Les parasites en lieu et place de la méritocratie. Nous le disons tout haut, le régime de Macky Sall n’est pas celui de la bonne gouvernance. Penser un seul instant qu’il est en rupture totale avec celui que nous avions connu, relève d’une vue de l’esprit. Place maintenant à la médiocratie ! Contrairement à ce qu’il avait annoncé à grand renfort de publicité, le nombre de ministres avoisine déjà la cinquantaine, en attendant la longue liste infinie. Le talon d’Achille budgétivore, qui est le sénat sera maintenu pour caser un clientélisme vorace. Un reniement qui ne dit pas son nom.
Comme wade, le perchoir reviendrait de droit à son camp. Harouna Dia, l’argentier imprime sa marque et place son propre frère au poste de questeur. C’est le retour sur investissement. Moustapha Niasse, le faiseur de roi occupe le haut de perchoir malgré les insanités d’un énergumène arriviste, en l’occurrence, Moustapha Cissé Lô revenu à de meilleurs sentiments sur pression de son mentor. Les collaborateurs immédiats de Tanor Dieng et d’idrissa seck ont reçu des promotions, en attente d’une rupture annoncée de demain. Car le maire rusé de la Cité du Rail veille au grain et n’attend que la moindre faille pour se faire entendre. Il a de la poigne et de la rhétorique malgré ses déconvenues sur les prétendus chantiers de Thiès crées de toute pièce par le pape du sopi défenestré le 25 mars dernier. En politique, la ruse prime sur tout. Mais à quel risque ?
L’homme du moment change son fusil d’épaule et contre toute attente, il reste le chef ubiquitaire de son parti dont il est l’unique actionnaire principal. C’est une république bananière, clientéliste version wade maquillée, même si le mot reste un tabou. Le spectacle incongru n’a plus de limite. La réalité dépasse la rationalité. Le changement dans la continuité tisse sa toile et ratisse largement tout sur son passage. Les effets d’annonce se multiplient à un rythme effrayant sans que l’on ne voie la moindre visibilité tangible sur le terrain. Beaucoup de bruit pour rien, du moins pour l’instant. Le cosmétique sur fond de roublardise rend inaudible la parole des vraies sentinelles, prises comme des moins que rien. C’est la république de l’Etat APR.
Une Convergence des griots républicains. Une insulte ! Rien n’a changé. Le mal va en pis. Plus c’est gros, mieux ça passe. La niéniocratie et l’ethnocratie nombriliste font le buzz. Le rafistolage à la pelle des mesurettes à la renverse éblouit par son effet surréaliste. C’est bien l’anomalie de la démocratie tropicalisée. L’enfumage classique augmente. Ce mouvement est une organisation nationale des communicateurs traditionnels de l’Alliance pour la République (Apr). Un conglomérat de rats sous la coupole d’une imposture parfaitement sur orbite. La sémantique est plus que parlante. Dites donc un galimatias ordurier de cancres dont l’unique mérite consiste à encenser à longueur de journées l’homme du moment considéré comme le sauveur des ténèbres. Le mot n’est pas de trop, puisque Macky sall lui-même a ouvert la boîte de pandore, en faisant de son propre griot un député godillot, qu’il a crée de toute pièce. Le métier de député est galvaudé, il n’est plus un sacerdoce.
Ça se commande comme au marché. Un produit bad game de la contre façon comme celui des chinois sur le marché africain. C’est un poste de sinécures de la république. N’importe quel énergumène peut l’être, tant qu’il est un chambellan de l’homme de l’heure et des leurres. Le farfelu rejoint le ridicule. Tout y est. Point n’est besoin de compétence, si ce n’est la bouffonnerie pestilentielle à outrance et à grande échelle. Nous voulons parler de Farba Ngom, devenu le griot assermenté du palais. Un historien de la dernière heure au service du maître des lieux. Nous sommes bien au coeur d’une république des griots et des vermines de l’abondance. Convergence nauséabonde ! Halte, stop à l’insolence abondante !
