L’Alliance des forces de progrès (Afp) de Moustapha Niasse assimile le passage de Karim Wade devant les députés et les sénateurs cet après-midi à 15 h30mn à l’Hémicycle, à une « farce grossière ». Cette « comédie » qui aura pour cadre, dit-elle, une Assemblée Nationale totalement illégitime et aux ordres, « constitue une expression de plus du mépris profond que le clan Wade voue aux Sénégalais. » . Car le dessein inavoué du comédien Karim Wade est de vouloir enterrer précipitamment le bilan de l’Anoci. Mais qu’à cela ne tienne. En tout état de cause, les « Progressistes » estiment que « le peuple a déjà fait l’évaluation d’un processus sous-tendu par une nébuleuse permanente, qu’il s’agisse de l’exécution d’un budget de fonctionnement disproportionné, de la provenance et du montant réels des financements, de la transparence dans les procédures depuis les études de faisabilité jusqu’à la livraison des ouvrages, dont les défauts techniques sont encore visibles ». Pour les camarades de Moustapha Niasse, « l’ANOCI est un exemple patent de cette injustice criminelle, dont la logique amène des décideurs à investir des centaines de milliards sur la corniche, alors que le mauvais état des routes dans l’hinterland provoque la recrudescence des accidents mortels ». Et d’ajouter : « Ceux-ci révèlent par ailleurs les insuffisances et le sous-équipement des infrastructures sanitaires qui, de surcroît, sont pénalisés par le manque de ressources humaines ».
Les sandales de l’aéroport et de Mbane
Au-delà du dossier de l’Anoci, il y a l’histoire des terrains de Mbane et de l’aéroport. Deux scandales dont les acteurs principaux sont au cœur de l’Etat. « Qu’il s’agisse du dépeçage inouï de la communauté rurale de Mbane où les terres ont été spoliées par les vautours de la République, ou des terrains de l’Aéroport, le même modus operandi mafieux a été mis en œuvre », renseigne le communiqué.Quant une décision de justice protège des forfaitures de cette ampleur en confisquant la volonté populaire, fait remarquer les « Progressistes », « l’Etat-Pds est en train de montrer au peuple que le salut réside dans la lutte sans répit, pour résister victorieusement à la curée des parvenus qui, du haut de leur arrogance suicidaire, toisent des citoyens n’ayant jamais renoncé à leurs prérogatives ».
En fait, le pouvoir actuel a décidé, avancent les camarades de Moustapha Niasse, de « ne reculer devant aucune ignominie pour amasser un trésor de guerre, aux fins de financer sa tentative de neutralisation du peuple sénégalais et dérouler un projet monarchique, dérisoire bouclier contre le mouvement historique irréversible dont le 22 mars 2009 n’est qu’un jalon annonciateur de la libération imminente ». L’accaparement, disent-ils, des terres du Sénégal utile par une camarilla de prédateurs impénitents est improductif. « Sous tous les cieux, ce manque de lucidité de ceux qui souffrent d’inculture caractérisée, a entraîné des faits de violence légitimes qui ont plongé les pays concernés dans une spirale de représailles et de résistances populaires qui ont parfois duré des siècles », lit-on dans le communiqué.
Amasser un trésor de guerre
Les dossiers de l’Anoci, des terrains de l’aéroport et de Mbane, ont poussé les camarades de Moustapha Niasse a faire le constat selon lequel « le pouvoir actuel a décidé de ne reculer devant aucune ignominie pour amasser un trésor de guerre, aux fins de financer sa tentative de neutralisation du peuple sénégalais et dérouler un projet monarchique, dérisoire bouclier contre le mouvement historique irréversible dont le 22 mars 2009 n’est qu’un jalon annonciateur de la libération imminente ». Et d’ajouter : « L’accaparement des terres du Sénégal utile par une camarilla de prédateurs impénitents est improductif. Sous tous les cieux, ce manque de lucidité de ceux qui souffrent d’inculture caractérisée, a entraîné des faits de violence légitimes qui ont plongé les pays concernés dans une spirale de représailles et de résistances populaires qui ont parfois duré des siècles ».
