Lors d’une récente intervention à Lagane, Malick Niass, ingénieur sénégalais en énergie, a partagé des détails saisissants sur le projet ambitieux mené par Samuel Sarr, un acteur clé dans le secteur énergétique. Ancien employé de General Electric, où il occupait le poste d’ingénieur de mise en service des centrales à cycles combinés, Malick Niass a apporté un témoignage de poids sur l’expertise et la vision de Samuel Sarr.
Un projet énergétique stratégique
Malick Niass a souligné que la centrale en construction à Cap des Biches est comparable, voire supérieure, aux projets de même envergure réalisés à l’échelle mondiale. Selon lui, Samuel Sarr est un leader charismatique, doté d’une connaissance approfondie du secteur énergétique, ayant supervisé la mise en œuvre d’une vingtaine de projets similaires à travers le globe.
Ce projet de centrale à cycles combinés, intégré au programme "Gaz to Power", vise à transformer les ressources pétrolières nationales en énergie électrique, un atout stratégique pour le Sénégal. Une fois opérationnelle, la centrale permettra :
Une réduction de 30 à 40 % des coûts de production énergétique, rendant l’électricité plus accessible à la population sénégalaise.
Une électrification complète du territoire national, y compris les zones les plus reculées, et un potentiel d’exportation vers la sous-région.
Avancée des travaux et enjeux nationaux
D’après Malick Niass, le projet est déjà achevé à plus de 90 %, et la phase cruciale de mise en service est imminente. Il a également salué la résilience de Samuel Sarr, qui, malgré les défis politiques et les épreuves personnelles, a su maintenir la confiance des bailleurs de fonds pour garantir la poursuite du projet.
Cependant, Malick Niass a mis en garde contre un éventuel abandon du projet par les Sénégalais, qui pourrait ouvrir la voie à des investisseurs étrangers. "Si nous n’apportons pas notre soutien à Samuel Sarr, ce sont des étrangers qui prendront le relais. Cela signifierait non seulement l’échec de la réduction des coûts pour les consommateurs, mais aussi la perte d’emplois pour plus de 1 000 Sénégalais impliqués dans ce projet."
Un appel à l’unité et à la prière
En tant que croyant, Malick Niass a lancé un appel aux guides religieux et à l’ensemble de la population sénégalaise pour prier en faveur de Samuel Sarr, rappelant que les épreuves font partie du parcours des grands leaders.
Ce témoignage renforce l’idée que ce projet énergétique, au-delà de ses bénéfices économiques et sociaux, représente un symbole d’autonomie et de développement pour le Sénégal. Soutenir cette initiative, c’est contribuer à un avenir plus lumineux pour le pays et la région.
Un projet énergétique stratégique
Malick Niass a souligné que la centrale en construction à Cap des Biches est comparable, voire supérieure, aux projets de même envergure réalisés à l’échelle mondiale. Selon lui, Samuel Sarr est un leader charismatique, doté d’une connaissance approfondie du secteur énergétique, ayant supervisé la mise en œuvre d’une vingtaine de projets similaires à travers le globe.
Ce projet de centrale à cycles combinés, intégré au programme "Gaz to Power", vise à transformer les ressources pétrolières nationales en énergie électrique, un atout stratégique pour le Sénégal. Une fois opérationnelle, la centrale permettra :
Une réduction de 30 à 40 % des coûts de production énergétique, rendant l’électricité plus accessible à la population sénégalaise.
Une électrification complète du territoire national, y compris les zones les plus reculées, et un potentiel d’exportation vers la sous-région.
Avancée des travaux et enjeux nationaux
D’après Malick Niass, le projet est déjà achevé à plus de 90 %, et la phase cruciale de mise en service est imminente. Il a également salué la résilience de Samuel Sarr, qui, malgré les défis politiques et les épreuves personnelles, a su maintenir la confiance des bailleurs de fonds pour garantir la poursuite du projet.
Cependant, Malick Niass a mis en garde contre un éventuel abandon du projet par les Sénégalais, qui pourrait ouvrir la voie à des investisseurs étrangers. "Si nous n’apportons pas notre soutien à Samuel Sarr, ce sont des étrangers qui prendront le relais. Cela signifierait non seulement l’échec de la réduction des coûts pour les consommateurs, mais aussi la perte d’emplois pour plus de 1 000 Sénégalais impliqués dans ce projet."
Un appel à l’unité et à la prière
En tant que croyant, Malick Niass a lancé un appel aux guides religieux et à l’ensemble de la population sénégalaise pour prier en faveur de Samuel Sarr, rappelant que les épreuves font partie du parcours des grands leaders.
Ce témoignage renforce l’idée que ce projet énergétique, au-delà de ses bénéfices économiques et sociaux, représente un symbole d’autonomie et de développement pour le Sénégal. Soutenir cette initiative, c’est contribuer à un avenir plus lumineux pour le pays et la région.