Aucune ville n’a – à proprement parler – été libérée ces dernières heures. A l’ouest du pays, un convoi militaire de plusieurs véhicules français a quitté Diabaly au matin du 25 janvier et se dirige sur la route de Léré. Cette ville proche de la frontière mauritanienne se situe à 300 kilomètres de Tombouctou, l'une des trois grandes villes occupées les jihadistes.
Mais pour l’heure, il faut être prudent. Le convoi s’est arrêté sur la route et on ne sait pas s’il atteindra Léré ce soir.
Plus à l’est, les militaires progressent également. On apprend qu’ils sont passés, le 24 janvier au soir, à Hombori, une ville désormais libérée où deux Français avaient été enlevés il y a plus d’un an. Confirmation a été donnée à RFI par le maire de Hombori et plusieurs habitants joints sur place. Le convoi se serait dirigé à la mi-journée vers Gossi, une des étapes vers la grande ville de Gao.
C’est peut-être dans cette zone, où se trouvent encore beaucoup de « bandits », comme disent les habitants, que Maliens et Français vont attendre les renforts nigériens et tchadiens qui, eux, doivent prendre une autre route.
Les jihadistes de Gao, en tout cas, sentent manifestement la menace se rapprocher. Ils auraient donc, selon des témoins cités par l’Agence France Presse (AFP), dynamité cette nuit un pont situé entre Gao et le Niger, à 40 kilomètres au sud de la ville malienne.
Source:Rfi
Mais pour l’heure, il faut être prudent. Le convoi s’est arrêté sur la route et on ne sait pas s’il atteindra Léré ce soir.
Plus à l’est, les militaires progressent également. On apprend qu’ils sont passés, le 24 janvier au soir, à Hombori, une ville désormais libérée où deux Français avaient été enlevés il y a plus d’un an. Confirmation a été donnée à RFI par le maire de Hombori et plusieurs habitants joints sur place. Le convoi se serait dirigé à la mi-journée vers Gossi, une des étapes vers la grande ville de Gao.
C’est peut-être dans cette zone, où se trouvent encore beaucoup de « bandits », comme disent les habitants, que Maliens et Français vont attendre les renforts nigériens et tchadiens qui, eux, doivent prendre une autre route.
Les jihadistes de Gao, en tout cas, sentent manifestement la menace se rapprocher. Ils auraient donc, selon des témoins cités par l’Agence France Presse (AFP), dynamité cette nuit un pont situé entre Gao et le Niger, à 40 kilomètres au sud de la ville malienne.
Source:Rfi
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