Pour les « Progressistes », les « pseudos libéraux et autres sangsues qui sont en train d’hypothéquer la paix civile répondront de leurs actes nuls et non avenus devant Dieu et les hommes’’. Bien entendu, renchérit la même source, cette « hypothèque renferme des aspects sociaux et économiques.La série de turpitudes qui affectent la SENELEC risque de prendre, dans les jours qui suivront, un tournant dramatique, avec l’augmentation annoncée de 8% du coût de l’électricité ».
Payer le lourd tribut
Naturellement les secteurs sociaux, souligne l’Afp, payent un lourd tribut à ce gaspillage qui leur est totalement étranger. « L’éducation, comme la santé continue d’en souffrir. Plombée par ses effectifs pléthoriques et un manque de moyens notoires en matière de ressources humaines et d’équipements, l’Université Cheikh Anta Diop entame au pas de charge la réforme Licence – Master – doctorat (LMD), avec un handicap qui hypothèque dès le départ le succès de l’entreprise.
Quant aux Centres Universitaires Régionaux (CUR), leur bref parcours a déjà mis à nu leur profil de palliatifs dérisoires, goutte d’eau dans une mer moutonnée annonçant des turbulences programmées. Pour l’enseignement secondaire et le niveau élémentaire, les luttes permanentes du CUSEMS et des corps émergents montrent à souhait que notre système éducatif est bien malade », renseigne le communiqué de presse. Il en est de même, soutient l’Afp, pour l’état de délabrement avancé de la culture que les ronrons désordonnés autour du FESMAN n’arrivent pas à masquer. « Non seulement le ministère de tutelle a changé sept fois de titulaire en neuf ans, mais l’organisation de ce grand rendez-vous que devrait être le FESMAN a été confiée parfois à des mains inexpertes en la matière. Cette impéritie a non seulement écarté les acteurs de la culture, mais s’est livrée à des tâtonnements quant à la définition et à l’attribution des tâches dans le cadre d’un calendrier échelonné et maîtrisé », constatent les « Progressistes » qui ajoutent : « Pire, à ce stade, le peuple ne se sent guère concerné par l’événement.
Pour éviter l’humiliation suprême à notre pays qui a déjà perdu son rang dans ce secteur, le Bureau politique de l’AFP engage le pouvoir actuel à avoir l’humilité de reporter le Festival pour se donner le temps et les moyens d’apporter tous les correctifs qui s’imposent. En effet, il est toujours inopportun de mêler le temps de la culture à celui de la politique, d’autant plus que celle-ci est en train de hanter les marécages boueux ».
C’est pourquoi le Bureau politique de l’AFP invite les militants et les responsables à la base à lutter systématiquement aux côtés des populations qui se révoltent contre l’état de violence que le régime de Me Abdoulaye Wade est en train de leur imposer.
Les sandales de l’aéroport et de Mbane
Au-delà du dossier de l’Anoci, il y a l’histoire des terrains de Mbane et de l’aéroport. Deux scandales dont les acteurs principaux sont au cœur de l’Etat. « Qu’il s’agisse du dépeçage inouï de la communauté rurale de Mbane où les terres ont été spoliées par les vautours de la République, ou des terrains de l’Aéroport, le même modus operandi mafieux a été mis en œuvre », renseigne le communiqué.Quant une décision de justice protège des forfaitures de cette ampleur en confisquant la volonté populaire, fait remarquer les « Progressistes », « l’Etat-Pds est en train de montrer au peuple que le salut réside dans la lutte sans répit, pour résister victorieusement à la curée des parvenus qui, du haut de leur arrogance suicidaire, toisent des citoyens n’ayant jamais renoncé à leurs prérogatives ».
En fait, le pouvoir actuel a décidé, avancent les camarades de Moustapha Niasse, de « ne reculer devant aucune ignominie pour amasser un trésor de guerre, aux fins de financer sa tentative de neutralisation du peuple sénégalais et dérouler un projet monarchique, dérisoire bouclier contre le mouvement historique irréversible dont le 22 mars 2009 n’est qu’un jalon annonciateur de la libération imminente ». L’accaparement, disent-ils, des terres du Sénégal utile par une camarilla de prédateurs impénitents est improductif. « Sous tous les cieux, ce manque de lucidité de ceux qui souffrent d’inculture caractérisée, a entraîné des faits de violence légitimes qui ont plongé les pays concernés dans une spirale de représailles et de résistances populaires qui ont parfois duré des siècles », lit-on dans le communiqué.
