Substitut sexuel
Elle affirme qu'elle sert de "substitut sexuel" pour les hommes souffrant d'une variété de problèmes sexuels qui entravent leur capacité à avoir une relation physique normale. Parmi ses clients, on compte des étudiants, des avocats ou des médecins. Certains sont mariés, d'autres pas, mais tous souffrent de problèmes d'érection, d'éjaculation précoce ou de timidité maladive. Padma encaisse environ 4.500 euros pour un traitement de neuf séances.
Evidemment, cette méthode de travail interpelle et provoque les critiques. Mais Padma se défend: selon elle, son rôle est d'être une forme de mentor, de guide pour ces gens qui ont des problèmes d'intimité. Les séances mélangent exercices physiques et discussions. Elle leur apprend comment communiquer leurs désirs, comment gérer l'angoisse du sexe.
Si elle est célibataire aujourd'hui, elle assure que les hommes qui ont traversé sa vie ne lui demandaient pas d'arrêter son métier particulier. "Il faut la confiance, l'intelligence et la maturité chez un homme pour accepter ce que je fais", précise-t-elle malgré tout.
"C'est gratifiant"
La jeune femme confie ne jamais avoir connu de mauvaises expériences avec un client. "C'est merveilleux d'assister à la transformation de mes clients, sachant que j'y ai joué un rôle. C'est gratifiant."
La substitution sexuelle est basée sur le travail cliniqué réalisé dans les années 50 par deux chercheurs. Leur étude, qui se concentrait sur 510 couples mariés, 54 hommes célibataires et trois femmes célibataires, a pris onze ans. Les chercheurs avaient développé à l'époque un traitement de deux semaines destinés à traiter les problèmes sexuels. Le taux de réussite pour les hommes célibataires qui ont géré leurs soucis avec un substitut était alors de 75%.
[Dé.L. - 7s7]
Elle affirme qu'elle sert de "substitut sexuel" pour les hommes souffrant d'une variété de problèmes sexuels qui entravent leur capacité à avoir une relation physique normale. Parmi ses clients, on compte des étudiants, des avocats ou des médecins. Certains sont mariés, d'autres pas, mais tous souffrent de problèmes d'érection, d'éjaculation précoce ou de timidité maladive. Padma encaisse environ 4.500 euros pour un traitement de neuf séances.
Evidemment, cette méthode de travail interpelle et provoque les critiques. Mais Padma se défend: selon elle, son rôle est d'être une forme de mentor, de guide pour ces gens qui ont des problèmes d'intimité. Les séances mélangent exercices physiques et discussions. Elle leur apprend comment communiquer leurs désirs, comment gérer l'angoisse du sexe.
Si elle est célibataire aujourd'hui, elle assure que les hommes qui ont traversé sa vie ne lui demandaient pas d'arrêter son métier particulier. "Il faut la confiance, l'intelligence et la maturité chez un homme pour accepter ce que je fais", précise-t-elle malgré tout.
"C'est gratifiant"
La jeune femme confie ne jamais avoir connu de mauvaises expériences avec un client. "C'est merveilleux d'assister à la transformation de mes clients, sachant que j'y ai joué un rôle. C'est gratifiant."
La substitution sexuelle est basée sur le travail cliniqué réalisé dans les années 50 par deux chercheurs. Leur étude, qui se concentrait sur 510 couples mariés, 54 hommes célibataires et trois femmes célibataires, a pris onze ans. Les chercheurs avaient développé à l'époque un traitement de deux semaines destinés à traiter les problèmes sexuels. Le taux de réussite pour les hommes célibataires qui ont géré leurs soucis avec un substitut était alors de 75%.
[Dé.L. - 7s7]