Le devoir républicain nous conduit à reprendre du service, tant la gravité du moment nous interpelle à plus d’un titre. Ce que l’on croyait révolu, revient en surface. Le sénat au Sénégal n’est rien d’autre
qu’un dépotoir de déchets nauséabonds recyclables pour obtenir des produits manufacturés à dessein des rapines politique. L’immoralité dégoulinante bat son comble. Une caste d’arrivistes, parasites déclarés dénommée: « la convergence des Communicateurs traditionnels républicains » se sucre
allégrement sur l’épaule de la république au prétexte fallacieux d’être des républicains de façade à la sauce de l’apr. De qui se moque-t-on vraiment ? Lorsque nous écrivions que le changement, ce n’est pas maintenant, nous avions tout à fait raison. Et pour cause. Aussi étrange que cela puisse paraître, la bande des décomplexés du déshonneur n’en démord pas. Qu’importe, tous les moyens sont bons, fussent ils abjects. Le cynisme est bien conforme à la mesure des auteurs organisés en syndicats corporatistes. On tente par des pirouettes à anoblir une convergence de pacotille au nom de la république.
Où est donc le changement lorsque l’on reproduit les mêmes tares d’antan. La quote-part de sénateurs réservée au président de la république relève tout simplement d’une monarchie républicaine, qui ne dit pas son nom. La question, n’est plus de réduire le quota de sénateurs octroyés au président mais de supprimer tout simplement le sénat. Il n’est d’aucune utilité publique. Son efficacité réelle ne peut être démontrée sur le terrain.
L’idée paraît saugrenue, mais apparaît comme un net recul. La boule puante d’une bouffonnerie incontrôlée, incontrôlable, indécente et indigne, révulse par son caractère féodal, pire que celui tant décrié. Convergence de la vassalisation où le culte de la personnalité contraste parfaitement avec l’esprit républicain. Sommes-nous alors dans une république des moutons tondus dans laquelle la compétence se résume exclusivement à jeter des fleurs au monarque de la république pour avoir sa place au soleil ? On semble accepter les vieux schémas obsolètes.
L’absolution permanente des consciences maîtrisées, méprisées nous donne la mesure d’un magistère bis wade ou pire même. MACKY converti en WAXWAXEET-n’entend nullement supprimer le sénat pourtant décrié, comme on le laissait croire, mais au contraire, cette institution anti républicaine, aux antipodes de nos valeurs, redevient une caisse de résonnance pour caser une clientèle politique, laissée en rade, taillée sur mesure, dans la perspective de 2017. Quoiqu’on puisse dire, Macky reste sur les traces de wade et s’arroge impunément le droit de nommer 55 sénateurs, alors que les 45 sénateurs seront désignés par suffrage universel indirect. C’est bien une république monarchique à la renverse dans les faits aussi têtus.
A suivre…….
Le combat continue !
Ahmadou Diop
Comme wade, le perchoir reviendrait de droit à son camp. Harouna Dia, l’argentier imprime sa marque et place son propre frère au poste de questeur. C’est le retour sur investissement. Moustapha Niasse, le faiseur de roi occupe le haut de perchoir malgré les insanités d’un énergumène arriviste, en l’occurrence, Moustapha Cissé Lô revenu à de meilleurs sentiments sur pression de son mentor. Les collaborateurs immédiats de Tanor Dieng et d’idrissa seck ont reçu des promotions, en attente d’une rupture annoncée de demain. Car le maire rusé de la Cité du Rail veille au grain et n’attend que la moindre faille pour se faire entendre. Il a de la poigne et de la rhétorique malgré ses déconvenues sur les prétendus chantiers de Thiès crées de toute pièce par le pape du sopi défenestré le 25 mars dernier. En politique, la ruse prime sur tout. Mais à quel risque ?
L’homme du moment change son fusil d’épaule et contre toute attente, il reste le chef ubiquitaire de son parti dont il est l’unique actionnaire principal. C’est une république bananière, clientéliste version wade maquillée, même si le mot reste un tabou. Le spectacle incongru n’a plus de limite. La réalité dépasse la rationalité. Le changement dans la continuité tisse sa toile et ratisse largement tout sur son passage. Les effets d’annonce se multiplient à un rythme effrayant sans que l’on ne voie la moindre visibilité tangible sur le terrain. Beaucoup de bruit pour rien, du moins pour l’instant. Le cosmétique sur fond de roublardise rend inaudible la parole des vraies sentinelles, prises comme des moins que rien. C’est la république de l’Etat APR.
