Cette rencontre entre artistes sénégalais, placée sous l’égide de Mme Awa Coulibaly Diallo, ambassadeur du Sénégal au Burkina Faso, a été pour nombre de participants la preuve que la communauté sénégalaise du 7e art forme un seul bloc.
Une réalité qui a notamment amené l’auteur du docu-fiction "Bois d’ébène", Moussa Touré, à parler sur un ton ému d’« union cinématographique ».
Lui emboîtant le pas, Hugues Dias, directeur de la Cinématographie, estime que la dynamique qui a conduit à ces retrouvailles entre trois générations de cinéastes, a commencé depuis 2013. « Après ma nomination et lors du Fespaco de 2013, j’ai eu un cri de guerre : Nous ne ferons plus comme avant. J’ai alors voulu que les gens n’aillent plus en rangs dispersés représenter le Sénégal. C’est ainsi que j’ai jeté les bases d’une union sacrée autour de notre cinéma et autour des cinéastes sélectionnés », a expliqué M. Dias.
Ainsi donc, en rangs serrés, la suite de la rencontre a pris les allures, du moins pour un instant, d’une journée d’intégration pour les jeunes cinéastes sénégalais présents sur place.
William Mbaye qui, lui, présente "Kemtiyu Seex", s’est dit « fier des jeunes qui constituent la relève et qui sont dans une bonne dynamique ». Surtout que, ajoute-t-il « les anciens ont longtemps cheminé seuls ».
Et toujours dans le cadre de cette journée sénégalaise désireuse de parler aux jeunes passionnés du cinéma, s’est tenue la cérémonie de dédicace d’un livre, qui, a travers le parcours de Sembène Ousmane, raconte la naissance du cinéma africain.
Selon l’auteur Mag Maguette Diop, écrivain et réalisateur, « ce livre est fait pour la jeunesse. Ce sont les trois générations de cinéastes et de réalisateurs sénégalais qui se trouvent dans ce livre. Et j’ai saisi cette occasion du Fespaco pour le lancer officiellement ».
Enfin, à l’unisson, les acteurs sénégalais du 7e art ont salué la mise sur pied du Fopica (Fonds pour la Promotion de l'Industrie Cinématographique et Audiovisuelle), qui vise à promouvoir le cinéma au Sénégal.
Une réalité qui a notamment amené l’auteur du docu-fiction "Bois d’ébène", Moussa Touré, à parler sur un ton ému d’« union cinématographique ».
Lui emboîtant le pas, Hugues Dias, directeur de la Cinématographie, estime que la dynamique qui a conduit à ces retrouvailles entre trois générations de cinéastes, a commencé depuis 2013. « Après ma nomination et lors du Fespaco de 2013, j’ai eu un cri de guerre : Nous ne ferons plus comme avant. J’ai alors voulu que les gens n’aillent plus en rangs dispersés représenter le Sénégal. C’est ainsi que j’ai jeté les bases d’une union sacrée autour de notre cinéma et autour des cinéastes sélectionnés », a expliqué M. Dias.
Ainsi donc, en rangs serrés, la suite de la rencontre a pris les allures, du moins pour un instant, d’une journée d’intégration pour les jeunes cinéastes sénégalais présents sur place.
William Mbaye qui, lui, présente "Kemtiyu Seex", s’est dit « fier des jeunes qui constituent la relève et qui sont dans une bonne dynamique ». Surtout que, ajoute-t-il « les anciens ont longtemps cheminé seuls ».
Et toujours dans le cadre de cette journée sénégalaise désireuse de parler aux jeunes passionnés du cinéma, s’est tenue la cérémonie de dédicace d’un livre, qui, a travers le parcours de Sembène Ousmane, raconte la naissance du cinéma africain.
Selon l’auteur Mag Maguette Diop, écrivain et réalisateur, « ce livre est fait pour la jeunesse. Ce sont les trois générations de cinéastes et de réalisateurs sénégalais qui se trouvent dans ce livre. Et j’ai saisi cette occasion du Fespaco pour le lancer officiellement ».
Enfin, à l’unisson, les acteurs sénégalais du 7e art ont salué la mise sur pied du Fopica (Fonds pour la Promotion de l'Industrie Cinématographique et Audiovisuelle), qui vise à promouvoir le cinéma au Sénégal.