« Dans les écrits, il y a trop de fautes, je ne supporte pas les fautes, trop de fautes d’orthographe, de grammaire… dans chaque journal que se respecte, il y a un rewriter, c’est-à-dire quelqu’un qui réécrit les articles, les relit et les corrige », précise l’ancien président du Sénégal.
« Nous donnons nos journaux à des hôtes, parfois en voyageant, on en emporte, donc il ne faut pas qu’il y ait des fautes, parce que ça ne nous fait pas respecter », a-t-il conseillé.
Abdoulaye Wade voudrait également brûler les journaux qu’il trouve bourrés de fautes. «Je suis content de voir que la presse sénégalaise s’est développée plus que je ne l’avais laissée. Quand je lançais le Pds, il n’y avait qu’un seul journal au Sénégal, «Le Soleil», aucune radio privée. Progressivement, des organes de presse se sont créés. De manière générale, même si la presse pêche par certaines négligences, le Sénégal a une bonne presse», révèle l’ancien chef d’Etat au quotidien L'Observateur.
Les nouvelles consignes de l’ancien président Abdoulaye Wade appelant à un sabotage de la présidentielle du 24 février font la Une de plusieurs quotidiens parvenus jeudi à l’APS, alors que la campagne électorale poursuit son bonhomme de chemin.
Comme quoi l’ancien président ne tire pas seulement sur le fichier électoral qu’il entend brûler pour empêcher la tenue de la présidentielle le 24 février prochain.
PiccMi.Com
« Nous donnons nos journaux à des hôtes, parfois en voyageant, on en emporte, donc il ne faut pas qu’il y ait des fautes, parce que ça ne nous fait pas respecter », a-t-il conseillé.
Abdoulaye Wade voudrait également brûler les journaux qu’il trouve bourrés de fautes. «Je suis content de voir que la presse sénégalaise s’est développée plus que je ne l’avais laissée. Quand je lançais le Pds, il n’y avait qu’un seul journal au Sénégal, «Le Soleil», aucune radio privée. Progressivement, des organes de presse se sont créés. De manière générale, même si la presse pêche par certaines négligences, le Sénégal a une bonne presse», révèle l’ancien chef d’Etat au quotidien L'Observateur.
Les nouvelles consignes de l’ancien président Abdoulaye Wade appelant à un sabotage de la présidentielle du 24 février font la Une de plusieurs quotidiens parvenus jeudi à l’APS, alors que la campagne électorale poursuit son bonhomme de chemin.
Comme quoi l’ancien président ne tire pas seulement sur le fichier électoral qu’il entend brûler pour empêcher la tenue de la présidentielle le 24 février prochain.
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