La reine Elisa­beth II: pourquoi elle a fait la paix avec la mère de Kate Midd­le­ton

On les disait en froid, la reine ne suppor­tant pas l’am­bi­tion déme­su­rée de Carole Midd­le­ton. Par ailleurs, les Wind­sor, le prince Charles et sa mère en tête, repro­chaient à la mère de Kate d’être omni­pré­sente dans l’édu­ca­tion du prince George, trois ans et futur roi d’An­gle­terre, faut-il le rappe­ler. Trop, c’était trop : il fallait remettre l’in­tri­gante dans le rang. Carole et son époux Michael furent donc « inter­dits » de courses comme à Ascot ou au Royal Wind­sor Horse Show cette année. La disgrâce totale !

Alors Carole a plié l’échine, supporté les critiques pour mieux rebon­dir. Elle a obéi à la reine, opté pour le silence et la discré­tion, enfin… On ne sait plus rien sur son quoti­dien, son entou­rage se tait, la bien­séance est de retour. Plus rien ne filtre : ordre de Carole. Elisa­beth II a appré­cié ces efforts. Et le miracle s’est produit : monsieur et madame Midd­le­ton ont été invi­tés pour la première fois à passer quelques jours en ce début septembre dans la rési­dence préfé­rée de la reine à Balmo­ral, en Ecosse.  Histoire de faire la paix entre gens civi­li­sés et pour le bien de George et Char­lotte qui lient la desti­née des Midd­le­ton à celle de la reine.

Là, entre ballades en Range-Rover – la voiture que conduit Elisa­beth II elle-même -, chasse au cerf et dîners en famille, Cathe­rine s’est tenue à carreaux, s’en faire de bruits, ni de vagues. Une autre Carole est née : mécon­nais­sable, certains diront même domp­tée mais qui savoure, en secret, sa réus­site. Là voilà accep­tée par les Wind­sor. Le sacre d’une vie.

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