis à la Cité Foire) », croit-il savoir non sans préciser que s’ils ont remis au boutiquier la somme équivalent (7000 riyals soit 1 million franc CFA) au cout du bijou subtilisé, c’est pour que le Sénégal ne soit Sali par cette affaire.
Pourtant Le Quotidien nous apprend que Ndèye Diagne Guèye est coutumier des faits. « Elle aurait été appréhendée par le passé pour vol de bijoux au cours d’un pèlerinage », révèle Le Quotidien.
À l’en croire, tout son tort a été de malmener le boutiquier arabe qui est allé chercher des policiers pour leur dire qu’il a été dévalisé par la sénégalaise. Qui ajoute que le coup monté par son « bourreau » a été facilité par le fait qu’elle ne détenait pas par devers elle son passeport.
Pour ce qui est de la peine appliquée aux voleurs, Ndèye Diagne Guèye jure n’y avoir jamais pensé parce que « je n’ai rien fait pour qu’on m’applique une telle loi », se défend-elle.
Ses dires sont corroborés par le Consul général du Sénégal à Djeddah qui dans les colonnes de l’Observateur vues par LERALNET soutient qu’il n’a jamais été question qu’on lui coupe la main. Pour Cheikh Guèye, Ndèye Guèye n’a pas l’étoffe d’une voleuse. « La femme que j’ai vue n’a aucun intérêt à prendre les choses d’autrui. Financièrement, elle est bien assise, elle n’est pas dans le besoin, parce que c’est une femme d’affaires (elle est propriétaire du magasin Madiyana sis à la Cité Foire) », croit-il savoir non sans préciser que s’ils ont remis au boutiquier la somme équivalent (7000 riyals soit 1 million franc CFA) au cout du bijou subtilisé, c’est pour que le Sénégal ne soit Sali par cette affaire.
Pourtant Le Quotidien nous apprend que Ndèye Diagne Guèye est coutumier des faits. « Elle aurait été appréhendée par le passé pour vol de bijoux au cours d’un pèlerinage », révèle Le Quotidien.