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Le CIRSEM invite Macky Sall à revoir la composition de l’équipe gouvernementale

Le Comité des Intellectuels Républicains pour le Suivi des Engagements et de la Massification de l’Alliance pour la République, CIRSEM, regrette les difficultés diverses que traversent les populations, en plus de la cherté de la vie.


Rédigé par leral.net le Samedi 11 Mai 2013 à 15:47 | | 4 commentaire(s)|

Le CIRSEM invite Macky Sall à revoir la composition de l’équipe gouvernementale
En effet, le Comité des Intellectuels Républicains pour le Suivi des Engagements et de la Massification de l’Alliance pour la République constate que des secteurs comme l’énergie, l’emploi, le tourisme, le commerce, l’éducation sont à la traîne et n’honorent pas, après un an d’exercice du pouvoir, les engagements pris devant le peuple souverain, dans un contexte de gestion, de plus en plus, accès sur les résultats.

Par conséquent, le CIRSEM exhorte le président de la République, Macky Sall, à revoir la composition de l’équipe gouvernementale, surtout dans un Sénégal qui regorge de ressources humaines compétentes louées à travers le monde entier ; pour une meilleure prise en charge des difficultés manifestes que vivent les populations , dans l’intérêt exclusif de la patrie, du parti et des alliés de la coalition Benno Bokh Yaakaar.

En fin, le Comité des Intellectuels Républicains pour le Suivi des Engagements et de la Massification de l’Alliance pour la République soutient que la victoire triomphale de l’APR et des ses alliés aux prochaines élections locales du 14 mars 2014, passerait inéluctablement par une prise en charge rapide de la demande sociale.



1.Posté par junior le 11/05/2013 16:41 | Alerter
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QUE DOUDOU WADE ET CIE SE TAISENT A JAMAIS
La sortie de l’ancien premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, contre ses frère libéraux a été accueillie comme un tôlé chez les copains à Doudou Wade.
En effet, après la lettre de vérité de Souleymane Ndéné Ndiaye, Doudou Wade et compagnie se sont constitué en bouclier en essayant de faire croire aux sénégalais qu’ils sont les représentants légitimes du Pds, dans le champ politique sénégalais.
Alors qu’en réalité, ni Doudou Wade ni ses copains n’ont la capacité de mobilisation autour de leur personne. Car, sur l’échiquier politique sénégalais, ils ne représentent absolument rien du tout car ne pesant même pas un gramme.
En réalité, ils veulent prendre le Pds en otage à leur tête le neveu de l’ancien président de la République, Doudou Wade qui essaye de placer ses copains dans des postes stratégiques du parti.
D’où l’idée de mise en place des fédérations à travers le pays, en voulant faire croire qu’ils sont représentatives et capables de conduire le navire Pds.
Doudou Wade, Omar Sarr, Modou Diagne Fada entre autres veulent se faire passer comme les dignes héritiers de l’œuvre de Me Abdoulaye Wade en tympanisant les sénégalais à travers la presse toute confondue.
Mais, qu’ils sachent que les journaux ne prouvent en rien la popularité d’un politique, au contraire essayent de faire passer un politique comme un leader.
Car pour être leader, il faut une base solide et dans cette base solide, il faut impérativement des militants déterminés et capables de défendre les intérêts d’un parti.
Cependant, tel n’est pas le cas chez ceux qui s’agitent dans les chaînes de télévisions, les radios, les sites web et dans les journaux pour convaincre les sénégalais.
Les vrais responsables politiques, qui ont une base politique solide sont dans l’ombre en train d’observer les incapables en attendant qu’ils finissent leurs minables minutions politiques dans des champs inutiles.
L’on ne détermine nullement un vrai politique à travers ses sorties médiatiques commandités, mais en évaluant sa base politique.
Tous ceux qui s’agitent aujourd’hui, se réclamant du Pds n’ont aucun poids politique dans le Sénégal d’aujourd’hui.
Aller dans leur fief, vous verrez que ce n’est qu’une coquille vide et sans intérêts.
C’est plus facile de danser devant les écrans de télés ou devant les micros des radios que de vivre les dures réalités du terrain politique.
Les sorties multiples des apprentis politiques à l’image de Doudou Wade, Omar Sarr ou encore Modou Diagne Fada s’expliquent tout simplement parce qu’ils aiment se regarder à la télévision, s’écouter sur les ondes des radios et se lire dans les journaux.
Bref, ils ne font que d’amuser la galerie en jouant à la comédie politique comme dans 100% Jamel Deblouze dans les salles parisiennes.
Le Parti démocratique sénégalais n’est ni la propriété de Doudou Wade encore moins d’Omar Sarr.
Le Pds appartient à ceux qui croient à sa vision et non à des marionnettes qui passent tout leur temps à parler au lieu de descendre à leur base pour travailler.
Ils ne sont pas les seuls à pouvoir diriger, il y a d’autres plus crédibles, plus populaires et plus pertinents qu’eux.
Ils doivent savoir raison garder et arrêter de narguer les sénégalais dans leur politique mensongère.
Car, les locales de 2014 doit être un tournant décisif pour eux. Ces échéances détermineront leur poids politique sur l’échiquier PDS et non en politique.
C’est facile de se croire d’être au-dessus de la mêlée alors qu’en réalité même un vendeur de « thiaf » du coin de la rue réfléchit mieux que soi.
Doudou Wade, Omar Sarr, Modou Diagne Fada et Cie doivent comprendre que la politique bananière ne passera plus au Sénégal.
Et que le Pds ne sera pas la propriété d’une bande de copain, mais de vrais militants.
Souleymane Ndéné Ndiaye à raison, il a dit tout haut ce que les autres pensent tout bas.
Comme on le dit, la vérité fait mal et c’est pourquoi certains ont jugé nécessaire de le répondre à travers des mensonges.
A suivre……

2.Posté par xorom soukeur le 11/05/2013 21:14 (depuis mobile) | Alerter
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ce soi disant comite intellectuel est tout simplement un cercle de profitards voulant tout simplement beneficier de postes ministeriels.au lieu d''indexer certains ministeres faites des propositions concretes pour sortir le senegal de ses problemes.pour tuer son chien on l''accuse de rage.messieurs vous n''etes interesses que par les portefeuilles ministeriels pas par autre chose

3.Posté par kathior ka le 11/05/2013 22:26 | Alerter
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État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'APR à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.

Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management ([b]mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.[/b]) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.

----------------------kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali ----------------
DÉCLARATION SAES

La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.
Devant le constat :
d’une situation générale de mal gouvernance,
de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
de non respect des textes universitaires,
de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
de la dégradation des conditions de travail,
de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.
L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane....
...
L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.
Ainsi, l’AG exige :
le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
Heures Complémentaires du second semestre,
perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’auditer les fonds alloués.
Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.

Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
L’Assemblée Générale
-------------
SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
Saint Louis, 22/06/2012.

APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.

Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.

LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.

Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’ endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.

VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
L’Assemblée générale
_

4.Posté par NGAGNE le 12/05/2013 13:34 | Alerter
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C'est désespérant de voir dans dans notre pays proliférer cette nouvelle race de politiciens qui font partie de la nouvelle génération qui sont capables de vendre leur âme au diable pour des positions de pouvoir .Leurs armes ,le dénigrement,la manipulation .Leur but ,l'accés aux ressources publiques pour se servir.Le Sénégal n'a pas besoin de ces opportunistes

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