Une Convergence des griots républicains. Une insulte ! Rien n’a changé. Le mal va en pis. Plus c’est gros, mieux ça passe. La niéniocratie et l’ethnocratie nombriliste font le buzz. Le rafistolage à la pelle des mesurettes à la renverse éblouit par son effet surréaliste. C’est bien l’anomalie de la démocratie tropicalisée. L’enfumage classique augmente. Ce mouvement est une organisation nationale des communicateurs traditionnels de l’Alliance pour la République (Apr). Un conglomérat de rats sous la coupole d’une imposture parfaitement sur orbite. La sémantique est plus que parlante. Dites donc un galimatias ordurier de cancres dont l’unique mérite consiste à encenser à longueur de journées l’homme du moment considéré comme le sauveur des ténèbres. Le mot n’est pas de trop, puisque Macky sall lui-même a ouvert la boîte de pandore, en faisant de son propre griot un député godillot, qu’il a crée de toute pièce. Le métier de député est galvaudé, il n’est plus un sacerdoce.
Ça se commande comme au marché. Un produit bad game de la contre façon comme celui des chinois sur le marché africain. C’est un poste de sinécures de la république. N’importe quel énergumène peut l’être, tant qu’il est un chambellan de l’homme de l’heure et des leurres. Le farfelu rejoint le ridicule. Tout y est. Point n’est besoin de compétence, si ce n’est la bouffonnerie pestilentielle à outrance et à grande échelle. Nous voulons parler de Farba Ngom, devenu le griot assermenté du palais. Un historien de la dernière heure au service du maître des lieux. Nous sommes bien au coeur d’une république des griots et des vermines de l’abondance. Convergence nauséabonde ! Halte, stop à l’insolence abondante !
Le devoir républicain nous conduit à reprendre du service, tant la gravité du moment nous interpelle à plus d’un titre. Ce que l’on croyait révolu, revient en surface. Le sénat au Sénégal n’est rien d’autre
qu’un dépotoir de déchets nauséabonds recyclables pour obtenir des produits manufacturés à dessein des rapines politique. L’immoralité dégoulinante bat son comble. Une caste d’arrivistes, parasites déclarés dénommée: « la convergence des Communicateurs traditionnels républicains » se sucre
allégrement sur l’épaule de la république au prétexte fallacieux d’être des républicains de façade à la sauce de l’apr. De qui se moque-t-on vraiment ? Lorsque nous écrivions que le changement, ce n’est pas maintenant, nous avions tout à fait raison. Et pour cause. Aussi étrange que cela puisse paraître, la bande des décomplexés du déshonneur n’en démord pas. Qu’importe, tous les moyens sont bons, fussent ils abjects. Le cynisme est bien conforme à la mesure des auteurs organisés en syndicats corporatistes. On tente par des pirouettes à anoblir une convergence de pacotille au nom de la république.
Où est donc le changement lorsque l’on reproduit les mêmes tares d’antan. La quote-part de sénateurs réservée au président de la république relève tout simplement d’une monarchie républicaine, qui ne dit pas son nom. La question, n’est plus de réduire le quota de sénateurs octroyés au président mais de supprimer tout simplement le sénat. Il n’est d’aucune utilité publique. Son efficacité réelle ne peut être démontrée sur le terrain.
L’idée paraît saugrenue, mais apparaît comme un net recul. La boule puante d’une bouffonnerie incontrôlée, incontrôlable, indécente et indigne, révulse par son caractère féodal, pire que celui tant décrié. Convergence de la vassalisation où le culte de la personnalité contraste parfaitement avec l’esprit républicain. Sommes-nous alors dans une république des moutons tondus dans laquelle la compétence se résume exclusivement à jeter des fleurs au monarque de la république pour avoir sa place au soleil ? On semble accepter les vieux schémas obsolètes.
L’absolution permanente des consciences maîtrisées, méprisées nous donne la mesure d’un magistère bis wade ou pire même. MACKY converti en WAXWAXEET-n’entend nullement supprimer le sénat pourtant décrié, comme on le laissait croire, mais au contraire, cette institution anti républicaine, aux antipodes de nos valeurs, redevient une caisse de résonnance pour caser une clientèle politique, laissée en rade, taillée sur mesure, dans la perspective de 2017. Quoiqu’on puisse dire, Macky reste sur les traces de wade et s’arroge impunément le droit de nommer 55 sénateurs, alors que les 45 sénateurs seront désignés par suffrage universel indirect. C’est bien une république monarchique à la renverse dans les faits aussi têtus.
A suivre…….
Le combat continue !
Ahmadou Diop