Interpellé sur l’importance de sa présence à Benghazi, fief des rebelles libyens, la seule réponse que le ministre de l’énergie a pu donner aux journalistes c’est : « Vous voulez que je laisse mon père aller à Benghazi seul ? » Donc pour le ministre de la Coopération internationale, il s’agit d’accompagner un pater que de s’occuper des questions essentielles qui hantent le sommeil du commun des mortels sénégalais. Mais à y voir clair, il ne fait que réciter la leçon qu’on lui a apprise. Qui disait : « Je dirai à ta maman que tu as bien travaillé » ? Si ce n’est son père de président qui a installé le népotisme au sommet de l’Etat, qui d’autre celui-là pourrait être ?
La république du père et du filsLERAL.NET - Avant-hier, c’est Aliou Sow qui parlait de sa femme, hier, c’est autour de Karim Wade de parler de son père. Cela s'est passé lors du vol reliant Paris à Tripoli.Rédigé par leral.net le Vendredi 10 Juin 2011 à 12:07 | | 13 commentaire(s)|
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