La légende Falaye Baldé
Falaye Baldé n’était pas venu à la lutte par effraction, mais par une voie toute tracée. Balisée par la Guinée Bissau, la Guinée Conakry, la Casamance et la région de Sédhiou. Pour être lutteur dans leur contrée, il faut des prédispositions et passer des épreuves difficiles. Les deux Guinée (Bissau et Conakry), ainsi que la Casamance et Sédhiou amènent chacune cent (100) lutteurs pour un tournoi où il ne restera qu’un seul vainqueur.
Falaye Baldé, jeune, fort, physique, technique, parvient à déjouer tous les pronostics et sort vainqueur du tournoi.
«J’avais la lutte dans le sang car j’avais des parents qui pratiquaient cette discipline depuis longtemps. Donc je ne suis pas venu par hasard dans la lutte et il fallait nous préparer d’abord à faire une grande carrière. La préparation est organisée par les plus grands érudits des quatre localités que sont la Guinée Bissau, la Guinée Conakry, la Casamance et Sédhiou. Ils discutent sur la matière de mon futur nguimb, ses contours et autres», avait expliqué le défunt Falaye Baldé.
Nguimb porté par une fillette de 7 ans
Le nguimb était en laine renforcée et, les femmes chargées du tissage le font porter à une fille qui n’a pas encore vu ses règles menstruelles.
«Mon nguimb pesait au moins trois kilos car il avait des poches contenant des gris-gris et d’autres choses mystiques. Je n’avais pas l’habitude de porter beaucoup de gris-gris autour de moi. Mon nguimb, je l’ai porté pendant 25 ans sans qu’il ne se déchire.
Il avait un côté mystique et beaucoup de mes adversaires craignaient d’être en contact avec lui», avait dit ce grand champion qui mangeait la moitié d’un mouton tous les soirs au dîner, après des séances d’entraînement âpres.
Ainsi pouvait débuter la légende de Falaye qui a aligné cent trente sept(137) victoires au cours de sa carrière.
Falaye Baldé, jeune, fort, physique, technique, parvient à déjouer tous les pronostics et sort vainqueur du tournoi.
«J’avais la lutte dans le sang car j’avais des parents qui pratiquaient cette discipline depuis longtemps. Donc je ne suis pas venu par hasard dans la lutte et il fallait nous préparer d’abord à faire une grande carrière. La préparation est organisée par les plus grands érudits des quatre localités que sont la Guinée Bissau, la Guinée Conakry, la Casamance et Sédhiou. Ils discutent sur la matière de mon futur nguimb, ses contours et autres», avait expliqué le défunt Falaye Baldé.
Nguimb porté par une fillette de 7 ans
Le nguimb était en laine renforcée et, les femmes chargées du tissage le font porter à une fille qui n’a pas encore vu ses règles menstruelles.
«Mon nguimb pesait au moins trois kilos car il avait des poches contenant des gris-gris et d’autres choses mystiques. Je n’avais pas l’habitude de porter beaucoup de gris-gris autour de moi. Mon nguimb, je l’ai porté pendant 25 ans sans qu’il ne se déchire.
Il avait un côté mystique et beaucoup de mes adversaires craignaient d’être en contact avec lui», avait dit ce grand champion qui mangeait la moitié d’un mouton tous les soirs au dîner, après des séances d’entraînement âpres.
Ainsi pouvait débuter la légende de Falaye qui a aligné cent trente sept(137) victoires au cours de sa carrière.