Amasser un trésor de guerre
Les dossiers de l’Anoci, des terrains de l’aéroport et de Mbane, ont poussé les camarades de Moustapha Niasse a faire le constat selon lequel « le pouvoir actuel a décidé de ne reculer devant aucune ignominie pour amasser un trésor de guerre, aux fins de financer sa tentative de neutralisation du peuple sénégalais et dérouler un projet monarchique, dérisoire bouclier contre le mouvement historique irréversible dont le 22 mars 2009 n’est qu’un jalon annonciateur de la libération imminente ». Et d’ajouter : « L’accaparement des terres du Sénégal utile par une camarilla de prédateurs impénitents est improductif. Sous tous les cieux, ce manque de lucidité de ceux qui souffrent d’inculture caractérisée, a entraîné des faits de violence légitimes qui ont plongé les pays concernés dans une spirale de représailles et de résistances populaires qui ont parfois duré des siècles ».
Pour les « Progressistes », les « pseudos libéraux et autres sangsues qui sont en train d’hypothéquer la paix civile répondront de leurs actes nuls et non avenus devant Dieu et les hommes’’. Bien entendu, renchérit la même source, cette « hypothèque renferme des aspects sociaux et économiques.La série de turpitudes qui affectent la SENELEC risque de prendre, dans les jours qui suivront, un tournant dramatique, avec l’augmentation annoncée de 8% du coût de l’électricité ».
Payer le lourd tribut
Naturellement les secteurs sociaux, souligne l’Afp, payent un lourd tribut à ce gaspillage qui leur est totalement étranger. « L’éducation, comme la santé continue d’en souffrir. Plombée par ses effectifs pléthoriques et un manque de moyens notoires en matière de ressources humaines et d’équipements, l’Université Cheikh Anta Diop entame au pas de charge la réforme Licence – Master – doctorat (LMD), avec un handicap qui hypothèque dès le départ le succès de l’entreprise.
Quant aux Centres Universitaires Régionaux (CUR), leur bref parcours a déjà mis à nu leur profil de palliatifs dérisoires, goutte d’eau dans une mer moutonnée annonçant des turbulences programmées. Pour l’enseignement secondaire et le niveau élémentaire, les luttes permanentes du CUSEMS et des corps émergents montrent à souhait que notre système éducatif est bien malade », renseigne le communiqué de presse. Il en est de même, soutient l’Afp, pour l’état de délabrement avancé de la culture que les ronrons désordonnés autour du FESMAN n’arrivent pas à masquer. « Non seulement le ministère de tutelle a changé sept fois de titulaire en neuf ans, mais l’organisation de ce grand rendez-vous que devrait être le FESMAN a été confiée parfois à des mains inexpertes en la matière. Cette impéritie a non seulement écarté les acteurs de la culture, mais s’est livrée à des tâtonnements quant à la définition et à l’attribution des tâches dans le cadre d’un calendrier échelonné et maîtrisé », constatent les « Progressistes » qui ajoutent : « Pire, à ce stade, le peuple ne se sent guère concerné par l’événement.
Pour éviter l’humiliation suprême à notre pays qui a déjà perdu son rang dans ce secteur, le Bureau politique de l’AFP engage le pouvoir actuel à avoir l’humilité de reporter le Festival pour se donner le temps et les moyens d’apporter tous les correctifs qui s’imposent. En effet, il est toujours inopportun de mêler le temps de la culture à celui de la politique, d’autant plus que celle-ci est en train de hanter les marécages boueux ».
C’est pourquoi le Bureau politique de l’AFP invite les militants et les responsables à la base à lutter systématiquement aux côtés des populations qui se révoltent contre l’état de violence que le régime de Me Abdoulaye Wade est en train de leur imposer.