Aucune précision n’est apportée entre les deux tours de la présidentielle, ce qui explique le vide juridique dans cette période. Il faudra revenir sur le Code électoral pour apporter des éclairages’’, a dit Mme Ngom en marge de la cérémonie de tirage au sort pour le passage des candidats dans ‘’Le journal de la campagne’’.
Le CNRA, organe de régulation de l’audiovisuel et de la presse écrite en période électorale surtout, a besoin d’un ‘’substrat légal pour intervenir’’ dans le travail des médias, a-t-elle signalé.
‘’Le CNRA ne parle pas et ne fait rien en dehors de ce que dit la loi. C’est pour quoi nous pensons qu’il faut prendre des dispositions nous permettant d’agir’’, a encore dit Mme Ngom.
‘’Nous avons demandé que les principes d’équité, de pluralisme et d’équilibre soient respectés par les médias privés et la RTS (Radio-Télévision sénégalaise, publique)’’, a affirmé Nancy Ndiaye Ngom.
’’Nous avions demandé d’accorder le droit de réponse à l’autre partie au nom de ces principes’’, a-t-elle réagi, interrogée sur le parti-pris imputé à la télévision publique, en faveur de l’un des candidats admis au second tour de l’élection présidentielle du 25 mars.
Mme Ngom a indiqué que le vide juridique ne se pose pas pour la pré-campagne et la campagne électorale, qui sont ’’bien encadrées’’. Ce vide doit être pris en charge dans les réflexions destinées à garantir davantage de transparence dans le processus de régulation des médias.
SOURCE:APS
Le CNRA, organe de régulation de l’audiovisuel et de la presse écrite en période électorale surtout, a besoin d’un ‘’substrat légal pour intervenir’’ dans le travail des médias, a-t-elle signalé.
‘’Le CNRA ne parle pas et ne fait rien en dehors de ce que dit la loi. C’est pour quoi nous pensons qu’il faut prendre des dispositions nous permettant d’agir’’, a encore dit Mme Ngom.
‘’Nous avons demandé que les principes d’équité, de pluralisme et d’équilibre soient respectés par les médias privés et la RTS (Radio-Télévision sénégalaise, publique)’’, a affirmé Nancy Ndiaye Ngom.
’’Nous avions demandé d’accorder le droit de réponse à l’autre partie au nom de ces principes’’, a-t-elle réagi, interrogée sur le parti-pris imputé à la télévision publique, en faveur de l’un des candidats admis au second tour de l’élection présidentielle du 25 mars.
Mme Ngom a indiqué que le vide juridique ne se pose pas pour la pré-campagne et la campagne électorale, qui sont ’’bien encadrées’’. Ce vide doit être pris en charge dans les réflexions destinées à garantir davantage de transparence dans le processus de régulation des médias.
SOURCE:APS