Le professeur Arona Ndoffène Diouf s’est vu trainer dans la boue par le directeur de campagne de Wade. Mais la réponse n’a pas tardé. Et le professeur Arona Ndoffène Diouf n’y est pas allé de main morte pour remettre le Premier ministre à sa place. Evoquant l’audience dont parle ce dernier, le candidat à la présidentielle précise qu’il n’a pas à courir derrière un premier ministre au moment où le Président de la République fait des pieds et des mains pour le rencontrer. « Depuis 2004, le Président me court après pour que je vienne travailler avec lui (…) Je ne peux pas avoir un Président qui court derrière moi et solliciter une audience avec son Premier ministre », lamine-t-il Ndéné.
Celui-ci l’avait décrit comme son cousin qui a abandonné sa famille pour se rendre à Abidjan d’où il a rejoint les Etats-Unis. Le professeur Arona Ndoffène Diouf en rit et rétablit la vérité : « Je ne me suis jamais rappelé qu’un Souleymane Ndéné Ndiaye soit cousin de la famille. Je ne suis ni de près ni de loin affilié familialement, de sang au Premier ministre. »
Et de nourrir des craintes de voir un jour les secrets de la famille Wade sur la place publique par Souleymane Ndéné Ndiaye. Ce, d’autant plus qu’il n’hésite pas à déballer tout sur ce qu’il sait sur son propre « cousin ».
Celui-ci l’avait décrit comme son cousin qui a abandonné sa famille pour se rendre à Abidjan d’où il a rejoint les Etats-Unis. Le professeur Arona Ndoffène Diouf en rit et rétablit la vérité : « Je ne me suis jamais rappelé qu’un Souleymane Ndéné Ndiaye soit cousin de la famille. Je ne suis ni de près ni de loin affilié familialement, de sang au Premier ministre. »
Et de nourrir des craintes de voir un jour les secrets de la famille Wade sur la place publique par Souleymane Ndéné Ndiaye. Ce, d’autant plus qu’il n’hésite pas à déballer tout sur ce qu’il sait sur son propre « cousin ».