‘’Antérieurement, le COSEC bénéficiait de 2% du montant des importations halieutiques. La totalité de ce montant lui était reversé. Mais, à un moment donné, avec le Plan Takkal, nous sommes passés de 2% à 4%. Dans le même temps, il a été retranché de ce montant de 85% qui était directement reversé ce plan et les 15 % au COSEC’’, a-t-il indiqué aux députés.
M. Diallo intervenait à l’occasion du débat précédant le vote à l’Assemblée nationale du projet de budget 2013 du ministère de la Pêche et des Affaires maritimes.
Selon lui, cette situation a fait que le COSEC ne bénéficie que de 30% du montant qui lui était versé antérieurement. ‘’Nous avons donné notre accord définitif pour que ce projet soit en application à compter du 1er janvier 2013 qui consiste, à ramener ce montant à 50%’’, a dit le ministre du Budget.
Il s'agit des ressources tirées de la redevance qui se situe actuellement dans une proportion de 4% des recettes d’exportation des produits halieutiques qui sont allouées au COSEC.
Dans ces nouvelles proportions de 50%, a-t-il estimé, c’est comme si le conseil retrouvait l’intégralité de ses ressources de la redevance fixée antérieurement à 2%. ‘’Nous ne voulons pas être traité de ministère qui fait des retranchements sur les droits dus au COSEC’’, a précisé le ministre du budget.
Le problème est réglé avec le Plan Takkal qui avait pris 85% des ressources du COSEC. ‘’Nous avions demandé les 50% et je pense que nous allons vers le retour de 100% ses ressources en permettant au COSEC de mieux respirer et s’adonner aux missions sont les siennes’’, a ajouté le ministre de la Pêche, Pape Diouf.
Le COSEC, qui était florissant, était arrivé à ne plus honorer ses engagements avec ses employés’’, a-t-il regretté, en se montrant toutefois confiant pour l’avenir de la structure.
Après avoir constaté ces abus, M. Diouf s’est engagé à ne plus laisser faire pour éviter des cas similaires. ‘’Nous sommes là, pour redresser les torts, pour rétablir l’équilibre afin que les Sénégalais, dans les différents secteurs, sentent qu’une bonne gestion doit se faire à trous les niveaux.’’
Le projet de budget 2013 du ministère de la Pêche et des Affaires maritimes est adopté majoritairement par les députés. Il est arrêté à 24,996 milliards de francs CFA, contre 15,520 milliards pour l’exercice en cours.
aps
M. Diallo intervenait à l’occasion du débat précédant le vote à l’Assemblée nationale du projet de budget 2013 du ministère de la Pêche et des Affaires maritimes.
Selon lui, cette situation a fait que le COSEC ne bénéficie que de 30% du montant qui lui était versé antérieurement. ‘’Nous avons donné notre accord définitif pour que ce projet soit en application à compter du 1er janvier 2013 qui consiste, à ramener ce montant à 50%’’, a dit le ministre du Budget.
Il s'agit des ressources tirées de la redevance qui se situe actuellement dans une proportion de 4% des recettes d’exportation des produits halieutiques qui sont allouées au COSEC.
Dans ces nouvelles proportions de 50%, a-t-il estimé, c’est comme si le conseil retrouvait l’intégralité de ses ressources de la redevance fixée antérieurement à 2%. ‘’Nous ne voulons pas être traité de ministère qui fait des retranchements sur les droits dus au COSEC’’, a précisé le ministre du budget.
Le problème est réglé avec le Plan Takkal qui avait pris 85% des ressources du COSEC. ‘’Nous avions demandé les 50% et je pense que nous allons vers le retour de 100% ses ressources en permettant au COSEC de mieux respirer et s’adonner aux missions sont les siennes’’, a ajouté le ministre de la Pêche, Pape Diouf.
Le COSEC, qui était florissant, était arrivé à ne plus honorer ses engagements avec ses employés’’, a-t-il regretté, en se montrant toutefois confiant pour l’avenir de la structure.
Après avoir constaté ces abus, M. Diouf s’est engagé à ne plus laisser faire pour éviter des cas similaires. ‘’Nous sommes là, pour redresser les torts, pour rétablir l’équilibre afin que les Sénégalais, dans les différents secteurs, sentent qu’une bonne gestion doit se faire à trous les niveaux.’’
Le projet de budget 2013 du ministère de la Pêche et des Affaires maritimes est adopté majoritairement par les députés. Il est arrêté à 24,996 milliards de francs CFA, contre 15,520 milliards pour l’exercice en cours.
aps