Dès son accession au Trône en 1999, le Roi du Maroc n’a eu de cesse d’interpeler les autorités algériennes sur l’ouverture des frontières terrestres entre le Maroc et l’Algérie.
En effet, le Royaume du Maroc, souhaitant préserver les liens séculaires qui unissent les deux peuples, a toujours cherché à régler tous les problèmes en suspens afin de normaliser définitivement les relations bilatérales dont la réouverture des frontières terrestres.
Cependant tous ces appels de la main tendue du Maroc sont restés lettres mortes en raison de l'obstination des autorités algériennes à maintenir la fermeture unilatérale des frontières terrestres.
Une position qui porte atteinte aux droits fondamentaux des algériens et des marocains, à savoir celui d’exercer leurs libertés individuelles et collectives en matière de circulation et d'échanges humains et économiques.
Que les autorités algériennes et le peuple algérien sachent que le Maroc a toujours voulu répondre aux ambitions des jeunes générations qui souhaitent voir les ressources et les potentialités des peuples marocain et algérien déployées et mises en œuvre pour relever les vrais défis du développement et de la complémentarité, au lieu de les engloutir dans les gouffres d'un conflit légué par un passé révolu.
La fermeture des frontières, une mesure unilatérale, est vécue par les deux peuples comme une sanction collective incompatible avec leurs liens de fraternité historique, les exigences de leur avenir commun et les impératifs de l'intégration maghrébine.
Aujourd’hui, le Maroc et l’Algérie se partagent un legs du passé avec les deux Corées. Un partage qui peut être relégué aux oubliettes si les autorités algériennes faisaient l’effort d’accepter la main tendue par le Maroc.
Il est vrai que les autorités algériennes ont toujours fait la sourde oreille aux appels du Maroc sur la question des frontières, espérant asphyxier l’économie marocaine.
Alger, à ce sujet, a tout simplement oublié de constater que le Maroc s’est doté d’infrastructures développées qui lui ont permis un essor économique remarquable depuis ces dernières années.
Un essor économique qui ne pourrait que bénéficier aux entreprises et aux consommateurs algériens si les frontières étaient ouvertes.
Autre élément de la propagande algérienne sur le maintien de la fermeture des frontières celui de l’exportation vers l’Algérie de « phénomènes négatifs, » dont le cannabis.
Il y a lieu de préciser que la réalité et tout autre, des phénomènes tels que le trafic de drogue profite plus de l’absence d’accès réglementaires et contrôlés de la part des autorités algériennes, pour des raisons que tout le monde sait, et que l’Algérie est devenue le plus grand fabriquant de psychotropes qui inondent annuellement le marché marocain.
En conclusion, le refus obstiné de tous les efforts de normalisation consentis par le Maroc, ainsi que ceux déployés par de nombreux pays et par des puissances influentes sur la scène internationale, est contraire à la logique de l'histoire et de la géographie, laquelle est incompatible avec la fermeture des frontières entre deux pays voisins.
Il est certain qu’une ouverture des frontières terrestres entre le Maroc et l’Algérie répondra aux aspirations légitimes de deux peuples voisins et ne profitera pas uniquement au Royaume. L’Algérie en sera le plus grand bénéficiaire.
Aujourd’hui, à l’heure des regroupements régionaux, rien ne saurait justifier la poursuite de la fermeture des frontières entre le Maroc et l’Algérie.
Une mesure unilatérale algérienne inique qui est vécue par les deux peuples comme une sanction collective incompatible avec leurs liens de fraternité historique, les exigences de leur avenir commun et les impératifs de l'intégration maghrébine.
Farid Mnebhi.
En effet, le Royaume du Maroc, souhaitant préserver les liens séculaires qui unissent les deux peuples, a toujours cherché à régler tous les problèmes en suspens afin de normaliser définitivement les relations bilatérales dont la réouverture des frontières terrestres.
Cependant tous ces appels de la main tendue du Maroc sont restés lettres mortes en raison de l'obstination des autorités algériennes à maintenir la fermeture unilatérale des frontières terrestres.
Une position qui porte atteinte aux droits fondamentaux des algériens et des marocains, à savoir celui d’exercer leurs libertés individuelles et collectives en matière de circulation et d'échanges humains et économiques.
Que les autorités algériennes et le peuple algérien sachent que le Maroc a toujours voulu répondre aux ambitions des jeunes générations qui souhaitent voir les ressources et les potentialités des peuples marocain et algérien déployées et mises en œuvre pour relever les vrais défis du développement et de la complémentarité, au lieu de les engloutir dans les gouffres d'un conflit légué par un passé révolu.
La fermeture des frontières, une mesure unilatérale, est vécue par les deux peuples comme une sanction collective incompatible avec leurs liens de fraternité historique, les exigences de leur avenir commun et les impératifs de l'intégration maghrébine.
Aujourd’hui, le Maroc et l’Algérie se partagent un legs du passé avec les deux Corées. Un partage qui peut être relégué aux oubliettes si les autorités algériennes faisaient l’effort d’accepter la main tendue par le Maroc.
Il est vrai que les autorités algériennes ont toujours fait la sourde oreille aux appels du Maroc sur la question des frontières, espérant asphyxier l’économie marocaine.
Alger, à ce sujet, a tout simplement oublié de constater que le Maroc s’est doté d’infrastructures développées qui lui ont permis un essor économique remarquable depuis ces dernières années.
Un essor économique qui ne pourrait que bénéficier aux entreprises et aux consommateurs algériens si les frontières étaient ouvertes.
Autre élément de la propagande algérienne sur le maintien de la fermeture des frontières celui de l’exportation vers l’Algérie de « phénomènes négatifs, » dont le cannabis.
Il y a lieu de préciser que la réalité et tout autre, des phénomènes tels que le trafic de drogue profite plus de l’absence d’accès réglementaires et contrôlés de la part des autorités algériennes, pour des raisons que tout le monde sait, et que l’Algérie est devenue le plus grand fabriquant de psychotropes qui inondent annuellement le marché marocain.
En conclusion, le refus obstiné de tous les efforts de normalisation consentis par le Maroc, ainsi que ceux déployés par de nombreux pays et par des puissances influentes sur la scène internationale, est contraire à la logique de l'histoire et de la géographie, laquelle est incompatible avec la fermeture des frontières entre deux pays voisins.
Il est certain qu’une ouverture des frontières terrestres entre le Maroc et l’Algérie répondra aux aspirations légitimes de deux peuples voisins et ne profitera pas uniquement au Royaume. L’Algérie en sera le plus grand bénéficiaire.
Aujourd’hui, à l’heure des regroupements régionaux, rien ne saurait justifier la poursuite de la fermeture des frontières entre le Maroc et l’Algérie.
Une mesure unilatérale algérienne inique qui est vécue par les deux peuples comme une sanction collective incompatible avec leurs liens de fraternité historique, les exigences de leur avenir commun et les impératifs de l'intégration maghrébine.
Farid Mnebhi.